Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Ces messages que le CIEL nous transmet en urgence au travers de ses CHOISIS en nombre, va t-on les mépriser ?
L'immensité de l'Univers se trouve dans nos cœurs, nos prières… Les Anges les prennent dans leurs ailes, les mènent à Dieu, en offrant sur l'Autel d'Or JESUS et MARIE qui sont devant le Trône du PERE ETERNEL avec le parfum de nos prières. Et si notre prière est pure et acceptable devant Dieu, le Seigneur envoi tout de suite un ange pour la prendre dans son encensoir et la faire monter comme l'odeur d'encens vers LUI…
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Lun 10 Juil - 0:23
UN ENVOI DE HELENE BRAUER ....... trouvé chez un ami :
Aujourd'hui 7 juillet 2023 est l'anniversaire des apparitions mariales de L'Hôpital (Moselle) et de Neubois (Alsace) de 1872.
L'apparition mariale de L'Hôpital (Moselle) du 7 juillet 1872 a été suivie des apparitions de Neubois (Alsace).
Dans le contexte de l'occupation allemande et antireligieux de l'époque qui a suivit 1870, un Alsacien se rend en Italie et rencontre une mystique nommée Palma-Maria-Addolarata Matarelli (1825-1888) d'Oria, plus tard religieuse de Notre-Dame des Douleurs, et lui parle de l'Alsace-Lorraine. *
Elle lui répondit qu'il arrivera bientôt des choses merveilleuses :
"...une apparitions en juillet 1872 doit avoir lieu en Alsace-Lorraine".
Le dimanche 7 juillet 1872 en date de la fête du Précieux Sang, la Vierge Marie apparait tout d'abord à l'office du soir dans l'église Saint-Nicolas de L'Hôpital à Marie Françoise Clémentine Girsch, âgée de onze ans et originaire de Carling. L'église Saint-Nicolas desservait alors L'Hôpital et Carling qui ne formaient qu'une seule paroisse.
Elle décrit l'apparition comme une belle femme aux cheveux blonds et longs, portant une couronne sur la tête.
Sa robe blanche est brillante.
La Vierge Marie tend ses bras en avant. Dans sa main droite elle tient une boule blanche d'où tombent des gouttes d'eau, dans sa main gauche elle tient une boule noire d'où tombent des gouttes de sang.
À sa droite se tiennent des soldats français, à sa gauche se trouvent des soldats armés d'épées.
À L'Hôpital (Moselle) qui portait alors le nom de Spittel-in-Lothringen ces événements sont restés très discrets.
Clémentine Girsch est qualifiée selon les rapports de l'époque de petite fille sage, posée et réservée. Elle restera très discrète sur ces événements.
Elle est née le 3 décembre 1861 à Carling.
Le 9 février 1880 elle épouse à L'Hôpital, Ambroise Renard, instituteur et maire de Carling (1855-1941) et sera mère de deux enfants.
Elle décèdera à Strasbourg le 13 janvier 1944. Son mari Ambroise Renard est inhumé au cimetière de L'Hôpital à côté de l'église Saint-Nicolas.
Le même jour à Neubois en Alsace, cette même apparition se manifeste à quatre fillettes âgées de 7 à 11 ans qui se promènent au pied d'une montagne appelée Schlossberg, à la recherche de myrtilles. Soudain, une dame blanche portant sur la tête une couronne d'or, s'avance vers elles. Effrayées, elles s'enfuient à toutes jambes. C'est la première apparition de toute une série qui mettra en émoi le paisible village de Neubois.
Le 11 juillet 1872, la Vierge Marie apparaît de nouveau sous la même forme dans la forêt de Neubois à Philomène Jehl (10 ans), Sophie Glock (11 ans), Marie Flick et d'autres enfants de l'école.
Elles entendent une voix fine dire :
« Kommet, Kommet! » (Venez, venez!).
Le 12 juillet la troisième apparition se manifeste à certaines filles d'un groupe accompagné d'une religieuse qui est aussi leur institutrice, sœur Madeleine.
Le 14 juillet 1872 l'apparition guide 6 filles dont ODILE MARTIN vers le sommet du Frankenbourg, chemin de La Vancelle.
Le 15 juillet 1872 tout un groupe d'enfants et d'adultes assiste à une appartion de la Vierge qui les appelle de nouveau :
« Kommet, Kommet! » (Venez, venez!) en direction du château de Frankenbourg.
Un vent violent se lève et on entend un son de cloches.
D'autres apparitions miraculeuses vont suivre.
Une petite chapelle provisoire sera érigée sur les lieux.
Le Kreisdirektor envoie un détachement de 50 soldats surveiller l'emplacement.
Le 7 septembre 1872, la police abat la chapelle ainsi que l'autel et défend aux fidèles l'accès aux lieux.
Le 8 septembre 1872 on assiste à une première guérison miraculeuse d'une jeune fille très malade.
D'autres apparitions et guérisons vont avoir lieu malgré l'hostilité de l'autorité prussienne qui fait afficher un panneau:
« L'accès sans autorisation du district 272829 est, par la présente, interdit selon l'article 368 du code pénal avec une peine allant jusqu'à 75 francs et un emprisonnement jusqu'à 15 jours. »
Le 11 septembre 1872, sœur Madeleine est expulsée par les autorités et doit quitter Neubois.
Le 14 octobre 1872 un soldat prussien a une vision de l'enfant Jésus.
Les apparitions continuent.
L'évêque de Strasbourg Monseigneur André Raess est informé de par une lettre de l'apparition de L'Hôpital et de celles du Frankenbourg et reçoit lui-même un témoin des apparitions du Neubois.
Il reste réservé et prudent.
Le 11 novembre 1872 l'abbé Hotzmann, curé deVillé note :
"les apparitions sont de plus en plus fréquentes".
De nombreux pèlerins viennent sur les lieux.
Pour la seule journée du 3 février 1873 on comptera 6000 pèlerins.
Le 4 mars 1873 les autorités prussiennes s'inquiètent de cette affluence et envoient un détachement de 150 soldats interdire l'accès des lieux.
Dans les jours et les mois qui suivent, d'autres enfants, mais aussi des adultes, sont persuadés d'avoir vu la Vierge Marie ou aperçu "la dame blanche", seule ou entourée d'anges ou ... de soldats.
La nouvelle de ces phénomènes extraordinaires se répand comme une traînée de poudre dans toute l'Europe centrale et méridionale, mais surtout en Allemagne et en France.
Un des lieux d'apparition s'appelait Krittacker, acker veut dire champ. Le village était semble-t-il situé plus haut dans la montagne.
Une source à l'eau miraculeuse" est découverte. Plusieurs personnes prétendent avoir été guéries.
Les conditions sont donc remplies pour que Neubois devienne le Lourdes alsacien !
Cette arrivée massive de gens commence à inquiéter l'administration allemande surtout que ces apparitions se teintent d'allusions et de propagande politiques :
la Sainte Vierge viendrait pour libérer l'Alsace du joug prussien !
A Paris est éditée, en 1874, une brochure au nom évocateur :
" La résurrection de la France et le châtiment de la Prusse, prédits par Marie en Alsace " .
L'armée est chargée d'interdire l'accès du lieu des apparitions, puis de l'ensemble du ban communal.
Les autorités religieuses restent très prudentes et sceptiques et conseillent la même attitude au chargé d'âmes de la paroisse, notamment à l'abbé Michel Ulrich qui recueille, avec une certaine naïveté, les témoignages des "voyantes" de sa paroisse.
Le curé Alphonse Adam, qui lui succède en novembre 1876, puis l'abbé Boersch, à partir de 1879, prêtent une oreille moins attentive aux dépositions des visionnaires qui se font plus rares; par un patient et minutieux travail d'enquête, ils réussissent à montrer que ces apparitions sont nées de l'imagination des enfants, qui les uns après les autres, se sont rétractés.
Peu à peu le village retrouve sa sérénité.
Aujourd'hui une petite chapelle rénovée s'élève dans la forêt, près de la source "Mudergottes Brennela"; elle rappelle aux promeneurs et aux pèlerins ces évènements "surnaturels".
L'érection à Neubois, en 1883, de la "Confrérie du Rosaire Vivant", a-t-elle des liens avec ces apparitions ?
De nos jours, le culte marial connaît dans le village une dévotion particulière et continue à attirer des pèlerins venus de près ou de loin et il reste de même à L'Hôpital (Moselle) une dévotion mariale particulière des habitants qui s'exprime par la construction d'une Grotte de Lourdes inaugurée le 3 octobre 1954 dans une ruine.
De la chaire d'origine subsiste un ange, sculpture baroque en bois conservée au presbytère catholique de la paroisse de L'Hôpital.
(Photo : Vierge de la grotte de Lourdes de L'Hôpital)
Hélène Brauer
*********************************
Le webmaster :
MAIS... ON OUBLIE L'ESSENTIEL :
TOUTE CETTE HISTOIRE TOURNE AUTOUR D'UN EVENEMENT ESSENTIEL : LE CHATEAU DE CLOVIS 1er ROI DES FRANCS... ET DEBUT DE LA FRANCE CHRETIENNE... PERDUE AVEC LA REVOLUTION DES FRANCS MACONS...
UNE SEULE POSSIBILITE POUR NOUS...
LE RETOUR DE LA ROYAUTE POUR RETROUVER LA PAIX...
POUR L'INSTANT... RIEN DE NOUVEAU...
QUOIQUE...
**********************************************
LE LENDEMAIN MATIN...
L'ANGE M'A DIT :
" ILS VONT TOUS VISITER LE HAUT KOENIGSBOURG ... ET QUAND ILS S'AVANCENT SUR LES TERRASSES, ILS APERCOIVENT UnE MONTAGNE POINTUE EN FACE D'EUX... ELLE SEMBLE DORMIR COMME UNE BELLE AUX BOIS DORMANT... MAIS, QUAND LA ROYAUTE REFLEURIRA ET QUE LES SARRAZINS AUX FEMMES HABILLEES TOUT EN NOIR ET DONT ON NE VOIT QUE LES YEUX... SERONT PARTIS... ELLE BRILLERA COMME UN PHARE BRETON ... SES RAYONS COUVRIRONT TOUTE LA TERRE LORSQUE SERA OINT L'ELU DE DIEU PAR UN ST EVEQUE A REIMS EN RECEVANT LA STE AMPOULE COMME AU TEMPS DE CLOVIS... LA PAIX DE DIEU SERA PARMI LES HOMMES... "
Palma-Maria-Addolarata Matarelli naquit, le 31 mars 1825, dans la petite cité épiscopale d'Oria située dans les Pouilles entre Brindisi et Tarente, province de Lecce, dans le talon de la botte italienne.
C’était une simple paysanne illettrée de condition très modeste qui fut mariée à un berger. De cette union naquirent trois filles qu’elle perdit successivement en bas âge. Veuve à l’âge de vingt-huit ans, elle devint religieuse l’année suivante, en 1854.
La stigmatisée d’Oria rendit son âme à Dieu dans la nuit du 15 au 16 mars 1888, à 3h du matin. Le corps de Palma, exposé pendant cinq jours, resta souple et incorrompu. En le descendant dans le caveau des prêtes de la Mission, les fossoyeurs furent embaumés des parfums célestes les plus suaves.
Dès sa plus tendre enfance, Palma, l’extatique d’Oria fut favorisée de grâces extraordinaires. Elle a toujours mené une vie exemplaire et jouit d’une haute réputation de sainteté, sauf auprès des adversaires obstinés du surnaturel de la révélation privée. Tous ces dons extraordinaires dont elle fut gratifiée ont subsisté jusqu’à sa mort.
Cette âme mystique était favorisée de faits surnaturels tels que les stigmates, l'extase et l’inédie ; c’est-à-dire que durant de nombreuses années, elle conserva la vie par un miracle permanent ; elle était nourrie miraculeusement sans prendre d’autres aliments que la Sainte Eucharistie. Tous les matins, l'extatique communiait de la main d'un prêtre, et, fréquemment, Jésus, le divin Epoux, venait la lui donner de sa propre main.
Depuis le 3 mai 1857, fête de l'exaltation de la Sainte-Croix, elle reçoit les stigmates alors qu’elle prie devant le tabernacle de l’église Saint-François d’Oria. À partir de ce jour-là, elle porte sur son corps les sacrés stigmates de Notre-Seigneur Jésus-Christ et, jusqu’à sa mort, elle endure les pires souffrances les vendredi et lors de la semaine sainte. Le sang qui s'échappe de ces saintes plaies produit souvent les effets les plus merveilleux ; il imprime partout où il tombe des images symbolico-religieuses qui plongent les hommes les plus incrédules dans une stupéfaction pleine d'admiration. Beaucoup de témoins ont pu constater des empreintes de cœurs enflammés, ou des linges brûlés par le sang, comme l'eût fait un charbon incandescent.
Le Docteur Imbert-Gourbeyre qui a visité la stigmatisée, évoque aussi d’autres phénomènes mystiques : l’hyperthermie, le baume qui sort de la bouche de Palma, l’odeur d’huile aromatique qui apparaît sur son corps...
Elle est en communication surnaturelle avec Mélanie de la Salette et Louise Lateau, la stigmatisée de Bois-d'Haine, en Belgique. Des lettres écrites par le directeur de la stigmatisée du Hainaut et du journal tenu par le respectable prêtre d'Oria, il résulte de toute évidence que Palma connaissait Louise Lateau avant qu'aucune source humaine lui eût appris le nom de cette jeune personne et les faveurs signalées dont elle jouit. Palma prétend être allée au village de Bois-d'Haine pendant l'extase de Louise ; et, en fait, elle a donné sur Louise Lateau, sur sa chambre, sur ses parents, sur leur habitation, des descriptions concordant parfaitement avec les détails contenus dans les lettres que, depuis, diverses personnes de Belgique ont écrites à Oria. Palma disait que sa soeur du Hainaut serait appelée à de grandes choses.
Le don de bilocation dont jouit la stigmatisée d'Oria est quelque chose de plus surprenant encore. Pendant ses extases, ce qui paraît être son corps devient parfois d'une immobilité et d'une insensibilité cadavérique. Alors sa véritable personne franchit merveilleusement les espaces et va visiter les pays les plus éloignés. Plusieurs fois elle a parcouru de la sorte une partie de la Chine, et, a son retour, elle fait chaque fois sur les lieux qu'elle a vus les descriptions les plus précises et les plus détaillées. Son directeur, qui tient note de tout, a fait venir de l'étranger des ouvrages spéciaux concernant la Chine, et il a pu vérifier l'exactitude littérale des descriptions de Palma comme, entre autres, celle qu'elle faisait de la grande muraille.
Elle est aussi favorisée d'une grande vue prophétique ; Notre-Seigneur se plaît à dévoiler l'avenir à cette âme pure qu'il honore de ses divines préférences, et lui fait connaître où nous conduisent les événements présents, et comment sa Providence saura en diriger le cours pour amener le triomphe de l'Eglise. Palma communique le tout a son directeur, afin que celui-ci le fasse tenir au Saint-Père. Ce respectable prêtre disait : "Pie IX sait tout, faites bien attention à toutes ses paroles, pesez-les bien toutes".
Ses prédictions firent le tour de l'Europe. Maria d’Oria nous annonce :
« La proclamation de la République en Espagne sera le signal !
La République sera proclamée en France, en Espagne et en Italie et y sera suivie de la Guerre Civile.
Aux troubles de la Révolution se joindront d’autres châtiments, comme la peste et la famine.
Ce sera court ; la France sera la première punie et la première relevée ».
Dans une lettre, datée du 19 octobre 1872, Mélanie Calvat, la voyante de La Salette, raconte sa visite à Oria et sa conversation avec Palma. En voici un extrait :
« Je parlais encore, quand elle s’écria : "Oui, oui, ils sont là, les fléaux, nous y sommes, nous y touchons... Il y aura quelque chose, et partout il y aura du mal". Après avoir parlé de différentes choses, je rappelai ma compagne et ma sœur de charité. Nous parlâmes alors des ténèbres, et Palma dit : "Nous y sommes aux ténèbres, elles sont répandues sur la terre ! - Oui, lui dis-je, mais les autres ténèbres viendront-elles aussi ? - Elles viennent toujours plus obscures, dit-elle. - Alors, je lui dis : "Mais, je veux parler des ténèbres extérieures… - Ah, vous voulez dire quand les démons sortiront de l'enfer et que l'air sera corrompu. Mais ce n'est pas encore et ce ne sera qu’après les massacres et les grands massacres. Ce sera la dernière plaie, et puis Dieu fera le grand miracle, le triomphe de l'Église" ».
Entre autres choses extraordinaires, le directeur spirituel de Palma, selon le désir de sa pénitente, fit parvenir une prophétie au Saint-Père. La stigmatisée napolitaine annonçait des guerres sanglantes, et spécialement des guerres civiles ; l'avènement d'une triple république : république en France, république en Espagne et république en Italie. Elle prédisait des jours d'oppression pour l'Eglise.
Ces révélations prophétiques annoncent pour l'Eglise un triomphe éclatant, et pour la France, une série de malheurs plus grands et plus terribles encore que ceux vécus dans le passé par ce malheureux pays : "Dieu est irrité, contre le peuple, qui laisse debout dans Paris la statue de Voltaire".
Le journal "l'Univers", dans son article du 17 mars 1872, a rapporté des détails intéressants sur certaines révélations de l’extatique d’Oria. Malgré le soin qu'elle a pris de demeurer cachée, cette femme s'est vue peu à peu mise en lumière, des prélats, des prêtres, des laïques pieux se pressent autour de son lit de douleur et l'interrogent. Quand l'obéissance lui en fait un devoir, elle répond, et ses paroles révèlent toujours une vaste et sublime conception. Le journal "l'Univers" parle de "bouleversements horribles" et de "luttes sanglantes".
Voici en substance ses prédictions :
1° La république sera proclamée en France, en Espagne et en Italie, et sera suivie de la guerre civile dans ces pays. 2° L'ex-empereur Napoléon est menacé d'une mort violente, loin des Tuileries. 3° D'autres châtiments, comme la peste et la famine, accompagneront les troubles civils. 4° Des prodiges et des signes apparaîtront clans le ciel. 5° Paris sera détruit. 6° Rome en particulier souffrira beaucoup, et les méchants mettront à mort quelques dignitaires de l'Eglise. 7° Mais ils seront enfin écrasés et anéantis. 8° Après une guerre relativement assez courte, la vraie paix sera faite ».
Dans une correspondance de Rome, on peut lire : "Ce que j'ai pu savoir de ces révélations prophétiques; c'est qu'elles annoncent pour l'Eglise un triomphe éclatant… Et pour la France une série de malheurs plus grands et plus terribles que ceux par lesquels ce malheureux pays vient de passer ».
« Rome, le 20 décembre 1871.
Il y aura trois jours de ténèbres au cours desquels l’atmosphère sera infestée par une multitude de démons; pas un seul démon ne restera en enfer : tous en sortiront, ou pour exciter les bourreaux, ou pour décourager les justes. Ce sera affreux ! affreux !!!
Mais une grande Croix apparaîtra dans le ciel, et le triomphe de l'Église sera tel qu'il aura vite fait oublier tous les malheurs !
Pendant ces trois jours de ténèbres, seuls les cierges bénits pourront brûler et protègeront de ce fléaux épouvantable tous les Catholiques qui seront restés fidèles.
On verra des prodiges dans le ciel. Une guerre féroce mais de courte durée aura raison des ennemis de la religion. La pacification du monde entier et le triomphe de l’Eglise s’ensuivront.
Palma a vu dans le ciel une grande croix d'où sortaient huit rayons tombant sur la terre. Quatre de ces rayons étaient de miséricorde, quatre de justice. Les rayons de miséricorde éclairaient l'Orient et l'Occident. Les rayons de justice frappaient la France, l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie. Puis elle a dit qu'au, l'Espagne, la France et l'Italie entreraient dans une phase de bouleversements horribles. Les royautés d'emprunt des deux péninsules ibérique et italienne seront renversées. Sous le prétexte de relever ces monarchies, surtout celle de Victor-Emmanuel, qui a un traité avec Guillaume, et de rétablir l'ordre social que la politique de Bismarck a si profondément troublé, les armées allemandes envahiront de nouveau la France et Paris sera châtié une seconde fois et pris. Des luttes sanglantes épouvanteront le monde ; la Russie s'unira à nous, ainsi que l'Amérique, l'Angleterre, et plus tard l'Autriche. Les champs de bataille de l'Italie se couvriront de morts allemands, russes, français et italiens. Après des alternatives redoutables, les Prussiens seront vaincus, écrasés partout et peu d'entre eux retourneront dans leurs foyers, et le roi de France, acclamé par le peuple, régnera, et Pie IX rentrera à Rome pour y jouir des premiers jours du triomphe de l'Eglise ».
Quoi que M. de B. eût pour consigne de ne faire aucune question de curiosité à la voyante, il crut cependant pouvoir se hasarder à lui demander si ces massacres auraient lieu au mois de juillet, comme on le lui avait fait dire dans le journal l'Univers :
« J'ai dit cela ? fit-elle, je n'en sais rien ! Ce que je dis dans l'extase, je n'en conserve pas le souvenir. Je connais bien l'époque, mais je ne puis la révéler ».
Voici ce qu'elle a annoncé au vénéré et digne abbé de B.... :
« Il y aura des massacres affreux de prêtres et de religieux en Espagne, en France, en Italie, et surtout dans la Calabre : ce sera bientôt. Nous y touchons. Puis, s'illuminant, tout à coup, elle parla du bonheur du martyre avec des accents ineffables ».
Lettre de Rome du 15 mars 1872.
« Dieu résiste aux superbes et donne sa grâce aux humbles. Que l'on interroge les maîtres du monde sur l'avenir, ils sont muets. Leur ardeur s'emploie à retenir le présent qui leur échappe. Les humbles, qui n'ambitionnent pas les biens de ce monde, ont des vues supérieures. Dieu permet que leur regard plonge par-delà nos horizons, et aperçoive d'une façon plus ou moins claire les événements futurs. L'histoire ecclésiastique est remplie de semblables témoignages. Dans ces derniers temps, on a su beaucoup de choses par les humbles ».
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Dim 16 Juil - 16:57
ENVOI DE BEATRICE DU 17
UN TEXTE DU 15 AVRIL 2017...
LE FRANKENBOURG, là où est née la France par les prières de Sainte CLOTHILDE en 496 !
Frankenbourg, le Château des Francs, est sis sur une montagne prestigieuse, aux lignes les plus pures, au passé le plus glorieux, à la valeur spirituelle la plus grande :
LE FRANKENBOURG, là où est née la France par les prières de Sainte CLOTHILDE en 496 !
Frankenbourg, le Château des Francs, est sis sur une montagne prestigieuse, aux lignes les plus pures, au passé le plus glorieux, à la valeur spirituelle la plus grande :
Elle est le Calice du monde, le Sinaï sur le territoire français, lieu de centaines d’apparitions qui eurent lieu de 1872 à 1877, nous rappelant que c’est là que sainte Clotilde a prié pour le conversion et la victoire de Clovis sur les Alamans, et elle fut brillamment exaucée !
Les Francs descendent des Gaulois et des Celtes, issus eux-mêmes des Juifs de la tribu de Juda exilés de Babylone.
Voilà pourquoi nos rois sont d’ascendance davidique et que par exemple le mot Saxon vient de « Isaac son », qui veut dire « Fils d’Isaac ».
Beaucoup savent que, perçant la voûte des Cieux par sa prière ardente, Sainte Clothilde obtint la conversion de Clovis après la bataille de Tolbiac contre les Alamans, en 496.
C’est au pied de la montagne du Frankenbourg, à Scherwiller près de Sélestat puis sur toute l’Alsace qu’eurent lieu ces terribles combats. Converti, Clovis fut baptisé Roi des Francs par Saint Rémi recevant la Sainte Ampoule d’une Colombe et assisté de Sainte Clotilde !
C’est ainsi que la France dont les rois étaient de la lignée de la tribu de Juda, prit conscience de sa mission.
De même qu’on entendit la voix du Père au baptême de Jésus, cette même voix ce fit entendre au baptême de Clovis.
Sa destinée de Fille aînée de l’Eglise est préparée depuis des siècles également par l’arrivée de la famille de Lazare, aux Saintes-Marie de la Mer, de saint Pierre à Manduria. *
Car c’est lui qui, de Rome envoya saint Materne, fils de la veuve de Naïm ressuscité par Jésus, en Alsace.
Saint Materne est l’un des 72 disciples. Il est peint en grand dans le choeur de l’église de Neubois. Il créa des communautés chrétiennes qui nous valurent d’avoir sainte Clotilde en ce lieu. Et, au sommet de cette montagne où elle pria se trouve le château des Francs (Frankenbourg) aisément repérable sur les cartes.
La Très Sainte Vierge Marie nous a invité à retrouver ce lieu béni en 1977 jusque-là oublié et même ignoré des historiens !!!
Apparaissant à Odette-Marie Huguenin devant l’église de San Damiano, elle lui donne sa mission : retrouver ce lieu. Cela lui nécessita 6 années de recherches, et l’organisation d’un pèlerinage en la fête du Précieux Sang.
De grandes grâces salvifiques pour notre pays ont été promises et certaines d’ores et déjà été accordées …
Et la Vierge Marie précisa à Odette-Marie Huguenin :
LE FRANKENBOURG, là où est née la France par les prières de Sainte CLOTHILDE en 496 !
Et la Vierge Marie précisa à Odette-Marie Huguenin :
« Là un jour, il se passera de grandes choses ».
Cette dernière ignorait, bien sûr, de quoi la Vierge Marie parlait.
C’est en 1983 qu’Odette-Marie s’est trouvée littéralement propulsée sur cette sainte MONTAGNE, alors qu'il n'y avait aucune indication, à ce moment-là, et que les Alsaciens, eux-mêmes, ne connaissaient pas l’Endroit. « Cela est bien la preuve que c'est le Ciel qui m'a mandatée pour cette Mission que je n'aurais jamais pas pu faire de moi-même. D'autre part, je n'aurais, sans doute, pas pu tenir depuis tant d'années à lutter contre la rage que Satan a mis, dès le début, pour me décourager, dira-t-elle ! »
Nous avons fait la réouverture des pèlerinages en Avril 1984 et depuis ce jour, le diable qui s'était donné tant de mal pour nous faire oublier que c'était là que Sainte CLOTILDE avait tant prié, en 496, pour la conversion de CLOVIS et de la France, devint fou de rage et ne m'a plus laissée tranquille !...
Il n'a plus cessé depuis ce jour, à semer la division dans nos rangs avec ses suppôts qui veulent me supplanter... en pensant qu'ils feront mieux que celle que DIEU a choisie... Ils jettent la confusion parmi les pèlerins.
JESUS a dit à Odette-Marie :
« SUIS-MOI mais ne me devance jamais, sinon ce serait de l'ORGUEIL et là, c'est Mon ennemi que tu rencontrerais »
Mais ces gens-là, n'écoutent rien.., ils foncent, ils foncent comme des insensés.., guidés par le démon. Si c'était le Saint-Esprit qui les guidait, ils seraient venus nous rejoindre dans nos rangs avec humilité en respectant le Plan Divin.
La Sainte TRINITE demande à Odette-Marie qu’elle nous transmette le plus IMPORTANT Message de l'Heure :
l’Eglise et Sa Fille Aînée, la France, s’enlisent de plus en plus.
« La REPUBLIQUE EST TERMINEE »
« La REPUBLIQUE TOMBERA DANS L'OPPROBRE GENERALE »
C'est la raison pour laquelle, l'ennemi a frappé de plein fouet celle qui a été missionnée pour faire connaître le BERCEAU de la Fille Aînée de l'Eglise : - LE FRANKENBOURG -
Toutefois, vous le savez bien, DIEU n'a pas dit Son dernier Mot.
Odette-Marie ne savait pas ce que Dieu allait faire d’elle.
Le Seigneur se sert de toutes les souffrances offertes…
Odette-Marie est gravement malade et sa santé s’est dégradée le 14 Février 2017.
Elle n’habite plus chez elle et demande beaucoup de prières.
Cependant, le Seigneur demande à Odette-Marie d'insister, surtout en ces jours tourmentés... sur le Message IMPORTANT du FRANKENBOURG, qu’elle nous a déjà dit et redit mais qui n'est pas encore intégré dans les esprits et encore moins dans les cœurs !
Pourtant, L'HEURE EST TRES PROCHE !...
Odette-Marie parle de l'arrivée du Libérateur que DIEU attend de nous envoyer et du Grand Pape Pierre II.
Nous sommes nés une République laïque et athée, et beaucoup ne peuvent encore croire à cette approche divine parce qu'ils croient toujours aux « fables » de Satan et des Francs-maçons républicains qui nous mènent vers la démoncratie !...
***************************
Ainsi JESUS dit :
« HOMMES DE PEU DE FOI, QUE CRAIGNEZ-VOUS ???... »
Il veut nous envoyer celui qui va nous libérer de l'esclavage de Satan et plutôt que de PRIER pour cela, ils vont aller voter pour l'un de ces MENTEURS corrompus, animés du « malin » !!!
Après cela, ne nous étonnons pas que DIEU tarde à nous envoyer Son Lieutenant !!!
Invitons les Chrétiens à beaucoup prier Dieu pour qu’Il nous l’envoie rapidement.
Eclairons-les, c'est la Mission que DIEU nous donne !...
DIEU a Son Plan, mais les hommes ne cherchent pas à le mettre en place pour Lui donner satisfaction !
C’est scandaleux !!!
... car beaucoup d’hommes suivent leur volonté sans la soumettre à l’Esprit-Saint car Dieu nous a laissé notre LIBRE-ARBITRE...
IL ne peut donc pas intervenir si nous suivons le « singe » de Dieu, Satan !!!
Il est grand temps d'enlever les écailles de nos yeux, comme Saint PAUL sur le Chemin de Damas et d'écouter la VOIX du Seigneur, qui attend nos Suppliques sincères, pour nous envoyer le Roi-Sauveur et le Grand Pape Pierre II
SI SEULEMENT ODETTE HUGUENIN... AVAIT COMPRIS QUE LORSQUE JE L'AI RENCONTRE AU FRANKENBOURG LE 7 JUILLET 2002 ... PUIS A SETE ... QUE L'ON AURAIT PU TRAVAILLER ENSEMBLE POUR FAIRE CONNAITRE LE FRANKENBOURG ET BOUXIERES AUX DAMES...
MAIS, ELLE EST DECEDEE EN 2019...
JE SUIS EN BRETAGNE... JE TRAVAILLE POUR LE LIEUTENANT DU CHRIST QUI S'EST REVELE EN 2020... ANDRE DE BIASE...
PIERRE II ? Je ne sais pas encore... Il se révèlera à l'heure de DIEU... Mais, cela ne saurait tarder...
ANDRE DE BIASE VA RENCONTRER LE PAPE FRANCOIS A MARSEILLE LE 23 SEPTEMBRE PROCHAIN...
PRIONS POUR LUI
********
La dernière fois que j'ai vu ODETTE HUGUENIN, c'était à DOMREMY... Très élégante, elle ne m'a pas adressée un mot... En 2005... 2006 ? Je ne sais plus...
Avais-je déjà été à DERVAL 44 ? Mais, vu que je n'avais pas tout compris *... Je ne pouvais rentrer plus dans le sujet... Sinon parler à tous des EVENEMENTS DE BOUXIERES AUX DAMES...
ODILE CHEVASSON qui avait organisé la rencontre avec des VOYANTS pour son association http://temoins-amour-esperance.fr/ dans la BASILIQUE DU BOIS CHENU... a accepté que Odette témoigne du FRANKENBOURG au micro...
Lorsque je me suis avançée pour témoigner de BOUXIERES AUX DAMES, ce fut un REFUS TOTAL de la part de ODILE...
Plus tard, ODILE CHEVASSON confia des responsabilités à NICOLE DANER... décédée... Ancienne pharmacienne de Champigneulles 54, elle affirmait que BOUXIERES AUX DAMES était complètement faux...
Voilà des femmes qui ont décidément manquées de LUMIERES...
* Il aura fallut la rencontre avec ANDRE DE BIASE... et bien des mois, pour que je comprenne enfin tout le SENS de notre histoire ROYYALE... et UNIQUE pour la FRANCE....
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Mar 18 Juil - 2:37
LES 1er CHATEAUX D'ALSACE... Le Purpurkopf. AN 1049
ILS OUBLIENT QUE LE CHATEAU DE CLOVIS 1er DATERAIT DE L'AN 470 et +
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Mar 31 Oct - 18:13
31 OCTOBRE 2023... HALLOWEN...
Alors qu’Halloween se rapproche, la saison des mystères et des légendes prend tout son sens. Laissez-nous vous guider dans les méandres d’une histoire ensorcelante, celle de la Dame Blanche du Haut-Kœnigsbourg, qui hante les sommets de l’Alsace. Cette légende est imprégnée de mystère, de châteaux, et bien sûr, de tragédie ancestrale.
Situé majestueusement sur une colline boisée du massif vosgien, le château du Haut-Kœnigsbourg est une forteresse emblématique l’Alsace. Mais ce n’est peut-être pas seulement son architecture imposante qui attire les visiteurs ; surement aussi l’ombre fantomatique de la Dame Blanche qui plane sur ses tours et ses murailles.
Une apparition spectrale La légende de la Dame Blanche du Haut-Kœnigsbourg remonte à des siècles. Selon les récits, cette dame mystérieuse serait le spectre d’une ancienne habitante du château. Alors que la forteresse était en proie à une bataille féroce, la châtelaine aurait été forcée de fuir, poursuivie par des ennemis. Dans sa détresse, elle se serait jetée du haut des remparts.
C’est depuis ce triste événement que l’apparition de la Dame Blanche est devenue une légende. On dit que son fantôme hante toujours les couloirs sombres du château, errant mélancoliquement à la recherche de réconfort ou de rédemption.
Un signe de protection La légende de la Dame Blanche revêt une dimension particulière à l’automne. On raconte qu’elle n’est pas une entité maléfique, mais plutôt un signe de protection. Pour les chanceux qui croiseraient sa route, sa présence est censée apporter le bonheur et la sécurité.
Il est dit que la Dame Blanche du Haut-Kœnigsbourg veille sur le château et ses environs, protégeant ainsi les voyageurs et les visiteurs. En particulier, elle est connue pour veiller sur les amoureux sincères, les guidant dans leur quête d’amour éternel.
Une visite ensorcelante pour Halloween Le château du Haut-Kœnigsbourg est ouvert aux visiteurs tout au long de l’année, mais la période d’Halloween est l’occasion idéale pour explorer les mystères de ses environs. Lorsque les nuits deviennent plus sombres et que l’automne enveloppe les forêts d’une aura mystique, une visite au château pourrait bien vous transporter dans l’univers envoûtant de la Dame Blanche.
Alors, pour célébrer Halloween de manière différente cette année, pourquoi ne pas en profiter pour tenter de rencontrer la Dame Blanche du Haut-Kœnigsbourg ?
Elle vous réserve peut-être une apparition inoubliable. Après tout, Halloween n’est-il pas le moment idéal pour explorer les mystères et les légendes qui peuplent notre monde ?
PENDANT QUE LE CHATEAU VOISIN RESTE LE PION BLANC DE L'HISTOIRE ?
Si une âme hante un lieu qu'elle a habitée, c'est qu'elle n'arrive pas à monter vers la LUMIERE... Une bonne messe l'aidera à s'élever ... Ou plusieurs si c'est une grande pécheresse... sur les lieux de sa manifestation...
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Sam 25 Nov - 12:40
UN QUEBECOIS A COTE DE SES POMPES...
le webmaster :
d'une grande ignorance, il écrit ceci :
NAVRANT... JE N'AI PAS D'AUTRE MOT !!! PAUVRE VIERGE MARIE... PAUVRE MONDE...
il s'appelle Pierre-Stan Castonguay... Il est quebecois et il n'a jamais pris la peine de venir en FRANCE...
On ne retiendra pas son nom...
*******************************
POST SUR MA PAGE FFACEBOOK ( au moment où le quebecois ( certains sont plus éclairés dans ce pays comme par exemple SYLVAIN BEAUPRE ... L'administrateur de notre GROUPE : )
https://www.facebook.com/groups/1404292613774662
*********
PONTMAIN EN MAYENNE...
Au moment où tout semble perdu la Vierge de Pontmain apparait
..
EXACTEMENT DANS LE MEME TEMPS ET POUR LA MEME CAUSE !!!
LA MAYENNE
VOIR VIDEO :
https://www.facebook.com/reel/1399857487577018
**************
VOUS NE SAVEZ PAS ?????????
EH ! BIEN MOI .... JE ME DIS QUE LA VIERGE MARIE ME DEMANDE D'ALLER A PONTMAIN ( à 50 km de RENNES )... AVANT NOEL POUR Y PRIER POUR TOUS CES IGNORANTS QUI PULLULENT DANS LE MONDE...
MARIE SE DONNE TELLEMENT DE MAL DEPUIS TANT D'ANNEES POUR NOUS DIRE QUE L'HEURE EST GRAVE... QUE LA FRANCE TOMBEE DANS LA REPUBLIQUE EST AU BORD DU PRECIPICE !!!
MARIE A BESOIN PLUS QUE JAMAIS DE NOS PRIERES §
...
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Lun 11 Déc - 14:34
le webmaster :
UNE VIDEO QUE JE REVAIS DE VOIR ICI !
DECOUVRONS VITE SA LECTURE !
********************
C'EST TOUT ? On reste un peu sur notre faim !!! OU EST LA DESCENDANCE DU ROI DAVID DANS TOUT CELA...
REGARDONS CETTE VIDEO QUI NOUS EN DIRA SANS DOUTE PLUS SUR L'ORIGINE DES MEROVINGIENS...
*******
LE PERE DE CLOVIS... Peut-être le fils de MEROVEE...
Après tout... La FUTURE FRANCE se construira ainsi...
Childéric, le fondateur - Les Rois Mérovingiens n°2
********
Béatrice du 17 m'envoi cette vidéo...
MICHEL DESEILLE ( qui a bien connu ANDRE DE BIASE... pour avoir mangé une pizza chez lui à ROUY dans la Nièvre ) nous rappelle quelques faits qui pourront être des repaires...
" PLUS ON REMONTE DANS LE TEMPS... MOINS ON A DE SUPPORTS.... "
:fleur-de-lis: 25 décembre 498 : baptême de Clovis à Reims
Le 25 décembre 498 (496 selon certains historiens), Clovis est baptisé à Reims par l'évêque Remi, avec 3000 guerriers francs, dans la religion catholique. Grâce à ce baptême collectif, les Francs prennent l'avantage sur les autres barbares dans la conquête de la Gaule romaine.
Clovis a succédé à l'âge de 15 ans à son père Childéric à la tête des Francs saliens, une tribu germanique établie dans l'empire romain, sur les bords du Rhin inférieur et dans l'actuelle Belgique.
À peine élu, il entreprend la conquête de la Gaule et entre alors dans un milieu très romanisé et de religion catholique. Sous l'influence de Remi, évêque de Reims, il comprend l'intérêt de se rallier les Gallo-Romains en adoptant leur religion.
Sa femme Clotilde, fille du roi des Burgondes et pieuse catholique, le pousse à se convertir. En 496, à Tolbiac (en allemand, Zülpich), près de Cologne, les Francs repoussent une attaque des Alamans, une tribu germanique à laquelle nous avons emprunté le nom de l'Allemagne.
Selon la légende, c'est au cours de cette bataille difficile que le roi des Francs aurait imploré le secours du Dieu de Clotilde et pris la résolution de se convertir. Il passe à l'acte deux ans plus tard, le jour de Noël.
Grâce à sa conversion au catholicisme, Clovis peut s'enorgueillir du titre très symbolique de « Consul des Romains », conféré par l'empereur de Constantinople, qui dirige en théorie tout l'empire romain depuis que, quelques années plus tôt, en 476, le dernier empereur d'Occident a été déposé par un Ostrogoth.
Son baptême va faciliter la fusion entre les Gallo-Romains et leurs vainqueurs, les Francs. Mais il serait erroné d'y voir la naissance de la France. Celle-ci émergera 500 ans plus tard, comme l'Allemagne, sur les ruines du «Regnum francorum», le royaume des Francs de Clovis et de Charlemagne. In : http://tinyurl.com/yryynxk7
Couronnement 25 décembre 800 à Rome par le pape Léon III.... Mort le 28 janvier 814 à Aix-la-Chapelle
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Lun 18 Mar - 18:01
jean-francois.danchin@laposte.net
Cher ami du Frankenbourg, veuillez noter que le pèlerinage aura lieu le dimanche 7 juillet 2024. De plus amples renseignements vous seront communiqués en temps utile.
Dans la joie de vous retrouver à cette occasion, nous vous assurons de toutes nos prières en Jésus-Christ.
DU FRANKENBOURG A GARABANDAL... LA VOIE ROYALE SELON LE PLAN DE DIEU ...
*********************************
QUELQUES JOURS PLUS TARD...
MAIL D'UN PRETRE PRIANT AU FRANKENBOURG :
fr. Marcel de la Croix
À moi
Bonsoir Madame,
je vous remercie de votre message.
Pour information: il a du y avoir une erreur dans la publication sur votre site, car toutes les adresses courriel du message des Danchin apparaît sur la page.
Sauriez-vous les ôter du texte que vous avez publié ?
Je vous remercie, et en attendant de nous retrouver au pied du Frankenbourg, je vous souhaite de saints jours de la Passion, en attendant d'entrer dans la grâce de la Résurrection.
Père Marcel de la Croix +
***************************
MA REPONSE :
Vous avez raison ! je n'y avais pas fait attention....
Je laisse tout de même l'adresse de Mr DANCHIN... pour ceux qui voudraient de plus amples renseignements !!!
Vu que vous êtes sans doute le prêtre qui animerez le pélérinage, j'attire votre attention par le fait que si ODETTE HUGUENIN a été missionnée par la VIERGE MARIE à SAN DIAMANO pour faire renaître le FRANKENBOURG ( décédée ) et que j'ai connu ... Le CIEL, après m'avoir fait connaitre à mon tour ce lieu extraordinaire si important pour la FRANCE...
LE CIEL m'a montré LA SUITE DU PLAN DE DIEU ... DES MEROVINGIENS AUX CAROLINGIENS-CAPETIENS... :
Du 1er BERCEAU au 2ème BERCEAU en LORRAINE.... LAY ST CHRISTOPHE - BOUXIERES AUX DAMES au nord de NANCY !!!!
HELAS.... IL NE RESTE PAS GRAND CHOSE DE CE LIEU GRANDIOSE !!! Voyez plutôt :
Je vis actuellement en BRETAGNE... Où le CIEL m'a guidée vers la suite de SON PLAN.... Je suis allée de surprise en surprise !!!
L'HISTOIRE N'EST PAS FINIE... ELLE NE FAIT QUE COMMENCER...
DIEU N'ABANDONNERA JAMAIS SA CREATION... IL LA GUIDERA MALGRE ELLE DANS SON AMOUR INFINI...
Danièle la Lorraine
PIECE JOINTE : NOTRE DAME DU PRECIEUX SANG à BOUXIERES AUX DAMES
Alors que je venais de recevoir miraculeusement le jour de mon anniversaire ( 24/04/2005) les 50 pages du dossier du CURE CESARD , cette image couleur a retenu mon attention... Elle se trouvait dans le dossier...Je vais à la photocopieuse pour en reproduire une 100aine... et surprise, ELLE APPARAIT EN PLEURS...
Autre photo :L'EVEQUE FLEURI de NANCY en 1948 et le PREFET de NANCY ont dynamité le lieu d'APPARITION... Le groupe de prières du CURE CESARD prie sur les ruines de brique rouge ! ultime cadeau qui me fut donné par l'internet récemment !!! IL N'Y A PAS DE HASARD...
*************************************************** DANS LE GROUPE FACEBOOK André de Biase, l'enfant d'Alzo Di Pella
Yannick Van Doorne Tenez moi au courant quand vous revenez par le Frankenbourg, un lieu magnifique d'une importance majeure pour la France. J'habite à 15 minutes de la, on aurait pu se rencontrer.
**********************
REPONSE :
Dan Etteaime Auteur En attendant, vous pouvez prendre contact avec le groupe de priants qui poursuit l'oeuvre de Odette Huguenin ( qui n'était pas parfaite... mais décidée !!!) ... Ce qui rassure, c'est que depuis son décès, les priants continuent d'y aller...
LE 7 JUILLET en est la date ! le feu n'est pas éteint même si la flamme est petite !!! Ce lieu est très puissant ... plus qu'on ne se l'imagine !
vous pouvez vous signaler aux responsables du pélérinage qui habitent à Mulhouse ( jean-francois.danchin@laposte.net) .... pour prendre contact avec le groupe et par extention un petit mot gentil au père MARCEL DE LA CROIX qui sera heureux de prendre contact avec vous...
****************
Dan Etteaime Auteur J'AI ENVOYE UNE INFO DE REPONSE A YANNICK VAN DOORNE ICI et on me met en ATTENTE !!!! c'est quoi ce système quand je suis AUTEUR officiel ,,,,,,,,,,,,,,,,???????????????????????? J'AI PREVEU L'ADMINISTRATEUR SYLVAIN BEAUPRE !
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Lun 1 Avr - 11:49
7 JUILLET... UNE DATE
Au printemps 2023, à ma demande, André a mis un petit bouquet de pissenlits aux pieds de sa Vierge découverte au fond du ruisseau qui coule près de sa maison ancienne... Privé de son outil de travail, je venais de lui apporter une aide financière...
Dan Etteaime · DISPARU le lendemain de la fête du PRECIEUX SANG de JESUS le 8 juillet 2023... ( 7 JUILLET FRANKENBOURG... ) Réaparu la veille de PAQUES... 30 mars au SAMEDI SAINT... L'attente de MARIE pour la Resurrection de JESUS...
Pour une famille très priante on pourrait dire que cette histoire peut être assimilée à une grâce... EMILE n'était pas heureux !!!! On va apprendre bien des choses !!!!
Étonnant cette grâce de la Lumière sur la vérité qui vient enfin éclairer vos cœurs chers parents et grands-parents d'Emile ..en ce jour de Pâques et de la résurrection de notre Seigneur! Merci Seigneur! Émile est une source de prière constante ! Sancto Subito !!!!
Vanessa Dégremont
Repose en paix petit bonhomme la haut dans les cieux auprès de notre mère Marie.
Pauline Boscher · Je me permets de repartager un dessin de @Mathilde de Gt qui a tant de sens aujourd'hui. . En union de prières avec sa famille
Annonciade Niellini
Les.mots sont dérisoires face à une telle tragédie, mais Émile est un ange parmi les anges,il donnera la force à ses parents pour traverser cette dure épreuve, .tu es un être de lumière ,qui brille dans le ciel parmi les étoiles
Camille Ollivier-Corpechot
Chère famille d'Émile, je ne vous connais pas mais mon cœur de maman est bouleversé. Je ne connaissais pas la vie de sœur Benoîte Rencurel.
Je découvre, grâce à la demande de la maman d'Emile, cette vie magnifique que celle de sœur Benoîte. Depuis, je la prie sans relâche ainsi que le Saint Chapelet. Pour votre petit Émile si beau.
Vous pouvez compter sur ma prière chaque jour, chaque instant. Soyez guidés par la *bonne odeur* et le doux parfum de Notre-Dame du Laus ! Seigneur, par l'intercession de sœur Benoîte et de la très Sainte Vierge vient au secours du petit Émile, de ses parents, de sa famille. Et aujourd'hui c'est le jour de la Saint Benoît sœur Benoîte intercédez pour nous auprès du Seigneur. Amen
Repose en paix petit prince. Soutien à la famille.
Dan Etteaime
jE NE VEUX PAS TROP EXTRAPOLER.... bien que l'envie me prends de dire que cet enfant de gens très chrétiens aurait pu être victime d'un groupe illuminati... En sachant que ces gens fonctionnent toujours en fonction des dates chrétiennes !!!!
*************************
VIDEO :
@dan-ette
vous êtes extrordinaire EMMA ! Je n'ai jamais vu une telle vidéo !!! IL EST BIEN AVEC LA VIERGE MARIE.... Merci pour votre don !!!!
PETIT EMILE PARLE AU TRAVERS DE CETTE MEDIUM .....
Moun Luna depuis le début je pense que c'est un 8 clos familial ...super votre analyse Emma
AVEC MARIE JULIE JAHENNY....
EN PLUS... IL S'APPELLE EMILE SOLEIL !!!!! ET LA MAMAN.... MARIE...
_________________
Dernière édition par Ange Gabriel-Dan le Ven 5 Avr - 18:44, édité 1 fois
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Ven 5 Avr - 18:43
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Mer 29 Mai - 17:58
Re: pèlerinage du 7 juillet 2024 au Frankenbourg Complément Sanctus et Agnus
Jean Vincent à Roger, à tous...
Petit aparté suffisamment important , mais en liaison avec Clovis :
Tout ce que nous pouvons vous dire en ses heures dramatiques, parmi les politiciens qui briguent un confortable siège le 9 juin prochain nous rencontrons régulièrement sur des lieux Catholiques une seule personne :
Marion la Catholique !! *
Selon certaines prérogatives qui m’ont été accordées par notre Seigneur, j’ai eut le privilège de la faire avancer devant la couronne d’épine du Christ, l’un des vendredi du précédent Carême, la laissant quelques instants de plus que d’autres, en vénération devant la sainte Relique.
Arrêtant la file au cœur de l’église saint Germain l’Auxerrois à Paris.... Eglise dont la première pierre fut édifiée, dès 542, par Childebert, FILS de CLOVIS ……
Le souvenir de son authentique émotion est encore présent, elle me l’a d’ailleurs confirmé lors du départ du pèlerinage de Chartes, auquel elle a participer avec des proches, comme simple pélerin marcheur.
Il est certain qu’il s’agit pour l’heure d’une républicaine, mais authentiquement Catholique.
C’est pourquoi devant ce constat et cette évidence, très exceptionnellement, nous nous rendrons aux urnes républicaines afin de « voter » pour elle (et elle seule).
Ses positions actuelles dans les débats politiques confirment son engagement.
Marion la Catholique incarne certainement un avenir politique chrétien, elle mérite notre soutien. (D’autant plus que son rival est assuré de 34% d’intentions de « votes »).
Le Roy de France pourra d’ailleurs et sans risque de défaillance, inclure Marion dans son gouvernement au moment du renouveau.
Prions pour Le Roy très chrétien et pour la France lors de ce prochain pèlerinage sur les lieux de la naissance de France Catholique, aujourd’hui menacée par l’islam et la perfidie du démon, en ce moment particulier ou nous voyons néanmoins poindre signe d’Espérance.
Domine salvum fac Regem.
in Corde Regis et Mariae Reginae Terrae Sanctae et Francia
Jean-Vincent.
* Je suppose MARION MARECHAL... Non ?
Présente dès samedi matin pour la messe à Saint-Sulpice du pèlerinage Notre-Dame de Chrétienté, Marion Maréchal a marché les 40km entre Paris et le bivouac de Choisel, au sein du chapitre Saint-Louis de Gonzague, parfois sous la pluie.
Le webmaster :
Connait-elle le FRANKENBOURG ET SON PELERINAGE ????
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Mar 4 Juin - 21:20
FETE DE STE CLOTILDE.... PRINCESSE BURGONDE DEVENUE REINE DES FRANCS PAR CLOVIS 1er
**********************
*******
Mr AUBERT EST UN FIDELE PRIANT DU FRANKENBOURG... Ses infos sont très précieuses !
Je lui réponds par mail ceci :
***********************
SON DOCUMENT :
************
Le webmaster :
UNE PROPHETIE RESTE UNE PROPHETIE... ELLE SE REALISE OU PAS SELON QUE L'ON AURA PRIE POUR CELA...
Pour moi, l'EXIL dont parlent les prophètes peut tout aussi bien se passer en FRANCE....
COMBIEN SONT EXILES EN FRANCE ACTUELLEMENT... !!!!
EXIL = ABANDON...
POUR MOI, LE GRAND MONARQUE... LIEUTENANT DU CHRIST EST ACTUELLEMENT EN FRANCE ET SOUFFRE EN SILENCE... DIEU LE FACONNE ! IL EST SON VASE D'ARGILE...
IL VIT DANS LA PAUVRETE ET LE RENONCEMENT EN ATTENDANT LE JOUR OU DIEU LE FERA SE MONTRER DANS LA GLOIRE DIVINE...
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Ven 7 Juin - 12:35
GRAND PELERINAGE DU 7 JUILLET 2024 AU FRANKENBOURG !
NEUBOIS-FRANKENBOURG
Formulation commune pour les prières du pèlerinage acceptées par le Père Marcel
Roger AUBERT Animateur
Pour prier ensemble en ce jour !
Pour prier ensemble les prières du chapelet, au Frankenbourg le 7 juillet, nous adopteront les formules traditionnelles et de toujours : le vouvoiement, ainsi soit-il, etc …
- Prier le chapelet, c’est tenir la main de Marie.
- Lorsqu’on prie le chapelet devant le Saint-Sacrement, Jésus le reçoit comme s’il était dit par sa Mère.
- Lorsqu’on prie aux intentions de la TSVM, toutes nos intentions personnelles sont prises en compte et mieux exaucées.
- Le Rosaire ne comporte que les mystères joyeux, les mystères douloureux et les mystères glorieux. Les 153 « Je vous salue Marie » correspondent aux 153 poissons de la pêche miraculeuse.
- « Ceux qui visitent le Saint-sacrement et récitent le Rosaire chaque jour, verrons les peines du purgatoire qu’ils ont méritées, mais sans y entrer » a dit la TSVM à l’Escorial. -N.B.:Lorsque l’église est fermée, on fait une visite en esprit, à distance.
- Le Rosaire est la solution à tous les maux actuels.
- Avoir tous la même formulation, celle d’autrefois, c’est prier dans la paix. Prier en latin, déplaît bien plus au démon, auteur de tous les changements incessants ...
Formulations pour réciter ensemble le chapelet avant la messe.
Gardons le vouvoiementplus respectueux et les formules d’autrefois. Ce sont les désirs du Ciel exprimés en ses messages.
Le « Je crois en Dieu »
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, Créateur du Ciel et de la terre, et en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit, est né de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers, le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu, le Père tout-puissant d’où il viendra juger les vivants et les morts.
Je crois au Saint-Esprit, à la sainte Église catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair. à la vie éternelle. Ainsi soit-il.
Le « Notre Père »
Notre Père qui êtes aux Cieux, que votre Nom soit sanctifié, que Votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Donnez-nous aujourd’hui notre pain de chaque jour. Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. Ainsi soit-il.
« AMEN » ou « AINSI SOIT-il » signifient que ce qui vient d’être demandé c’est Dieu qui va le réaliser.
Le « Je vous salue Marie »
Je vous salue Marie, pleine de grâces, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il.
Gloire au Père
au Fils et au Saint-Esprit, comme il était au commencement, maintenant et toujours et dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
La prière de Fatima
Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer et conduisez au Ciel toutes les âmes, spécialement celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde.
Salve Regina
Salve Regina, Mater misericordiae. Vita, dulcedo et spes nostra, salve. Ad te clamamus, exsules filii Evae. Ad te suspiramus, gementes et flentes in hac lacrimarum valle.Eja ergo, advocata nostra, illos tuos misericordes oculos ad nos converte. Et Jesum, benedictum fructum ventris tui, nobis post hoc exilium ostende. O clemens, o pia, o dulcis Virgo Maria ! Amen.
Annoncés ad libitum de préférence par le prêtre
Les mystères joyeux
L’Annonciation L’humilité et le désir du salut
La Visitation La charité fraternelle
La Nativité Le détachement des biens temporels
La Présentation La pureté
Le Recouvrement Le service de Dieu avant tout
Les mystères douloureux
L’agonie La contrition de nos péchés
La flagellation La mortification des sens
Le couronnement d’épines Le pardon des bl. et irrév.
Le portement de la Croix La patience dans les épreuves
Le crucifiement L’amour de Jésus crucifié
Les mystères glorieux
La Résurrection La foi
L’Ascension L’espérance
La Pentecôte Les dons du Saint-Esprit
L’Assomption La grâce d’une bonne mort
Le Couronnement de Marie La persévérance finale
******************
Le webmaster :
VENEZ NOMBREUX ! IL EN DEPEND DE L'AVENIR DE LA FRANCE ROYALE ET DU MONDE !
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Sam 8 Juin - 19:30
Le webmaster :
JE RECOIS MAIL DE ROGER AUBERT CE MATIN :
JE REPLACE ICI CE QUE J'AVAIS POSTE TANTÔT :
***************************
CE QUI FERA EXPLOSER L'ARSENAL SOVIETIQUE LE 13 MAI 1984 !!!!!!!!!!!!!!!!!! JOUR ANNIVERSAIRE DE L'ATTENTAT CONTRE LE PAPE.... ET VOUS DITES :
LA VIERGE AVEC DES MAINS D'ENFANT ??????????? NON... Mr AUBERT... L'HISTOIRE DE ANDRE DE BIASE ... VOUS NE L'AVEZ PAS CONSULTE... CELA FAIT 4 ANS QUE JE L'AI PLACE SUR LE SITE !
LA MAIN DE ANDRE DE BIASE !!!!! .... il est SI PERSECUTE ACTUELLEMENT !!! ET J'AURAIS TELLEMENT AIME QU'IL SOIT LE 7 JUILLET AU FRANKENBOURG !!!!!!!!!!
j'EN PARLE SUR MON SITE A BIEN DES ENDROITS POURTANT !!!
Dernière édition par Ange Gabriel-Dan le Lun 10 Juin - 14:17, édité 1 fois
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Lun 10 Juin - 13:46
QUI SERA ELU A MATIGNON LE 8 JUILLET 2024 PROCHAIN ?????
SI ON PRIE BIEN LE 7 JUILLET 2024 AU CHATEAU DU FRANKENBOURG... LA GRACE DE DIEU POURRA SANS DOUTE INTERVENIR POUR AIDER LES FRANCAIS... DANS LEUR MALHEUR...
Emmanuel Macron dissout l’Assemblée nationale après la victoire du RN en France, la droite conservatrice remporte les élections européennes
@bridgieshoua
Pierre Hillard est un phare dans la nuit que nous traversons. Merci pour cette émission édifiante.
@francoislemarechal5522
Paix.Heureusement qu il y a Pierre pour dépoussiérer le fil eschatologique du Monde..
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Mar 11 Juin - 12:53
7 JUILLET... FETE DU PRECIEUX SANG DE JESUS... 7 AOUT... FETE DU PERE ETERNEL...
C'était au temps où j'étais dans le groupe facebook TU SAIS QUE TU VIENS DE BOUXIERES AUX DAMES SI...
VU QUE J'AVAIS DIT QUELQUES VERITES QUI N'ONT PAS PLU AUX ADMINISTRATEURS INCULTES... J'AI ETE MISE A LA PORTE DU GROUPE... C'EST CELA AUSSI BOUXIERES AUX DAMES...
REGARDEZ CETTE VIERGE... de l'église de Marbache... :
QUAND J'ETAIS PENSIONNAIRE CHEZ LES BONNES SOEURS A L'ECOLE STE ELISABETH A NANCY... en 4ème, tous les dimanches j'allais à la messe à l'église de MARBACHE... Devant moi, cette statue de VIERGE... !
Elle était si pâle et délavée que je m'en désolais...
Si un jour on m'avait dit que je la repeindrais un jour... bien des années plus tard !!!! ce fut fait en 2004 !!!
LA CLASSE !!!!!!!
TROP FORT DANIELE !!!
https://www.youtube.com/@TVLMMARBACHE
**********************************************
LE MEME JOUR... JE RECOIS CETTE INFO DE Mr AUBERT :
etc...
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Mer 12 Juin - 20:53
TOUT MON TEXTE A ETE SUPPRIME POUR AVOIR ETE TROP LONG !!!!!!!!!!!
JE RECOMMENCE !!! DEMAIN.... JE REPLACE TOUTES LES PHOTOS ET COMMENTAIRES QUE J'AVAIS SELECTIONNE !!!!
***********************************************
ENVOI DE ROGER AUBERT DU FRANKENBOURG EN ALSACE
QUAND ON ASSASSINE LES PAPES !!!!
APPARITION DU PAPE BENOÎT XVI RÉVÉLANT SON VÉRITABLE TESTAMENT ET CONFIRMANT ÊTRE LE DERNIER PAPE LÉGITIME SUR TERRE !
Le 2 février 2023, à la Chandeleur, une religieuse hispanophone de Colombie a eu une apparition/vision du pape Benoît XVI pendant la messe, puis une autre vision dans la soirée, dans laquelle Benoît révèle son véritable testament et dévoile la véritable situation au Vatican.
Le 7 février, elle a été annoncée par Radio Rosa Mistica Colombia, un peu comme Radio Domina Nostra de Don Minutella. Elle a ensuite été traduite en allemand par “Apostel der Eintzeit”. Mais nous supposons que l'animateur de radio colombien a des contacts, qu'il enquête sur ses sources et qu'il ne se contentera pas de publier quelque chose d'aussi lourd. Le document nous semble également authentique. Dans ce testament, il raconte le coup d'État au Vatican et révèle qui est vraiment Bergoglio, et ce qu'il lui a dit juste avant sa mort. Lisez-le et priez pour le discernement. Saint Paul dit qu'il faut tout discerner et préserver ce qui est bon.
Brève déclaration du traducteur allemand :
Ceci a été communiqué le 2 février 2023 en Colombie à Sœur Benedicta de la Sainte-Croix, membre de la communauté des Sœurs franciscaines de la Sainte-Croix, sous la forme d’une dictée lors d’une apparition du Pape Benoît, avec la demande de le rendre public, en particulier pour en informer la Curie du Vatican et l’ensemble du Collège des Cardinaux. Il s’agit d’une traduction préliminaire et anonyme basée sur le texte audio de la vidéo susmentionnée de Radio Rosa Mystica, Colombie. La question de l’authenticité doit être résolue par tous ceux qui voient ce testament posthume du pape Benoît XVI, décédé en décembre 2022. Il révèle des faits qui sont en partie extrêmement choquants dans leur malice démoniaque. Mais le testament est aussi un merveilleux témoignage d’une foi héroïque en Jésus-Christ, l’Unique Voie, l’Unique Rédempteur, qui devrait nous encourager tous, selon la volonté de Dieu, à l’imiter. La référence claire du pape Benoît XVI dans plusieurs phrases au Mysterium Iniquitatis, le mystère de la méchanceté, qui suivra son cours après sa mort, celle du dernier pape, ainsi que le témoignage de la direction souveraine de l’Église en ce temps d’épreuve par Notre Seigneur Jésus-Christ, « qui a tout sous contrôle », nous préparent à la bataille finale entre le bien et le mal, qui se terminera par le triomphe des élus, le triomphe du Cœur Immaculé de Marie.
*****************************
[size=24]Vision de Sœur Bénédicte de Sainte-Croix, le 2 février 2023, en la fête de la Chandeleur, pendant la messe :
Pendant que le prêtre louait les dons du pain et du vin, tout a été englouti sous mes yeux et j’ai vu le pape Benoît XVI. Il était vêtu de robes blanches et dorées ; il a loué les offrandes et l’autel, puis il s’est retourné pour louer le peuple. Je pouvais donc le voir clairement ; avant cela, je ne voyais que son dos.
Il a célébré la messe traditionnelle en latin. Sa robe était d’un blanc éclatant et il portait sur la poitrine une croix pectorale ornée d’émeraudes. Sur sa chasuble, il y avait des lys brodés d’argent et les cœurs sacrés de Jésus, Marie et Joseph entrelacés dans un brocart d’or.
J’ai été choquée de voir le pape Benoît XVI dans toute sa splendeur, à l’opposé de ce que j’avais vu dans mes rêves.
C’était alors le jour de ses funérailles ; il était habillé comme un pape, mais il ne brillait pas ; il était comme une personne ordinaire, marquée par l’âge.
Mais aujourd’hui, je l’ai vu différemment, je l’ai vu en pleine splendeur, rajeuni, plein de force de vie. Tout en lui brillait, comme s’il était irradié de lumière de l’intérieur. Son visage était celui d’une personne jeune, mais mature. Il avait l’air très concentré. J’ai ensuite entendu le pape Benoît XVI prononcer les paroles du canon dans un latin parfait, selon le rite de la messe tridentine traditionnelle. La chapelle était remplie d’encens, d’une couleur exquise, avec un mélange très parfumé de myrrhe. Il y avait un sentiment de sainteté dans l’air.
Je pense que toutes les personnes présentes ont eu la même perception. Il y avait une sainte crainte de Dieu. Nous étions tous remplis d’admiration. C’était très solennel lorsque le pape Benoît XVI a soulevé la Sainte Hostie qui avait été transformée en Corps du Seigneur. J’ai vu beaucoup d’encens s’élever vers le ciel. Un ange se tenait d’un côté de l’autel. Il était royalement vêtu et puissant, avec un calice d’or à la main. Ce calice débordait d’encens et montait vers le trône de Dieu. Encore en extase, j’ai levé les yeux et j’ai vu trois niches d’or ornées de pierres précieuses. Dans la niche de droite, j’ai reconnu saint Augustin d’Hippone et dans celle de gauche, saint Bonaventure, un saint de notre ordre franciscain. Tous deux sont des enseignants de l’Église. La niche du milieu était vide et j’ai vu le pape Benoît XVI flotter jusqu’à cette niche pour y prendre place. J’ai regardé l’ange remplir l’autel d’une grande quantité d’encens, puis je l’ai vu consacrer le pape Benoît XVI et les autres saints qui étaient avec lui. Devant chaque encensoir, l’ange s’inclinait.
Puis j’ai vu le pape Benoît XVI enlever sa calotte et se sacrifier à Dieu. Il a ensuite baissé son regard jusqu’à ses pieds, comme s’il s’agissait d’un miroir à travers lequel il regardait la coupole de la basilique Saint-Pierre. J’ai vu qu’il regardait toute l’église et qu’il se couvrait le visage de ses mains, tout comme les deux autres saints à côté de lui, saint Augustin d’Hippone et saint Bonaventure. On aurait dit qu’ils avaient honte de voir ce qui se passait dans l’église. Le prêtre s’est approché de moi pour me donner la communion. J’étais encore en extase, mais je n’ai pas vu le prêtre, j’ai vu Benoît XVI. Lorsqu’il s’est approché, j’ai dit « Saint Père » et j’ai reçu la communion. Ensuite, je suis tombé dans une sorte de calme spirituel.
Je répétais sans cesse : « Saint Père, Saint Père ».
Lorsque j’ai repris mes esprits, il a fallu m’aider à regagner ma cellule, car je me sentais faible et gênée, car des invités étaient présents à la messe du 2 février 2023 et, d’après ce que l’on m’a dit, toutes les personnes présentes étaient conscientes de l’extase que j’avais eue. Pour une personne ordinaire comme moi, de tels événements surnaturels sont au-delà de mes capacités. Beaucoup ne savent pas à quel point on souffre de ces grâces surnaturelles.
*************
Le même jour, le 2 février 2023, à 23 heures, le pape Benoît XVI est de nouveau apparu à Sœur Benedicta.
Cette fois, je l’ai vu dans ma cellule, portant sa robe papale blanche, sa belle croix d’émeraude sur la poitrine, son anneau de pêcheur et ses chaussures d’un rouge très vif. Il était assis sur une chaise que j’ai à côté de mon lit, mais la chaise n’avait pas l’air réelle, c’était une chaise haute, tapissée de blanc, le bois qui l’ornait était finement sculpté et doré, très élégant et sobre, l’ensemble étincelait d’un éclat radieux. Le blanc était très intense et sa peau était rosée. Son visage était sain, reposé et frais, d’un calme inébranlable.
Je me suis écriée : « Votre Sainteté, c’est bien vous ? Je n’étais pas encore complètement rétablie. Je l’ai entendu prier en latin d’une voix sonore. C’était comme une prière pour l’Église. Sa prononciation était parfaite, quel grand latiniste ! Il m’a regardé, a souri et a dit : « Laudetur Jesus Christ ». J’ai répondu : « In saecula saeculorum ».
Il a poursuivi : « Lève-toi, car notre Seigneur veut que tu écrives ce que l’on a voulu cacher après ma mort. Il est impératif que tu le fasses, et j’ai beaucoup de choses à dire ».
Sa Sainteté m’a parlé en latin et je l’ai compris dans un espagnol parfait. Il y a quelque temps, un autre saint m’a parlé en français et je l’ai compris en espagnol. Comment faites-vous ? Je n’en sais rien. Tout ce que je sais, c’est que je comprends ce qu’ils me disent. Je me suis donc assis avec difficulté et j’ai pris du papier et un stylo pour écrire.
Le pape Benoît XVI m’a dit :
« L’histoire est longue, et ce que je vais raconter provoquera un ouragan qui ébranlera l’Église dans ses fondements, en particulier le gouvernement central, la Curie du Vatican. Mes ennemis se sentent gagnés par leurs succès, mais leur joie ne durera pas longtemps. Ils se disent entre eux : nous l’avons enfin réduit au silence. Son vote avait nui à nos intérêts. Quel soulagement !
Mais ils ne tiennent pas compte de la volonté de Dieu. Ils ne s’attendent pas à ce que je parle, ils ne pensent pas à cette possibilité, ils pensent que les morts ne parlent pas, mais ils oublient que Dieu est juste et que parfois, comme dans mon cas, il les laisse parler, même si c’est depuis l’éternité, et témoigne de la vérité qu’est le Christ. Je suis avec Dieu et je vis pour les siècles des siècles. Notre Seigneur sait écrire droit sur des lignes tordues, et il m’a permis de me révéler à différentes âmes après ma mort, pour témoigner qu’il y a une vie après la mort, et que même si l’on veut me faire taire, la vérité se fera jour, même si c’est post-mortem.
Pendant la messe de funérailles de mon grand ami Jean-Paul II, j’ai ressenti un grand élan dans mon cœur. Jean-Paul II avait subi une intervention chirurgicale au cou dans le seul but de le réduire au silence et d’aggraver ainsi son état de santé, pour l’empêcher de prendre des décisions incompatibles avec la franc-maçonnerie ecclésiastique qui occupait de hautes fonctions au sein du gouvernement central, et non comme l’ont prétendu les médias de l’époque.
Le pape Jean-Paul II avait en tête un autre plan de gouvernement, qui ne prévoyait pas de changements à moins qu’ils ne soient nécessaires. Il s’est d’abord montré sceptique à l’égard d’une enquête menée au sein de la Curie du Vatican, un rapport qui contenait des informations très importantes et compromettantes nécessitant des changements immédiats parce qu’elles menaçaient la stabilité de l’Église, des informations connues en détail par son prédécesseur, le pape Jean-Paul Ier, qui a été assassiné non seulement parce qu’il connaissait ces informations, mais aussi parce qu’il avait lancé une purge impliquant des changements au sein du gouvernement central et de la Banque du Vatican, ce qui était une raison suffisante pour le destituer. Ce n’est qu’après l’assassinat que le grand Jean-Paul II a changé d’avis. Il m’a fait part de cette information et nous nous sommes mis au travail. À l’époque, j’étais préfet pour la doctrine de la foi. Malheureusement, les choses ne se sont pas déroulées comme prévu. Les dommages causés étaient irréparables et il était très compliqué de destituer de nombreux hauts dignitaires de l’Église.
Et oui, il est vrai que certaines mesures avaient déjà été prises. La franc-maçonnerie, qui était prédominante dans le collège des cardinaux et dans les différents dicastères, avait étendu ses tentacules par le biais d’alliances non seulement à l’intérieur du Vatican, mais aussi à l’extérieur. Nous avons fait ce que nous pouvions et non ce que nous voulions. Il est très difficile de travailler avec un gouvernement hostile, comme je l’ai fait, et avec peu d’alliés, contre une majorité qui défend ouvertement le relativisme et le modernisme, dans toutes ses ombres. Nous avons rapidement constaté qu’il existait un climat de rébellion ouverte et de désobéissance au Pape, et tout cela menaçait de conduire à un grand schisme au sein de l’Église. Au cours de ma vie, et surtout pendant mon pontificat, j’ai vécu des moments terribles et douloureux. Certains d’entre eux ne sont connus que de Dieu. On n’avait jamais pensé que le mal pouvait atteindre les plus hauts niveaux, et maintenant Satan se sent puissant et seigneur de tout.
J’ai appris qu’il existait au Vatican une mafia très dangereuse de cardinaux maçonniques poursuivant des intérêts occultes. Ce sont des traîtres à l’Église, qui occupent des postes très importants et se créent des alliés pour ensuite détruire l’Église et la foi catholique de l’intérieur, des cardinaux et des évêques qui ne craignent pas Dieu et qui, sans conscience, tuent des âmes de sang-froid, tout cela par amour du pouvoir et de l’argent, et s’éloignent de plus en plus de la véritable mission qui nous a été confiée par notre Seigneur Jésus-Christ. Lorsque j’ai regardé le corps sans vie du grand Jean-Paul II, j’ai pensé à cela. Et à ce moment-là, au plus profond de mon âme, j’ai pris la décision de m’associer à l’émirat et de me consacrer à l’écriture de livres. J’ai senti que ma mission était accomplie. J’avais tout donné et de la meilleure façon possible. De plus, ma santé n’était pas bonne. Je voulais poursuivre ma contribution à l’Église dans une position plus calme et plus détendue et me tenir à l’écart. J’étais convaincu que ma tâche était terminée après la mort du Saint-Père. Mais les plans de Dieu ne sont pas les nôtres, et Il avait déjà décidé pour moi. Au conclave, lorsque j’ai réalisé avec horreur, lors du vote, que le choix se porterait sur ma pauvre humanité, j’ai dit à Dieu avec résignation, du fond du cœur : « Seigneur, ne me fais pas ça ! », phrase qui a ensuite été reprise par les médias, manipulés par certains cardinaux maçons pour tout déformer et fabriquer une image destructrice et fausse de moi jusqu’à ma mort.
Les rumeurs disaient que je renforcerais les lois de l’Église parce que j’étais conservateur et traditionnel, et que je m’opposerais au nouvel air moderniste qui émergeait à l’époque, et on disait aussi que j’étais une menace pour leurs projets parce que je m’opposais au relativisme. Lorsqu’on m’a demandé si j’acceptais ou non la volonté de Dieu, j’ai répondu : « Oui, j’accepte la volonté de Dieu ». Pendant que tous les protocoles étaient traités, je me disais qu’il y avait dans le groupe des cardinaux des personnes plus qualifiées que moi, mais que Dieu, dans sa bonté, m’avait choisi parmi tous les hommes, simple et humble ouvrier dans la vigne du Seigneur, phrase que j’ai rendue publique le jour de mon élection en tant que successeur de l’apôtre Pierre. Je savais très bien ce qui m’attendait, et mes ennemis étaient devenus plus forts et plus nombreux. Je connaissais certains des dossiers que le pape Paul VI avait créés pendant son pontificat à la Curie vaticane et que nous avons ensuite étudiés avec mon prédécesseur Jean-Paul II. Mon souhait était d’initier un nettoyage en profondeur, et je savais que ce ne serait pas facile, qu’il faudrait une réorganisation totale au sein de la Curie vaticane. J’étais conscient que cela me coûterait probablement la vie, comme cela avait coûté à mes prédécesseurs, mais j’ai décidé d’emprunter la voie la plus difficile, soutenu par l’aide de quelques personnes de foi.
À cette fin, j’ai entamé une purification indispensable au sein des Légionnaires du Christ de l’époque, obligeant leur fondateur, Marcial Maciel, à se retirer de toute fonction publique. Ce seul fait m’a valu de nombreux ennemis, non seulement au sein de l’Église, mais aussi à l’extérieur. Je savais que la plus grande purge m’attendait. Je connaissais la Curie du Vatican et toutes les intrigues qui s’y tramaient. Je savais que je n’étais pas le candidat favori pour le siège de Pierre, non pas à cause d’un manque de qualité, mais parce que je n’aiderais pas les francs-maçons à atteindre leurs objectifs. En attendant qu’ils préparent le candidat idéal en fonction de leurs intérêts, ils avaient besoin de quelqu’un à brûler pendant qu’ils choisissaient un candidat en accord avec les pouvoirs, et ce palliatif, c’était moi.
Le pape Benoît poussa un profond soupir, et son regard était comme une mer de paix sans fin.
Mais Dieu, dans son infinie miséricorde envers son Église, a bien voulu retarder encore un peu le grand mystère d’iniquité, parce qu’il savait que ce mystère serait révélé après ma mort, et qu’il agirait en toute liberté, soutenu par ses plus fidèles collaborateurs. Le grand destructeur de l’Église était déjà sur pied, on entendait déjà son nom dans les couloirs et dans les réunions cachées, mais il devait attendre d’être bien préparé et d’arriver au bon moment, un moment que Dieu avait prolongé dans sa bonté grâce aux prières des saints et des âmes justes du Corps mystique de l’Église, des âmes simples, paisibles, silencieuses, à la foi inébranlable, capables de donner leur vie pour Jésus-Christ, des âmes qui ne cèdent pas au mal et qui savent où se trouve la faille. Ces âmes sont aimées par le Seigneur et sont présentes en grand nombre, elles sont ordonnées discrètement et forment une armée puissante qui marche dans la main de la Mère Dieu ».
Un sourire angélique est alors apparu sur le visage du pape Benoît et il a poursuivi :
« Le fait que je sois un instrument inadéquat n’a pas échappé à Dieu, car il donne sa force et la force de porter la croix avec amour, comme il l’a fait lui-même, et cela a été un réconfort pour mon âme, qui commençait déjà à sentir le rejet de la majorité des membres du Collège des cardinaux et des autorités civiles, et qui était consciente que la bataille ne faisait que commencer. Ma souffrance en tant que pape a commencé le premier jour de mon élection. Lorsque je suis monté sur le balcon et que j’ai vu le grondement d’une mer d’âmes, j’ai compris mon destin. Dieu me tenait sous son emprise. Lorsque j’ai été habillé comme le successeur de Pierre, un frisson m’a parcouru. Dans tout mon corps, je me sentais comme un agneau boiteux que l’on mène à l’abattoir. Au cours de ma vie, je me suis rendu compte que les chemins du Seigneur ne sont pas faciles et qu’ils sont parsemés de roses et de chardons.
Il est dangereux de croire que l’on peut choisir n’importe quel chemin, qu’ils mènent tous à la vérité. C’est une grande erreur de la part de celui qui « dirige » actuellement l’Église. Je parle de François. Il peut promouvoir ce type de régime et de division à l’intérieur. D’une certaine manière, cela signifie accepter de communier avec le relativisme, une idéologie que j’ai condamnée à maintes reprises, et avec les idéologies révolutionnaires qui cherchent à imposer les pouvoirs du monde par la force. Les graves erreurs propagées par l’Église depuis le trône profané de Pierre poussent les âmes au suicide. Dans un acte de violence infernale, le mal est déjà fait et ne peut être défait, seul Dieu peut sauver son Église de la chute dans l’abîme, et je l’avais déjà vu clairement lors des sessions du Concile Vatican II. Là, j’ai eu une vision de l’avenir des erreurs qui avaient surgi à partir de ce moment-là, grâce à la mauvaise interprétation du concile et aux nombreux loups pourpres qui s’étaient infiltrés, et qui étaient certainement entrés par le schisme dans l’Église pendant le pontificat de Jean XXIII.
Toute ma vie, j’ai lutté contre le relativisme et, dans nombre de mes écrits, j’ai condamné ce type de théories révolutionnaires qui vont à l’encontre de Dieu. J’ai été personnellement attristé de voir comment la plupart des cardinaux, à l’exception de quelques-uns, ont adopté cette idéologie. Et c’est précisément pour cela qu’ils ont cherché avec ardeur des réformes au sein de l’Église, des réformes qui incluaient mon élimination, car j’étais leur plus grand obstacle.
J’ai senti leur haine sans bornes à mon égard, et sans la miséricorde de Dieu, qui était toujours avec moi, j’aurais certainement succombé à ces attaques. Ils ont eu plusieurs fois l’occasion de me tuer, mais Dieu m’a préservé, car mon heure n’était pas encore venue, jusqu’au jour où je serais éliminé. Je savais qu’avec ma mort les brebis se disperseraient, mais j’étais sûr que le Divin Berger les rassemblerait dans son troupeau. Je n’étais qu’un instrument dans le plan du salut, rien de plus, et bientôt viendrait la grande purification. C’est notre Seigneur Jésus-Christ qui est vraiment en charge de son Église. Après ma mort, il y a eu une grande confusion. D’une manière ou d’une autre, Dieu a permis que la méchanceté du cœur de ceux qui prétendent être de vrais disciples du Christ, et qui en réalité deviennent les Judas de cet âge, cause encore plus de confusion et de division au sein de l’Église.
Le jour de mon 95e anniversaire, parmi de nombreuses autres calomnies, on a dit : « C’est le pape qui ne voulait pas être pape », je l’ai entendu moi-même en direct de la bouche de certains cardinaux. Je me sentais fatigué et épuisé, j’étais privé de toute lumière et de tout confort. J’étais sur le chemin du Calvaire avec notre Seigneur et j’ai embrassé la croix du Rédempteur. J’ai connu la prison de la solitude, la peur de ne pouvoir parler ouvertement qu’à travers des codes et des paraboles.
J’ai connu la prison de la garde par un gardien de prison qui, je le savais, n’était pas digne de confiance. J’étais accablé et sans réconfort, mais j’ai essayé d’imiter notre maître du mieux que j’ai pu. Et je n’ai pas refusé la coupe amère qui m’était offerte, toujours avec la grâce de Dieu, avec toute ma confiance en Jésus-Christ et en me méfiant de mes propres forces. Je savais que Judas Iscariote était à mes côtés jour et nuit et qu’il me trahirait bientôt par un baiser perfide. Pourtant, je ne le rejetais pas, car je voyais la main de Dieu en toute chose, même si, comme un doux agneau conduit à l’abattoir, je restais muet et n’ouvrais la bouche que pour bénir et pardonner.
Judas Iscariote était stupéfait par Jésus, le divin Maître, parce qu’il ne répondait pas à ses attentes de guerrier politique, mais était un homme pacifique, humble et doux. D’une certaine manière, je me suis vu comme un reflet de cette image, j’étais doux et humble, un homme de paix, et cela a dérouté beaucoup de ceux qui m’ont défié. Beaucoup m’ont mis à l’épreuve, mais le plus troublant a été mon geôlier, mon propre secrétaire.
Dans le passé, j’avais fait la terrible expérience d’être trahi par mes amis. Mon geôlier a fait semblant d’être mon ami, il a fait semblant de se repentir, il a fait semblant d’être à mes côtés, mais à la fin de ma vie, j’ai été doté d’un sens aigu du discernement des esprits et j’ai su que je ne pouvais pas lui faire confiance, ni aux personnes qui vivaient avec moi jour et nuit. Ma prison en exil était le monastère Mater Ecclesiae, et il y avait une raison particulière à cela. Dieu a veillé à ce que je sois à l’intérieur, en tant que son berger légitime, et non à l’extérieur, pour soutenir l’Église, prier et vivre dans la pénitence, à travers une vie apparemment cachée et silencieuse, sans aucun confort sauf les visites occasionnelles que mon geôlier permettait parce qu’il devait obéir à son Seigneur, qui veillait à ce que je sois isolé, dépourvu de communication avec le monde. Mais je n’ai jamais pu être privé de communication avec Dieu. Plus je souffrais, plus je me rapprochais des battements du cœur du Christ. Ma vie est devenue une prière d’intercession constante. J’ai découvert le moyen d’être vraiment libre, et c’est la prière. Mon esprit n’a jamais été piégé comme certains l’auraient voulu. Mon corps en décomposition a été torturé et traité avec des médicaments qui menaçaient ma santé au lieu de l’améliorer, me rapprochant peu à peu de l’éternité. J’étais conscient de tout ce qui se passait autour de moi. Dieu m’a éclairé sur sa bonté, alors que je me trouvais dans une situation si douloureuse. En tant que représentant légitime du Christ, l’unique berger, j’étais prisonnier de mes bourreaux. Ceux qui m’avaient un jour nommé berger des bergers étaient les mêmes qui allaient me crucifier peu de temps après, comme cela était arrivé à notre Seigneur Jésus le dimanche des Rameaux.
C’est précisément dans nos limites et nos faiblesses humaines que nous sommes appelés à nous conformer au Christ. À chaque minute qui passait, je pouvais clairement lire ma vie à la lumière du Christ. Pas à pas, j’ai vu s’accomplir les prophéties et, à la fin de ma vie, je me suis vu plus au ciel que sur terre. J’ai pleinement réalisé que je pouvais être plus utile à l’Église si j’allais vers Dieu que si je restais ici, dans cette vallée de larmes. Et cette seule pensée m’a encouragé à porter la croix par amour pour Celui qui s’est donné entièrement à la croix par amour pour moi. Ceci est ma confession publique. Moi, Benoît XVI, Vicaire du Christ, dernier et légitime successeur de l’apôtre Pierre, à qui le Seigneur a donné la clé du Royaume des Cieux, j’ai été jeté en prison comme Pierre. Parce que j’ai proclamé la vérité, je suis devenu odieux aux puissances du monde qui, avec une cruauté évidente, ont brisé mon corps d’argile, mais ont libéré mon esprit immortel, qui jouit maintenant de la vue bénie de Dieu, la récompense de ceux qui restent fidèles à son Fils Jésus-Christ, à qui reviennent à jamais tout honneur et toute gloire.
Avec rapidité et astuce, ils ont organisé un coup d’État et convoqué un conclave pour choisir mon prétendu successeur, en contournant mon autorité. Dans ce conclave, il y avait une majorité de cardinaux maçonniques, une tentative organisée de longue date pour saper le collège des cardinaux, pour laquelle il existe des preuves irréfutables et de nombreuses informations. L’infiltration a été menée par des alliés maçonniques aux États-Unis et, sur ordre du président de ce pays à l’époque, Barak Obama. Des pressions ont été exercées sur le conclave pour que je sois remplacé par leur candidat parce que les principales élites mondiales, et la Chine en particulier, l’exigeaient. Ils avaient gelé la banque du Vatican et menacé de me tuer si je ne démissionnais pas le lendemain matin. C’était une situation intenable qui flottait comme une épée tranchante dans mon âme.
Il est clair que les médias ont été manipulés par le Vatican pour détruire mon image et faire en sorte que le monde me déteste. C’est le pays des États-Unis qui a le plus contribué à mon coup d’État. Chaque fois que je disais un mot, il y avait un grand tumulte parmi les cardinaux, en particulier parmi le clergé allemand, qui ont été parmi les premiers à lever la main contre moi, et alors je me suis dit : un fils qui lève la main contre son père et provoque un schisme violent et encourage d’autres communautés à suivre son exemple de rébellion obstinée. Cette situation a atteint un niveau tellement insupportable et décourageant pour moi que l’Esprit Saint de Dieu m’a inspiré dans la prière la décision de continuer mon ministère de Pierre d’une manière différente, moins active et publique que contemplative et priante. J’ai ainsi réussi à détourner l’attention de l’administration centrale de la Curie du Vatican, comme elle me le demandait, et à éviter le plus grand schisme de tous les temps.
En tant que Pontife Suprême, j’étais seul, sans le soutien de personne, à l’exception de quelques cardinaux loyaux. Soudain, je me suis retrouvé seul avec Dieu et j’ai compris que lorsque les paroles humaines n’ont aucun effet, il n’y a qu’une seule issue : la prière. Et c’est ce que j’ai fait. Je me suis plongé dans la prière, j’ai vécu dans le repentir, ce qui a été une torture pour mes ennemis modernistes, les amis de la pédérastie et toutes ces idéologies révolutionnaires qui vont à l’encontre de la loi de Dieu et de toute la morale chrétienne. Avec l’aide de la grâce divine, j’ai transformé l’amer en doux et j’ai profité de la souffrance pour le bien de toute l’Église et de son Corps mystique qui m’a été confié. C’est précisément dans la faiblesse et les limites humaines que nous sommes appelés à vivre selon le Christ. Ils ont manipulé le cours de ma vie et ont fait de moi une personne méprisable aux yeux du monde, qu’il fallait remplacer au plus vite. Ils ont répandu la rumeur mensongère que j’avais protégé des prêtres pédophiles, alors que la réalité était tout autre.
À l’instar du Christ, le divin Maître, j’ai gardé le silence et je n’ai pas ouvert la bouche, je me suis fié à l’intervention divine, je me suis remis entre les mains du juste Juge et, comme un agneau doux, j’ai été conduit à l’abattoir pour verser mon sang pour le bien de l’Église. En tant que véritable pasteur de l’Église catholique, je n’ai pas reculé, même si j’ai été traité de traître par les informations manipulées et généreusement payées des différents médias. Mes ennemis disaient que l’Église se durcirait avec moi et que j’avais l’intention de revenir à l’ère préconciliaire.
J’ai été le pape le plus décrié et le plus discrédité. Mon nom a fait grincer des dents dans les couloirs de la Curie vaticane. Parmi les nombreuses calomnies qui ont été répandues à mon sujet, on a dit que j’étais un lâche qui descendait de la croix et fuyait les loups. Tout ce que je disais en public ou en privé était déformé dans le seul but d’organiser un coup d’État. Un autre a dit : « C’est le pire pape que nous ayons jamais eu, et c’est ainsi que les épées se sont enfoncées une à une dans mon cœur. Face à la dure réalité que je voyais, j’ai suivi mon chemin, et ce chemin était de suivre le Christ jusqu’au Calvaire. La désobéissance du collège des cardinaux a atteint un tel niveau qu’il m’était impossible de gouverner.
En tant que berger, j’ai toujours été respectueux, cordial et poli dans mes relations avec tout le monde, sans exception. En retour, j’ai reçu du mépris, des calomnies et des insultes. Mon soi-disant secrétaire personnel n’était pas mon confident, au contraire, je savais qu’on ne pouvait pas lui faire confiance. Il était mon bourreau, un micro ouvert pour mes ennemis. C’est François qui m’a fait enfermer en isolement et sous haute surveillance. Apparemment, il craignait que je dise quelque chose qui porterait atteinte à sa réputation. Il craignait que je révèle la vérité et que je contrecarre ses plans secrets de destruction de l’Église catholique. Je l’ai dit clairement à Georg (Gänswein) lorsque je lui en ai parlé : Il semble que le pape François ne me fasse plus confiance.
Même les religieuses soigneusement sélectionnées et formées qui m’accompagnaient n’étaient pas dignes de confiance. Je me suis senti très seul, j’étais littéralement dans une prison. Plus d’une fois, j’ai pleuré devant le Saint-Sacrement, j’ai regardé le Christ et j’ai demandé la force de ne pas céder et la sagesse de faire la volonté de Dieu en toutes choses.
Mon secrétaire Georg m’a vu le faire. C’est au cours de la deuxième année de mon exil en prison et exactement le jour de l’anniversaire de mon secrétaire que j’ai prononcé ces mots : Georg, aujourd’hui est un jour spécial pour toi. Il m’a dit : « Merci, Votre Sainteté », et il m’a regardé avec un regard fixe. J’ai continué : Tu sais que mon véritable programme de gouvernement n’était pas de faire ma volonté, mais d’écouter la parole et la volonté du Seigneur, avec toute l’Église, et de me laisser conduire par Lui. Il répondit : « Oui, Saint-Père, je le sais ». « Eh bien, aujourd’hui, je veux vous dire que c’est notre Seigneur Jésus-Christ qui, en cette heure de notre histoire, en ce moment de mon apparente inutilité, conduit l’Église et la mènera à une fin heureuse, parce qu’il a promis que les puissances de l’enfer n’auront pas raison de l’Église.
Crois-tu ce que je te dis ? ». Il a dit : « Oui, Votre Sainteté », et il y a eu un grand silence autour de nous et nous nous sommes regardés l’un l’autre. Pour la première et unique fois, j’ai vu dans son regard une trace d’amitié sincère. À ce moment-là, j’ai prié le Seigneur au plus profond de mon âme pour la conversion de Georg et de tous mes ennemis, et j’ai dit au plus profond de mon cœur : « Seigneur, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. »
J’ai certainement été à l’école du silence de Marie, qui gardait tout dans son cœur, et parmi les nombreuses choses que j’ai apprises dans ce douloureux exil, il y a le silence. Le silence n’est pas une faiblesse, le silence n’est pas une peur ou une lâcheté, le silence est la sagesse de Dieu, c’est la prudence. Et la personne vraiment sage est celle qui sait comment et quand se taire, pas celle qui parle beaucoup.
Et il y a des moments où l’Esprit Saint incite à parler ou à se taire. Le silence du juste incite la justice de Dieu à agir, car nous nous remettons entre les mains de Dieu, le juste juge. Lorsque j’ai commencé mon pontificat, j’ai clairement indiqué que j’écoutais la Parole de Dieu avec l’Église, que je faisais toujours sa sainte volonté, que j’étais toujours docile à sa Parole, toujours prêt à pardonner aussi souvent que nécessaire et à donner une seconde chance, car ce sont les âmes qui doivent insister sur un véritable berger qui évite toujours de juger pour ne pas être jugé et qui est prêt à corriger quand c’est nécessaire ; et si je reconnais que l’on a des faiblesses humaines, et j’en ai eu, il est également vrai que je n’ai jamais lâché la main de Dieu, qui était toujours dans la barque avec moi. Et bien qu’il y ait eu de nombreuses tempêtes, je ne me suis jamais méfié de la puissance de Dieu. Malgré mes nombreux échecs, je suis toujours resté fidèle au Seigneur et j’ai répété dans mon cœur les paroles de Pierre : Seigneur, tu sais, tu sais que je t’aime.
Ce fut très douloureux pour mon humanité brisée de découvrir qu’elle m’empoisonnait lentement, car j’entendais mon maître Georg Gänswein, sans qu’il s’en aperçoive, donner des instructions de François aux religieuses qui me servaient. Je l’ai entendu dire : continuez à lui donner le médicament, faites tout pour que cela paraisse naturel, ne soupçonnez rien, ne posez pas de questions, les ordres viennent d’en haut, ne vous inquiétez pas, vous serez bien récompensées. J’ai fait semblant de ne rien remarquer, et à partir de ce moment-là, chaque aliment ou médicament qu’on me donnait était une torture, j’évitais de le manger de peur qu’il ne soit empoisonné. Et ce manque de nourriture était encore plus préjudiciable à ma santé déjà fragile. J’ai toujours béni les médicaments car j’étais sûr qu’ils les remplaçaient.
Ma vie en prison, qui avait duré presque 10 ans, touchait à sa fin. Dieu était pressé avec moi. Même si j’avais voulu parler clairement, je n’aurais pas pu le faire. Ils ne m’auraient même pas cru. Ils auraient déformé mes paroles, je n’avais personne autour de moi à qui faire confiance. C’était une situation très stressante, alors Dieu m’a éclairé pour que je puisse communiquer d’une manière ou d’une autre à travers des codes et des paraboles, à travers les livres, en espérant qu’au moins quelqu’un comprendrait la manière dont je parlais.
À l’occasion de mon 95e anniversaire, François est venu me rendre visite, a apporté une bouteille de vin avec de la pâte de caramel et m’a demandé s’il pouvait rester seul avec moi. Je n’avais jamais pensé que soncynisme et sa capacité à faire le mal étaient aussi prononcés. Une fois de plus, j’ai vu sa haine à mon égard, à l’égard de l’Église et, surtout, sa haine sans bornes à l’égard de la Mère de Dieu. Je m’étais toujours considéré comme une personne pacifique et diplomatique : Que pouvais-je faire ? Seulement souffrir en silence, dans une grande solitude, car à la fin de ma vie, je me trouvais en parfait accord avec le Christ souffrant, lui aussi abandonné de toute aide divine. Cela a fait partie de ma catharsis. J’ai compris. Ma fonction de vicaire du Christ exigeait une grande purification. Beaucoup de choses m’avaient été confiées, et bientôt je devrais rendre compte à Dieu de toute mon administration. Je devais répondre, non seulement de mon âme de chrétien baptisé, mais aussi de toute l’Église. Quelle grande responsabilité, quelle lourde croix je devais porter en tant que pape ! À partir de ce moment-là, tout est devenu clair pour moi, et cette prise de conscience m’a mis doublement mal à l’aise.
Sous le sceau de la confession et dans son habituelle attitude flatteuse de fausse fraternité, Bergoglio, ou plutôt François, m’a dit sur un ton moqueur et à sa manière très cynique et impitoyable qu’il aimait avoir l’Église entre ses mains, qu’il la détruirait complètement et enterrerait l’Eucharistie pour toujours.
Il a dit : « Je vais effacer votre Dieu de la surface de la terre : J’ai de nombreux alliés pour m’aider, non seulement de l’intérieur, mais aussi de l’extérieur. La Curie est à genoux à mes pieds, et le Collège des cardinaux est un chien fidèle, comme vous le savez. Vous ne pouvez pas nier qu’ils sont fidèles, qu’ils obéissent, et il sourit malicieusement. « Je les ai amenés ici pour vous, et au cas où vous ne le sauriez pas, je vous le confirme. Considérez cela comme une faveur de ma part. Je ne suis pas aussi mauvais qu’on le dit. Il sourit à nouveau, cette fois-ci de manière glaciale.
Son regard m’effrayait, et l’avoir en face de moi, c’était comme voir Satan. Il m’a avoué que l’un de ses objectifs était de jeter de la boue sur la Mère de Dieu, d’éradiquer le dogme si possible et de piétiner l’Eucharistie. Il m’a dit qu’il allait éradiquer le rite extraordinaire d’un seul coup, ne laissant que le rite actuel avec ses nombreuses prophéties et sacrilèges.
Finalement, le nouveau rite a été élaboré par un franc-maçon expert en liturgie, qui m’a avoué avoir ressenti de la joie lorsqu’il s’est rendu au Tepeyac et qu’il a insulté la Reine des Cieux face à face. Il parlait du Mexique. Puis il s’est réjoui de la pantomime qu’il a jouée avec une prétendue dévotion de la Russie et du monde au Cœur Immaculé de Marie. Il m’a dit, en s’approchant encore plus près et avec ironie : « Voulez-vous savoir qui j’ai invoqué pour l’image bien-aimée de Notre-Dame de Fatima ? Je lui ai répondu que ce n’était pas nécessaire. Il m’a dit qu’il me le dirait quand même parce qu’il savait que cela me ferait mal : J’ai invoqué le Roi des Ténèbres, tu comprends ? Je suis resté dans un silence complet, puis il a dit : « Oh grand-père, je reconnais que je me suis bien amusé, mais il est temps de mettre fin à cette farce. Les catholiques sont ignorants et sans cervelle, et il est bon qu’ils continuent ainsi, obéissants et soumis à tout ce qu’on leur dit. » Et il sourit à nouveau.
Il m’a avoué que c’était sa plus grande satisfaction de me voir souffrir. Il m’a dit qu’il aimait ça et que j’étais sa proie, qu’il avait ma vie entre ses mains, qu’il pouvait m’enfermer définitivement à tout moment, que ce n’était pas la première fois qu’il le faisait et que ça ne le dérangeait pas. Il m’a dit : « Savez-vous ce qu’est l’euthanasie ? Et il a souri, a secoué la tête et a dit avec un regard : « Tu as mal ? ». J’étais choqué par tout ce que je l’entendais dire, je ne pouvais pas croire à une telle méchanceté, dans son cœur il n’y avait que de la haine et de ses lèvres ne sortait que de l’horreur. Il m’a immédiatement dit : « Saint Père, ne vous inquiétez pas, vos souffrances seront bientôt abrégées, je vous le promets », et je l’ai regardé et lui ai répondu : Vous ne craignez pas Dieu. Il me dit : Je ne connais pas la peur, et il ajouta : Qu’est-ce que la peur ?
Je me suis dit : C’est le destructeur de l’Église, et il est clair qu’il était sous l’influence de Satan. Mes pensées se sont alors envolées vers Fatima et les larmes me sont montées aux yeux. J’étais sûr que mes jours étaient comptés et que le rideau de ma vie allait bientôt tomber.
La personne responsable de l’abrègement de ces jours était mon geôlier. Mon secrétaire Gänswein, apparemment loyal. Cette tâche lui avait été confiée et il devait l’accomplir sans laisser le moindre soupçon de meurtre. La veille de ma mort, mon secrétaire a reçu un coup de téléphone. C’était François, il a dit cette phrase : « C’est l’heure » et il a raccroché. Je l’avais entendu parce qu’il était près de moi et il pensait que je dormais. Je n’ai pas résisté à mon bourreau. J’ai attendu patiemment ma fin. Qu’aurais-je pu dire ou faire d’autre puisque j’étais complètement isolé et surveillé 24 heures sur 24, puisque ce sont eux qui étaient vraiment aux commandes au sein du Vatican et que ce sont eux, qui sont maintenant majoritaires grâce à François, qui ont manipulé l’information et publié une vérité qui a été modifiée et généreusement payée par le Vatican lui-même.
la FM...
Ce n’est un secret pour personne qu’au cours de l’histoire, de nombreux papes ont été assassinés et empoisonnés par les mêmes cardinaux maçonniques qui avaient infiltré le gouvernement central. Une fois devenus secrétaires d’État, nombre de ces meurtres ont été qualifiés de mort naturelle ou de crise cardiaque et, pour dissiper tout soupçon, ils ont été canonisés. Pour ne citer qu’un exemple : les dossiers du pape Jean-Paul I et du grand Jean-Paul II, sur lequel ils avaient fait plusieurstentatives d’assassinat infructueuses, et qui a finalement été réduit au silence par une laryngectomie inutile et opportunément pratiquée. Enfin, je suis là, et je peux vous assurer qu’il y a plusieurs façons de tuer.
Son regard était un regard vers l’infini, celui de Benoît XVI. Je ne pouvais pas croire, dit sœur Benedicta, ce que j’entendais. J’ai ressenti une grande douleur dans mon cœur et une grande indignation, mais j’étais là, assise sur le bord du lit, dans le silence le plus complet, écrivant comme si j’étais la secrétaire du pape et me disant : « Quelle horreur, mon Dieu ! Quelle horreur, mon Dieu. Quelle bassesse. Le Saint-Père m’a alors regardé et m’a dit : « Sois forte et continue d’écrire, J’ai encore beaucoup à dire, tout cela fait déjà partie de l’histoire. Écris, ma fille.
J’ai dit : « Je vous écoute, Saint-Père », et il a continué :
En tant que pape, j’ai toujours porté la soutane blanche, espérant que le monde se rendrait compte que je n’avais jamais démissionné et que j’étais sous pression pour agir et prendre des décisions pour le bien de l’Église. Dans les rares conversations que je pouvais avoir, je m’exprimais toujours de manière voilée pour ne pas éveiller les soupçons de mes ennemis qui me surveillaient constamment, et je devais être très prudent. Mes ennemis étaient nombreux et avaient beaucoup de micros. Aujourd’hui, je jouis d’une grande paix, car Dieu est juste et il choisit toujours le bon moment. Nous vivons une époque où beaucoup pensent détenir et connaître la vérité. La vérité n’est qu’une : Le Christ, et à Lui seul nous devons toujours rester fidèles, même si cela nous coûte la vie, comme c’est le cas pour moi.
Le 8 décembre 2022, dans un geste de confiance et de bonne volonté, j’ai informé mon secrétaire que j’avais écrit plusieurs lettres et ma dernière encyclique Marie Corédemptrice, Médiatrice et Avocate. J’ai dit cela, fortement encouragé par mon prédécesseur, le grand Jean-Paul II, fidèle défenseur de Marie Corédemptrice au pied de la Croix. J’ai dit à mon secrétaire où ils se trouvaient. Sa surprise ne s’est pas fait attendre. Il m’a dit : Des lettres ?! et en même temps il m’a dit avec un sourire obligatoire qu’il me remerciait pour le vote de confiance. Je lui ai précisé que ces lettres étaient confidentielles et adressées principalement au gouvernement central, à la Curie du Vatican, à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et la Liturgie, au Collège des Cardinaux, aux Cardinaux Gerhard Ludwig Müller, Raymond Leo Burke, au Cardinal Zen, au Cardinal Robert Sarah, à la Fraternité sacerdotale Saint Pie X et Saint Pierre.
J’ai écrit une lettre aux prêtres et aux séminaristes pour les exhorter à toujours s’efforcer d’être des prêtres exemplaires, animés par une prière constante et intense, cultivant la chasteté et l’intimité avec le Christ, et j’ai souligné que le prêtre doit être conforme au cœur du Christ et que ce n’est qu’ainsi que le sacerdoce peut être réussi et porter des fruits apostoliques, et je leur ai conseillé de ne jamais se laisser séduire par la logique de la carrière et du pouvoir – des mots que j’ai souvent dits aux prêtres et aux séminaristes. Enfin, je les ai exhortés à ne pas commettre l’erreur de prendre la communion en main et de faire pénitence selon la demande de Notre Dame.
J’ai également écrit des lettres aux instituts de vie consacrée, aux journalistes du monde entier et à mon grand ami, le théologien Giulio Colombi. Enfin, j’ai adressé une lettre ouverte au peuple de Dieu. J’ai insisté auprès de Georg pour que ces lettres soient publiées trois jours après ma mort, et il m’a donné sa parole.
Dans ma tâche d’imiter le Christ, qui a eu avec lui jusqu’à la fin le traître et perfide Judas Iscariote, image des traîtres que l’on verrait dans mon Église, j’avais aussi Georg, à qui j’ai témoigné jusqu’au dernier moment une affection, une confiance et une patience sincères, désirant le bien-être de son âme et sa conversion, même si je savais que je le verrais bientôt commettre la pire des trahisons et le plus grand des meurtres. Sachant que mon secrétaire me trahirait, j’ai sagement décidé de donner une copie de ces lettres à mon grand ami Giulio Colombi lors de sa dernière visite, ce qui m’a été accordé par un miracle de Dieu après de nombreuses supplications à mon secrétaire Gänswein.
Discrètement et sans éveiller de soupçons, j’ai rapidement expliqué à Giulio ce qui se passait et je lui ai demandé de publier ces documents après ma mort imminente et d’en donner une copie à chaque membre du Collège des cardinaux, afin qu’ils puissent à leur tour prendre les bonnes décisions et convoquer un conclave légal après ma mort.
Motivé par cet acte de confiance que j’ai fait à mon secrétaire, il a secrètement et perfidement tout communiqué à François, les lettres et l’encyclique, l’encyclique Marie Corédemptrice, que j’avais écrite et dans laquelle je proclamais dogmatiquement la co-rédemption de la Mère de Dieu. Sans qu’il s’en aperçoive, et grâce au volume de son téléphone, j’ai pu entendre François donner l’ordre de tout brûler, et il a ajouté :
« Nous ne devons rien laisser qui puisse être compromettant », ce à quoi il a répondu : « Je le ferai », et il a raccroché. Il ne savait pas que j’avais tout entendu. (Cependant, Giulio Colombí est mort le 1er janvier 2023, le lendemain de la mort de Benoît, ndlr).
Sachant la trahison de mon secrétaire Georg Gänswein et comme dernière chance pour lui de se justifier devant Dieu, je lui ai explicitement recommandé l’encyclique que j’ai écrite le 25 mars 2022. Le 25 mars 2022, après trois ans, jour et nuit, dans une profonde prière et en demandant à Dieu d’éclairer son serviteur de son Esprit Saint, j’ai déclaré solennellement et dogmatiquement le rôle, en connaissant la documentation complète et précise qui se trouve dans les archives et qui accompagne ce nouveau dogme marial, révélé par la Bienheureuse Vierge Marie comme Mère spirituelle de tous les peuples, parmi ses trois aspects principaux de Corédemptrice, Médiatrice et Avocate, qui lui permettent d’exercer pleinement sa maternité spirituelle, don qui lui a été fait par son Fils Jésus-Christ sur la croix pour toute l’humanité de tous les temps.
L’encyclique affirme : « La Bienheureuse Vierge Marie est notre Mère dans l’ordre de la grâce, Corédemptrice, Médiatrice et Avocate, dont la maternité est universelle et s’adresse à tous les peuples et à toutes les races depuis la création du monde, en commençant par le salut accompli par son Fils Jésus-Christ. Face à la crise sans précédent de la foi, de la famille, de la société et de la paix qui caractérise l’état actuel de l’humanité, l’intercession de la Mère de Dieu est aujourd’hui plus urgente que jamais.
Je suis convaincu que cette définition papale de la maternité spirituelle de la Bienheureuse Vierge Marie sera un remède extraordinaire à la crise mondiale actuelle qui menace l’humanité », et je l’ai signée : Benoît PP. XVI, Pasteur des bergers.
Lorsque j’ai terminé la rédaction de cette encyclique, j’ai reçu un signe du ciel. Au fond de moi, j’étais sûr que ma carrière était terminée. C’était la dernière chose que je ferais en tant que pape et, à partir de ce moment, le compte à rebours avait commencé. Je me suis senti à ce moment-là comme l’Oméga qui mettait fin à un cycle dans l’Église et commençait une nouvelle et forte persécution de la foi.
Ce dernier matin, je n’arrivais pas à dormir, je respirais difficilement, mes nuits blanches devenaient de plus en plus longues. Mais j’étais conscient que le Seigneur contrôlait la situation. Mon état d’esprit n’était pas des meilleurs, je me sentais fatigué et très accablé par tout ce que je savais se passer, avec la confession de François qui me tourmentait jour et nuit, et dont je ne pouvais pas parler étant donné ma situation, et surtout le sceau de la confession, qui est inviolable. Cela me tourmentait de provoquer un scandale sans précédent. Ma communication avec le monde était voilée, c’était comme un cri silencieux dans ma longue et douloureuse agonie.
Puis vint le moment où mon secrétaire Gänswein entra au petit matin. Il pensait que je dormais, car j’avais passé plusieurs longues nuits. Il était convaincu qu’il m’avait trompé pendant toutes ces années où nous avions été contraints de vivre ensemble. À sa grande surprise, j’étais réveillé. J’ai prié le chapelet à ma bonne et chère Mère, ma compagne dans cet exil, Marie la Corédemptrice. Quelle meilleure compagne que celle qui a toujours été fidèle à son Fils Jésus-Christ et qui s’est tenue au pied de la croix ?
Georg s’est approché de moi et m’a dit : « Votre Sainteté, vous ne pouvez pas dormir ? Je dois vous donner ce médicament. » J’avais terminé et Dieu m’a fait savoir qu’il était temps de partir. Je l’ai alors regardé dans les yeux. Il m’a regardé et a immédiatement détourné les yeux. Son regard était froid, comme celui d’un cadavre.
J’ai repris courage et je lui ai dit : « Georg, as-tu déjà pensé à ta mort ? Il m’a répondu : « Non, Votre Sainteté ». J’ai dit : « Tu devrais le faire et examiner souvent ta conscience, c’est très sain pour l’âme, la vie est très courte et un jour tu devras répondre de ta vie devant Dieu. Il m’a dit : « Votre Sainteté, pourquoi ces mots ? D’un ton très bas et avec beaucoup de difficultés à respirer, je lui ai répondu : « Gänswein, tu es avec moi depuis longtemps et tu ne me connais pas encore ? Ce que tu dois faire, fais-le maintenant et sans plus attendre, mais souviens-toi qu’un jour tu devras rendre des comptes à Dieu, ne l’oublie pas », et nous nous sommes regardés en silence.
Mon secrétaire a alors été surpris et a réalisé que j’avais dévoilé sa tromperie et que c’était lui qui avait été trompé. Il m’a alors fait la piqûre et m’a dit à l’oreille : « il est temps de mettre fin à cette farce ». J’étais prêt et j’ai prié, et contrairement à son souhait, j’ai eu la paix, cette paix que seul Dieu peut donner à l’âme, et je lui ai murmuré : « Je te pardonne tout de tout mon cœur », et dans mon agonie, mes derniers mots ont été : « Seigneur, je t’aime ». Et je me suis endormi comme quelqu’un qui s’endort dans les bras de sa mère.
Tout au long de mon douloureux pontificat, c’est-à-dire pendant les huit années de ma charge active et les presque dix années de ma charge contemplative, j’ai été soumis à des critiques sévères et à des humiliations. Toute ma vie, j’ai été impitoyablement ridiculisé en public, mais l’humiliation la plus douloureuse, je l’ai vécue lorsque je suis venu à Berlin et que les évêques et les cardinaux allemands ont refusé de m’accueillir. L’autre humiliation, la plus grande, a été celle de mes bourreaux le jour de mes funérailles. Lorsque j’ai accepté le ministère de Pierre, le 19 avril 2005, j’avais cette ferme certitude qui m’a toujours accompagné, la certitude de la vie de l’Église à travers la Parole de Dieu.
À ce moment-là, comme en d’autres occasions, j’ai pris la parole publiquement. Les mots qui résonnaient dans mon cœur étaient les suivants : « Seigneur, pourquoi veux-tu cela de moi et qu’attends-tu de moi ? C’est un lourd fardeau que Tu as placé sur mes épaules, mais si Tu me le demandes par Ta parole, je jetterai mes filets, confiant que Tu me guideras malgré toutes mes faiblesses ».
À la fin de ma vie, je peux dire que le Seigneur m’a vraiment guidé, qu’il était proche de moi, que je sentais sa présence chaque jour, que j’ai eu des moments de joie et de lumière, mais aussi des moments qui n’étaient pas faciles. Je me suis senti comme Pierre avec les apôtres dans la barque sur la mer de Galilée. Le Seigneur nous a donné de nombreux jours de soleil et de brise légère, des jours où la pêche était abondante, mais il y a eu aussi des moments où l’eau était agitée et le vent capricieux, comme dans toute l’histoire de l’Église, et le Seigneur semblait endormi. Mais j’ai toujours su que le Seigneur était dans cette barque, et j’ai toujours su que la barque de l’Église n’est pas la mienne, pas la nôtre, mais la sienne, et le Seigneur ne la fait pas couler, c’est Lui qui la guide, certainement aussi par les personnes qu’il a choisies parce qu’il l’a voulu ainsi. C’était et c’est une certitude que rien ni personne ne peut troubler, et c’est pourquoi mon cœur est aujourd’hui plein de gratitude envers Dieu, parce qu’il n’a jamais laissé toute l’Église ni moi sans son réconfort, sa lumière et son amour.
J’ai aimé chacun de vous, sans distinction, avec cet amour pastoral qui est le cœur de tout pasteur, en particulier de l’évêque de Rome, successeur de l’apôtre Pierre, chaque jour. J’ai porté chacun d’entre vous dans la prière avec le cœur d’un père. Je veux que mon salut et mon action de grâce parviennent à tous. Je veux que mon cœur s’élargisse au monde entier. Aujourd’hui, au terme de ma carrière, je peux vous assurer que le pape n’est jamais seul. Le Seigneur a toujours été avec moi. Il a travaillé avec moi. Il s’est reposé avec moi. Il s’est réjoui avec moi des pêches abondantes. Et il a pleuré avec moi. Tout cela, mon cœur l’a vécu pendant mon pontificat, jusqu’au dernier jour de ma mort. Mon oui était un abandon total à Dieu et à son œuvre de rédemption. C’était un oui pour toujours dans le Cœur Immaculé de Marie. Je n’ai jamais quitté la croix, comme beaucoup l’ont prétendu, mais je suis resté aux côtés du Seigneur crucifié d’une manière nouvelle, fermement avec Marie au pied de la croix de mon Seigneur. Je voudrais maintenant vous demander une dernière faveur.
« J’écoute, Votre Sainteté », a répondu Sœur Benedicta.
Je veux que vous la publiiez dans les médias sans omettre un détail, comme je l’ai écrit, parce que tout est d’une grande importance pour l’Église. N’ayez pas peur, je comprends que c’est une mission délicate que je vous demande. Puis-je vous faire confiance ?
Et la sœur lui répond : Votre Sainteté, bien sûr que vous pouvez compter sur moi, je serai votre secrétaire, si vous me le permettez. Et il lui dit : « Faites-le et n’ayez pas peur des éventuelles représailles que cette lettre pourrait provoquer. Je veux qu’elle parvienne à la Curie vaticane, à tous les membres du Collège des cardinaux.
Saint Père, puis-je vous poser une question ? » dit la sœur, et il répond : « Je vous écoute »
« Après votre mort, un testament spirituel a été publié, vraisemblablement le vôtre. Est-il vrai que c’est le vôtre ? » Le pape Benoît a répondu :
En ce qui concerne mon testament spirituel, je vous dirai qu’il a été publié sous une forme incomplète. Chaque pape est libre de rédiger un testament spirituel. J’ai voulu l’écrire en deux parties. J’ai décidé de le faire parce que j’étais dans une situation difficile à l’époque et surtout parce qu’il y avait un risque de schisme au sein de l’Église.
La situation était si compliquée que je risquais même d’être enfermé dans une véritable prison si je n’accédais pas à leurs demandes – la pression venait clairement des États-Unis et du gouvernement chinois.
C’est la raison pour laquelle je n’ai pas pu rédiger un testament complet et que j’ai envisagé de l’écrire en deux parties. J’ai appelé la partie qui a été publiée Alpha, tandis que j’ai appelé la deuxième partie du testament Oméga. Cette seconde partie a été brûlée avec les lettres et l’encyclique que j’avais écrites. Cette deuxième partie est celle que je viens de vous dicter. C’est pourquoi ce document est très important et il est important que vous le mettiez en lumière. Cette tâche requiert votre courage.
« Je comprends, Votre Sainteté, dit la sœur.
Quant à mon secrétaire [Gänswein], je vous dirai qu’il m’a encore utilisé à son avantage. Je me réfère également au livre qu’il a publié à compte d’auteur. Beaucoup de ses confessions ont été adaptées. Il essaie simplement de divertir sans dire ce qu’il devrait dire. Mais cela n’a plus d’importance. Le vrai témoignage, et plus qu’un témoignage, est ce document que je viens de vous dicter et que je laisse par écrit grâce à vous qui avez été le secrétaire du Seigneur et qui êtes maintenant le mien. Avant de conclure, je veux adresser un message de foi à toutes les communautés religieuses à travers votre communauté. En ce jour, je vous invite, vous qui participez à la vie et à la mission de l’Église dans le monde, à nourrir avant tout une foi [capable d’illuminer votre vocation, afin que votre vie soit un signe évangélique de contradiction pour un monde qui s’
_________________
Dernière édition par Ange Gabriel-Dan le Jeu 13 Juin - 12:57, édité 26 fois
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Mer 12 Juin - 20:56
SUITE :
Le jour de mon 95e anniversaire, parmi de nombreuses autres calomnies, on a dit : « C’est le pape qui ne voulait pas être pape », je l’ai entendu moi-même en direct de la bouche de certains cardinaux. Je me sentais fatigué et épuisé, j’étais privé de toute lumière et de tout confort. J’étais sur le chemin du Calvaire avec notre Seigneur et j’ai embrassé la croix du Rédempteur. J’ai connu la prison de la solitude, la peur de ne pouvoir parler ouvertement qu’à travers des codes et des paraboles.
J’ai connu la prison de la garde par un gardien de prison qui, je le savais, n’était pas digne de confiance. J’étais accablé et sans réconfort, mais j’ai essayé d’imiter notre maître du mieux que j’ai pu. Et je n’ai pas refusé la coupe amère qui m’était offerte, toujours avec la grâce de Dieu, avec toute ma confiance en Jésus-Christ et en me méfiant de mes propres forces. Je savais que Judas Iscariote était à mes côtés jour et nuit et qu’il me trahirait bientôt par un baiser perfide. Pourtant, je ne le rejetais pas, car je voyais la main de Dieu en toute chose, même si, comme un doux agneau conduit à l’abattoir, je restais muet et n’ouvrais la bouche que pour bénir et pardonner.
Judas Iscariote était stupéfait par Jésus, le divin Maître, parce qu’il ne répondait pas à ses attentes de guerrier politique, mais était un homme pacifique, humble et doux. D’une certaine manière, je me suis vu comme un reflet de cette image, j’étais doux et humble, un homme de paix, et cela a dérouté beaucoup de ceux qui m’ont défié. Beaucoup m’ont mis à l’épreuve, mais le plus troublant a été mon geôlier, mon propre secrétaire.
Dans le passé, j’avais fait la terrible expérience d’être trahi par mes amis. Mon geôlier a fait semblant d’être mon ami, il a fait semblant de se repentir, il a fait semblant d’être à mes côtés, mais à la fin de ma vie, j’ai été doté d’un sens aigu du discernement des esprits et j’ai su que je ne pouvais pas lui faire confiance, ni aux personnes qui vivaient avec moi jour et nuit. Ma prison en exil était le monastère Mater Ecclesiae, et il y avait une raison particulière à cela. Dieu a veillé à ce que je sois à l’intérieur, en tant que son berger légitime, et non à l’extérieur, pour soutenir l’Église, prier et vivre dans la pénitence, à travers une vie apparemment cachée et silencieuse, sans aucun confort sauf les visites occasionnelles que mon geôlier permettait parce qu’il devait obéir à son Seigneur, qui veillait à ce que je sois isolé, dépourvu de communication avec le monde. Mais je n’ai jamais pu être privé de communication avec Dieu. Plus je souffrais, plus je me rapprochais des battements du cœur du Christ. Ma vie est devenue une prière d’intercession constante. J’ai découvert le moyen d’être vraiment libre, et c’est la prière. Mon esprit n’a jamais été piégé comme certains l’auraient voulu. Mon corps en décomposition a été torturé et traité avec des médicaments qui menaçaient ma santé au lieu de l’améliorer, me rapprochant peu à peu de l’éternité. J’étais conscient de tout ce qui se passait autour de moi. Dieu m’a éclairé sur sa bonté, alors que je me trouvais dans une situation si douloureuse. En tant que représentant légitime du Christ, l’unique berger, j’étais prisonnier de mes bourreaux. Ceux qui m’avaient un jour nommé berger des bergers étaient les mêmes qui allaient me crucifier peu de temps après, comme cela était arrivé à notre Seigneur Jésus le dimanche des Rameaux.
C’est précisément dans nos limites et nos faiblesses humaines que nous sommes appelés à nous conformer au Christ. À chaque minute qui passait, je pouvais clairement lire ma vie à la lumière du Christ. Pas à pas, j’ai vu s’accomplir les prophéties et, à la fin de ma vie, je me suis vu plus au ciel que sur terre. J’ai pleinement réalisé que je pouvais être plus utile à l’Église si j’allais vers Dieu que si je restais ici, dans cette vallée de larmes. Et cette seule pensée m’a encouragé à porter la croix par amour pour Celui qui s’est donné entièrement à la croix par amour pour moi. Ceci est ma confession publique. Moi, Benoît XVI, Vicaire du Christ, dernier et légitime successeur de l’apôtre Pierre, à qui le Seigneur a donné la clé du Royaume des Cieux, j’ai été jeté en prison comme Pierre. Parce que j’ai proclamé la vérité, je suis devenu odieux aux puissances du monde qui, avec une cruauté évidente, ont brisé mon corps d’argile, mais ont libéré mon esprit immortel, qui jouit maintenant de la vue bénie de Dieu, la récompense de ceux qui restent fidèles à son Fils Jésus-Christ, à qui reviennent à jamais tout honneur et toute gloire.
Avec rapidité et astuce, ils ont organisé un coup d’État et convoqué un conclave pour choisir mon prétendu successeur, en contournant mon autorité. Dans ce conclave, il y avait une majorité de cardinaux maçonniques, une tentative organisée de longue date pour saper le collège des cardinaux, pour laquelle il existe des preuves irréfutables et de nombreuses informations. L’infiltration a été menée par des alliés maçonniques aux États-Unis et, sur ordre du président de ce pays à l’époque, Barak Obama. Des pressions ont été exercées sur le conclave pour que je sois remplacé par leur candidat parce que les principales élites mondiales, et la Chine en particulier, l’exigeaient. Ils avaient gelé la banque du Vatican et menacé de me tuer si je ne démissionnais pas le lendemain matin. C’était une situation intenable qui flottait comme une épée tranchante dans mon âme.
Il est clair que les médias ont été manipulés par le Vatican pour détruire mon image et faire en sorte que le monde me déteste. C’est le pays des États-Unis qui a le plus contribué à mon coup d’État. Chaque fois que je disais un mot, il y avait un grand tumulte parmi les cardinaux, en particulier parmi le clergé allemand, qui ont été parmi les premiers à lever la main contre moi, et alors je me suis dit : un fils qui lève la main contre son père et provoque un schisme violent et encourage d’autres communautés à suivre son exemple de rébellion obstinée. Cette situation a atteint un niveau tellement insupportable et décourageant pour moi que l’Esprit Saint de Dieu m’a inspiré dans la prière la décision de continuer mon ministère de Pierre d’une manière différente, moins active et publique que contemplative et priante. J’ai ainsi réussi à détourner l’attention de l’administration centrale de la Curie du Vatican, comme elle me le demandait, et à éviter le plus grand schisme de tous les temps.
En tant que Pontife Suprême, j’étais seul, sans le soutien de personne, à l’exception de quelques cardinaux loyaux. Soudain, je me suis retrouvé seul avec Dieu et j’ai compris que lorsque les paroles humaines n’ont aucun effet, il n’y a qu’une seule issue : la prière. Et c’est ce que j’ai fait. Je me suis plongé dans la prière, j’ai vécu dans le repentir, ce qui a été une torture pour mes ennemis modernistes, les amis de la pédérastie et toutes ces idéologies révolutionnaires qui vont à l’encontre de la loi de Dieu et de toute la morale chrétienne. Avec l’aide de la grâce divine, j’ai transformé l’amer en doux et j’ai profité de la souffrance pour le bien de toute l’Église et de son Corps mystique qui m’a été confié. C’est précisément dans la faiblesse et les limites humaines que nous sommes appelés à vivre selon le Christ. Ils ont manipulé le cours de ma vie et ont fait de moi une personne méprisable aux yeux du monde, qu’il fallait remplacer au plus vite. Ils ont répandu la rumeur mensongère que j’avais protégé des prêtres pédophiles, alors que la réalité était tout autre.
À l’instar du Christ, le divin Maître, j’ai gardé le silence et je n’ai pas ouvert la bouche, je me suis fié à l’intervention divine, je me suis remis entre les mains du juste Juge et, comme un agneau doux, j’ai été conduit à l’abattoir pour verser mon sang pour le bien de l’Église. En tant que véritable pasteur de l’Église catholique, je n’ai pas reculé, même si j’ai été traité de traître par les informations manipulées et généreusement payées des différents médias. Mes ennemis disaient que l’Église se durcirait avec moi et que j’avais l’intention de revenir à l’ère préconciliaire.
J’ai été le pape le plus décrié et le plus discrédité. Mon nom a fait grincer des dents dans les couloirs de la Curie vaticane. Parmi les nombreuses calomnies qui ont été répandues à mon sujet, on a dit que j’étais un lâche qui descendait de la croix et fuyait les loups. Tout ce que je disais en public ou en privé était déformé dans le seul but d’organiser un coup d’État. Un autre a dit : « C’est le pire pape que nous ayons jamais eu, et c’est ainsi que les épées se sont enfoncées une à une dans mon cœur. Face à la dure réalité que je voyais, j’ai suivi mon chemin, et ce chemin était de suivre le Christ jusqu’au Calvaire. La désobéissance du collège des cardinaux a atteint un tel niveau qu’il m’était impossible de gouverner.
En tant que berger, j’ai toujours été respectueux, cordial et poli dans mes relations avec tout le monde, sans exception. En retour, j’ai reçu du mépris, des calomnies et des insultes. Mon soi-disant secrétaire personnel n’était pas mon confident, au contraire, je savais qu’on ne pouvait pas lui faire confiance. Il était mon bourreau, un micro ouvert pour mes ennemis. C’est François qui m’a fait enfermer en isolement et sous haute surveillance. Apparemment, il craignait que je dise quelque chose qui porterait atteinte à sa réputation. Il craignait que je révèle la vérité et que je contrecarre ses plans secrets de destruction de l’Église catholique. Je l’ai dit clairement à Georg (Gänswein) lorsque je lui en ai parlé : Il semble que le pape François ne me fasse plus confiance.
Même les religieuses soigneusement sélectionnées et formées qui m’accompagnaient n’étaient pas dignes de confiance. Je me suis senti très seul, j’étais littéralement dans une prison. Plus d’une fois, j’ai pleuré devant le Saint-Sacrement, j’ai regardé le Christ et j’ai demandé la force de ne pas céder et la sagesse de faire la volonté de Dieu en toutes choses.
Mon secrétaire Georg m’a vu le faire. C’est au cours de la deuxième année de mon exil en prison et exactement le jour de l’anniversaire de mon secrétaire que j’ai prononcé ces mots : Georg, aujourd’hui est un jour spécial pour toi. Il m’a dit : « Merci, Votre Sainteté », et il m’a regardé avec un regard fixe. J’ai continué : Tu sais que mon véritable programme de gouvernement n’était pas de faire ma volonté, mais d’écouter la parole et la volonté du Seigneur, avec toute l’Église, et de me laisser conduire par Lui. Il répondit : « Oui, Saint-Père, je le sais ». « Eh bien, aujourd’hui, je veux vous dire que c’est notre Seigneur Jésus-Christ qui, en cette heure de notre histoire, en ce moment de mon apparente inutilité, conduit l’Église et la mènera à une fin heureuse, parce qu’il a promis que les puissances de l’enfer n’auront pas raison de l’Église. Crois-tu ce que je te dis ? ». Il a dit : « Oui, Votre Sainteté », et il y a eu un grand silence autour de nous et nous nous sommes regardés l’un l’autre. Pour la première et unique fois, j’ai vu dans son regard une trace d’amitié sincère. À ce moment-là, j’ai prié le Seigneur au plus profond de mon âme pour la conversion de Georg et de tous mes ennemis, et j’ai dit au plus profond de mon cœur : « Seigneur, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. »
J’ai certainement été à l’école du silence de Marie, qui gardait tout dans son cœur, et parmi les nombreuses choses que j’ai apprises dans ce douloureux exil, il y a le silence. Le silence n’est pas une faiblesse, le silence n’est pas une peur ou une lâcheté, le silence est la sagesse de Dieu, c’est la prudence. Et la personne vraiment sage est celle qui sait comment et quand se taire, pas celle qui parle beaucoup. Et il y a des moments où l’Esprit Saint incite à parler ou à se taire. Le silence du juste incite la justice de Dieu à agir, car nous nous remettons entre les mains de Dieu, le juste juge. Lorsque j’ai commencé mon pontificat, j’ai clairement indiqué que j’écoutais la Parole de Dieu avec l’Église, que je faisais toujours sa sainte volonté, que j’étais toujours docile à sa Parole, toujours prêt à pardonner aussi souvent que nécessaire et à donner une seconde chance, car ce sont les âmes qui doivent insister sur un véritable berger qui évite toujours de juger pour ne pas être jugé et qui est prêt à corriger quand c’est nécessaire ; et si je reconnais que l’on a des faiblesses humaines, et j’en ai eu, il est également vrai que je n’ai jamais lâché la main de Dieu, qui était toujours dans la barque avec moi. Et bien qu’il y ait eu de nombreuses tempêtes, je ne me suis jamais méfié de la puissance de Dieu. Malgré mes nombreux échecs, je suis toujours resté fidèle au Seigneur et j’ai répété dans mon cœur les paroles de Pierre : Seigneur, tu sais, tu sais que je t’aime.
Ce fut très douloureux pour mon humanité brisée de découvrir qu’elle m’empoisonnait lentement, car j’entendais mon maître Georg Gänswein, sans qu’il s’en aperçoive, donner des instructions de François aux religieuses qui me servaient. Je l’ai entendu dire : continuez à lui donner le médicament, faites tout pour que cela paraisse naturel, ne soupçonnez rien, ne posez pas de questions, les ordres viennent d’en haut, ne vous inquiétez pas, vous serez bien récompensées. J’ai fait semblant de ne rien remarquer, et à partir de ce moment-là, chaque aliment ou médicament qu’on me donnait était une torture, j’évitais de le manger de peur qu’il ne soit empoisonné. Et ce manque de nourriture était encore plus préjudiciable à ma santé déjà fragile. J’ai toujours béni les médicaments car j’étais sûr qu’ils les remplaçaient.
Ma vie en prison, qui avait duré presque 10 ans, touchait à sa fin. Dieu était pressé avec moi. Même si j’avais voulu parler clairement, je n’aurais pas pu le faire. Ils ne m’auraient même pas cru. Ils auraient déformé mes paroles, je n’avais personne autour de moi à qui faire confiance. C’était une situation très stressante, alors Dieu m’a éclairé pour que je puisse communiquer d’une manière ou d’une autre à travers des codes et des paraboles, à travers les livres, en espérant qu’au moins quelqu’un comprendrait la manière dont je parlais.
À l’occasion de mon 95e anniversaire, François est venu me rendre visite, a apporté une bouteille de vin avec de la pâte de caramel et m’a demandé s’il pouvait rester seul avec moi. Je n’avais jamais pensé que soncynisme et sa capacité à faire le mal étaient aussi prononcés. Une fois de plus, j’ai vu sa haine à mon égard, à l’égard de l’Église et, surtout, sa haine sans bornes à l’égard de la Mère de Dieu. Je m’étais toujours considéré comme une personne pacifique et diplomatique : Que pouvais-je faire ? Seulement souffrir en silence, dans une grande solitude, car à la fin de ma vie, je me trouvais en parfait accord avec le Christ souffrant, lui aussi abandonné de toute aide divine. Cela a fait partie de ma catharsis. J’ai compris. Ma fonction de vicaire du Christ exigeait une grande purification. Beaucoup de choses m’avaient été confiées, et bientôt je devrais rendre compte à Dieu de toute mon administration. Je devais répondre, non seulement de mon âme de chrétien baptisé, mais aussi de toute l’Église. Quelle grande responsabilité, quelle lourde croix je devais porter en tant que pape ! À partir de ce moment-là, tout est devenu clair pour moi, et cette prise de conscience m’a mis doublement mal à l’aise.
Sous le sceau de la confession et dans son habituelle attitude flatteuse de fausse fraternité, Bergoglio, ou plutôt François, m’a dit sur un ton moqueur et à sa manière très cynique et impitoyable qu’il aimait avoir l’Église entre ses mains, qu’il la détruirait complètement et enterrerait l’Eucharistie pour toujours. Il a dit : « Je vais effacer votre Dieu de la surface de la terre : J’ai de nombreux alliés pour m’aider, non seulement de l’intérieur, mais aussi de l’extérieur. La Curie est à genoux à mes pieds, et le Collège des cardinaux est un chien fidèle, comme vous le savez. Vous ne pouvez pas nier qu’ils sont fidèles, qu’ils obéissent, et il sourit malicieusement. « Je les ai amenés ici pour vous, et au cas où vous ne le sauriez pas, je vous le confirme. Considérez cela comme une faveur de ma part. Je ne suis pas aussi mauvais qu’on le dit. Il sourit à nouveau, cette fois-ci de manière glaciale.
Son regard m’effrayait, et l’avoir en face de moi, c’était comme voir Satan. Il m’a avoué que l’un de ses objectifs était de jeter de la boue sur la Mère de Dieu, d’éradiquer le dogme si possible et de piétiner l’Eucharistie. Il m’a dit qu’il allait éradiquer le rite extraordinaire d’un seul coup, ne laissant que le rite actuel avec ses nombreuses prophéties et sacrilèges. Finalement, le nouveau rite a été élaboré par un franc-maçon expert en liturgie, qui m’a avoué avoir ressenti de la joie lorsqu’il s’est rendu au Tepeyac et qu’il a insulté la Reine des Cieux face à face. Il parlait du Mexique. Puis il s’est réjoui de la pantomime qu’il a jouée avec une prétendue dévotion de la Russie et du monde au Cœur Immaculé de Marie. Il m’a dit, en s’approchant encore plus près et avec ironie : « Voulez-vous savoir qui j’ai invoqué pour l’image bien-aimée de Notre-Dame de Fatima ? Je lui ai répondu que ce n’était pas nécessaire. Il m’a dit qu’il me le dirait quand même parce qu’il savait que cela me ferait mal : J’ai invoqué le Roi des Ténèbres, tu comprends ? Je suis resté dans un silence complet, puis il a dit : « Oh grand-père, je reconnais que je me suis bien amusé, mais il est temps de mettre fin à cette farce. Les catholiques sont ignorants et sans cervelle, et il est bon qu’ils continuent ainsi, obéissants et soumis à tout ce qu’on leur dit. » Et il sourit à nouveau.
Il m’a avoué que c’était sa plus grande satisfaction de me voir souffrir. Il m’a dit qu’il aimait ça et que j’étais sa proie, qu’il avait ma vie entre ses mains, qu’il pouvait m’enfermer définitivement à tout moment, que ce n’était pas la première fois qu’il le faisait et que ça ne le dérangeait pas. Il m’a dit : « Savez-vous ce qu’est l’euthanasie ? Et il a souri, a secoué la tête et a dit avec un regard : « Tu as mal ? ». J’étais choqué par tout ce que je l’entendais dire, je ne pouvais pas croire à une telle méchanceté, dans son cœur il n’y avait que de la haine et de ses lèvres ne sortait que de l’horreur. Il m’a immédiatement dit : « Saint Père, ne vous inquiétez pas, vos souffrances seront bientôt abrégées, je vous le promets », et je l’ai regardé et lui ai répondu : Vous ne craignez pas Dieu. Il me dit : Je ne connais pas la peur, et il ajouta : Qu’est-ce que la peur ?
Je me suis dit : C’est le destructeur de l’Église, et il est clair qu’il était sous l’influence de Satan. Mes pensées se sont alors envolées vers Fatima et les larmes me sont montées aux yeux. J’étais sûr que mes jours étaient comptés et que le rideau de ma vie allait bientôt tomber.
La personne responsable de l’abrègement de ces jours était mon geôlier. Mon secrétaire Gänswein, apparemment loyal. Cette tâche lui avait été confiée et il devait l’accomplir sans laisser le moindre soupçon de meurtre. La veille de ma mort, mon secrétaire a reçu un coup de téléphone. C’était François, il a dit cette phrase : « C’est l’heure » et il a raccroché. Je l’avais entendu parce qu’il était près de moi et il pensait que je dormais. Je n’ai pas résisté à mon bourreau. J’ai attendu patiemment ma fin. Qu’aurais-je pu dire ou faire d’autre puisque j’étais complètement isolé et surveillé 24 heures sur 24, puisque ce sont eux qui étaient vraiment aux commandes au sein du Vatican et que ce sont eux, qui sont maintenant majoritaires grâce à François, qui ont manipulé l’information et publié une vérité qui a été modifiée et généreusement payée par le Vatican lui-même.
Ce n’est un secret pour personne qu’au cours de l’histoire, de nombreux papes ont été assassinés et empoisonnés par les mêmes cardinaux maçonniques qui avaient infiltré le gouvernement central. Une fois devenus secrétaires d’État, nombre de ces meurtres ont été qualifiés de mort naturelle ou de crise cardiaque et, pour dissiper tout soupçon, ils ont été canonisés. Pour ne citer qu’un exemple : les dossiers du pape Jean-Paul I et du grand Jean-Paul II, sur lequel ils avaient fait plusieurstentatives d’assassinat infructueuses, et qui a finalement été réduit au silence par une laryngectomie inutile et opportunément pratiquée. Enfin, je suis là, et je peux vous assurer qu’il y a plusieurs façons de tuer.
Son regard était un regard vers l’infini, celui de Benoît XVI. Je ne pouvais pas croire, dit sœur Benedicta, ce que j’entendais. J’ai ressenti une grande douleur dans mon cœur et une grande indignation, mais j’étais là, assise sur le bord du lit, dans le silence le plus complet, écrivant comme si j’étais la secrétaire du pape et me disant : « Quelle horreur, mon Dieu ! Quelle horreur, mon Dieu. Quelle bassesse. Le Saint-Père m’a alors regardé et m’a dit : « Sois forte et continue d’écrire, J’ai encore beaucoup à dire, tout cela fait déjà partie de l’histoire. Écris, ma fille.
J’ai dit : « Je vous écoute, Saint-Père », et il a continué :
En tant que pape, j’ai toujours porté la soutane blanche, espérant que le monde se rendrait compte que je n’avais jamais démissionné et que j’étais sous pression pour agir et prendre des décisions pour le bien de l’Église. Dans les rares conversations que je pouvais avoir, je m’exprimais toujours de manière voilée pour ne pas éveiller les soupçons de mes ennemis qui me surveillaient constamment, et je devais être très prudent. Mes ennemis étaient nombreux et avaient beaucoup de micros. Aujourd’hui, je jouis d’une grande paix, car Dieu est juste et il choisit toujours le bon moment. Nous vivons une époque où beaucoup pensent détenir et connaître la vérité. La vérité n’est qu’une : Le Christ, et à Lui seul nous devons toujours rester fidèles, même si cela nous coûte la vie, comme c’est le cas pour moi.
Le 8 décembre 2022, dans un geste de confiance et de bonne volonté, j’ai informé mon secrétaire que j’avais écrit plusieurs lettres et ma dernière encyclique Marie Corédemptrice, Médiatrice et Avocate. J’ai dit cela, fortement encouragé par mon prédécesseur, le grand Jean-Paul II, fidèle défenseur de Marie Corédemptrice au pied de la Croix. J’ai dit à mon secrétaire où ils se trouvaient. Sa surprise ne s’est pas fait attendre. Il m’a dit : Des lettres ?! et en même temps il m’a dit avec un sourire obligatoire qu’il me remerciait pour le vote de confiance. Je lui ai précisé que ces lettres étaient confidentielles et adressées principalement au gouvernement central, à la Curie du Vatican, à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et la Liturgie, au Collège des Cardinaux, aux Cardinaux Gerhard Ludwig Müller, Raymond Leo Burke, au Cardinal Zen, au Cardinal Robert Sarah, à la Fraternité sacerdotale Saint Pie X et Saint Pierre.
_________________
Dernière édition par Ange Gabriel-Dan le Jeu 13 Juin - 12:58, édité 3 fois
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Jeu 13 Juin - 11:42
Pape Benoît XVI, 2015
NOUS IMPLORONS LE SEIGNEUR DE NOUS ENVOYER SON SERVITEUR, PIERRE LE ROMAIN ET AVEC L'AIDE DE MARIE SAINTE ET DU CIEL ENTIER, LUI DEMANDONS DE DEFENDRE SON ÉGLISE CONTRE LES TROMPERIES DE SATAN.
NOUS LE DEMANDONS AU NOM DE JÉSUS-CHRIST NOTRE SEIGNEUR
AMEN.
"Alors que l'on voit le pouvoir de l'Antique se répandre, on ne peut que prier pour que le Seigneur nous donne de puissants pasteurs pour défendre Son Église contre le pouvoir du mal en cette heure de nécessité."
***************
SUITE 2 :
J’ai écrit une lettre aux prêtres et aux séminaristes pour les exhorter à toujours s’efforcer d’être des prêtres exemplaires, animés par une prière constante et intense, cultivant la chasteté et l’intimité avec le Christ, et j’ai souligné que le prêtre doit être conforme au cœur du Christ et que ce n’est qu’ainsi que le sacerdoce peut être réussi et porter des fruits apostoliques, et je leur ai conseillé de ne jamais se laisser séduire par la logique de la carrière et du pouvoir – des mots que j’ai souvent dits aux prêtres et aux séminaristes. Enfin, je les ai exhortés à ne pas commettre l’erreur de prendre la communion en main et de faire pénitence selon la demande de Notre Dame.
J’ai également écrit des lettres aux instituts de vie consacrée, aux journalistes du monde entier et à mon grand ami, le théologien Giulio Colombi. Enfin, j’ai adressé une lettre ouverte au peuple de Dieu. J’ai insisté auprès de Georg pour que ces lettres soient publiées trois jours après ma mort, et il m’a donné sa parole.
Dans ma tâche d’imiter le Christ, qui a eu avec lui jusqu’à la fin le traître et perfide Judas Iscariote, image des traîtres que l’on verrait dans mon Église, j’avais aussi Georg, à qui j’ai témoigné jusqu’au dernier moment une affection, une confiance et une patience sincères, désirant le bien-être de son âme et sa conversion, même si je savais que je le verrais bientôt commettre la pire des trahisons et le plus grand des meurtres. Sachant que mon secrétaire me trahirait, j’ai sagement décidé de donner une copie de ces lettres à mon grand ami Giulio Colombi lors de sa dernière visite, ce qui m’a été accordé par un miracle de Dieu après de nombreuses supplications à mon secrétaire Gänswein.
Discrètement et sans éveiller de soupçons, j’ai rapidement expliqué à Giulio ce qui se passait et je lui ai demandé de publier ces documents après ma mort imminente et d’en donner une copie à chaque membre du Collège des cardinaux, afin qu’ils puissent à leur tour prendre les bonnes décisions et convoquer un conclave légal après ma mort.
Motivé par cet acte de confiance que j’ai fait à mon secrétaire, il a secrètement et perfidement tout communiqué à François, les lettres et l’encyclique, l’encyclique Marie Corédemptrice, que j’avais écrite et dans laquelle je proclamais dogmatiquement la co-rédemption de la Mère de Dieu. Sans qu’il s’en aperçoive, et grâce au volume de son téléphone, j’ai pu entendre François donner l’ordre de tout brûler, et il a ajouté : « Nous ne devons rien laisser qui puisse être compromettant », ce à quoi il a répondu : « Je le ferai », et il a raccroché. Il ne savait pas que j’avais tout entendu. (Cependant, Giulio Colombí est mort le 1er janvier 2023, le lendemain de la mort de Benoît, ndlr). Sachant la trahison de mon secrétaire Georg Gänswein et comme dernière chance pour lui de se justifier devant Dieu, je lui ai explicitement recommandé l’encyclique que j’ai écrite le 25 mars 2022. Le 25 mars 2022, après trois ans, jour et nuit, dans une profonde prière et en demandant à Dieu d’éclairer son serviteur de son Esprit Saint, j’ai déclaré solennellement et dogmatiquement le rôle, en connaissant la documentation complète et précise qui se trouve dans les archives et qui accompagne ce nouveau dogme marial, révélé par la Bienheureuse Vierge Marie comme Mère spirituelle de tous les peuples, parmi ses trois aspects principaux de Corédemptrice, Médiatrice et Avocate, qui lui permettent d’exercer pleinement sa maternité spirituelle, don qui lui a été fait par son Fils Jésus-Christ sur la croix pour toute l’humanité de tous les temps.
L’encyclique affirme : « La Bienheureuse Vierge Marie est notre Mère dans l’ordre de la grâce, Corédemptrice, Médiatrice et Avocate, dont la maternité est universelle et s’adresse à tous les peuples et à toutes les races depuis la création du monde, en commençant par le salut accompli par son Fils Jésus-Christ. Face à la crise sans précédent de la foi, de la famille, de la société et de la paix qui caractérise l’état actuel de l’humanité, l’intercession de la Mère de Dieu est aujourd’hui plus urgente que jamais.
Je suis convaincu que cette définition papale de la maternité spirituelle de la Bienheureuse Vierge Marie sera un remède extraordinaire à la crise mondiale actuelle qui menace l’humanité », et je l’ai signée : Benoît PP. XVI, Pasteur des bergers.
Lorsque j’ai terminé la rédaction de cette encyclique, j’ai reçu un signe du ciel. Au fond de moi, j’étais sûr que ma carrière était terminée. C’était la dernière chose que je ferais en tant que pape et, à partir de ce moment, le compte à rebours avait commencé. Je me suis senti à ce moment-là comme l’Oméga qui mettait fin à un cycle dans l’Église et commençait une nouvelle et forte persécution de la foi.
Ce dernier matin, je n’arrivais pas à dormir, je respirais difficilement, mes nuits blanches devenaient de plus en plus longues. Mais j’étais conscient que le Seigneur contrôlait la situation. Mon état d’esprit n’était pas des meilleurs, je me sentais fatigué et très accablé par tout ce que je savais se passer, avec la confession de François qui me tourmentait jour et nuit, et dont je ne pouvais pas parler étant donné ma situation, et surtout le sceau de la confession, qui est inviolable. Cela me tourmentait de provoquer un scandale sans précédent. Ma communication avec le monde était voilée, c’était comme un cri silencieux dans ma longue et douloureuse agonie.
Puis vint le moment où mon secrétaire Gänswein entra au petit matin. Il pensait que je dormais, car j’avais passé plusieurs longues nuits. Il était convaincu qu’il m’avait trompé pendant toutes ces années où nous avions été contraints de vivre ensemble. À sa grande surprise, j’étais réveillé. J’ai prié le chapelet à ma bonne et chère Mère, ma compagne dans cet exil, Marie la Corédemptrice. Quelle meilleure compagne que celle qui a toujours été fidèle à son Fils Jésus-Christ et qui s’est tenue au pied de la croix ?
Georg s’est approché de moi et m’a dit : « Votre Sainteté, vous ne pouvez pas dormir ? Je dois vous donner ce médicament. » J’avais terminé et Dieu m’a fait savoir qu’il était temps de partir. Je l’ai alors regardé dans les yeux. Il m’a regardé et a immédiatement détourné les yeux. Son regard était froid, comme celui d’un cadavre.
J’ai repris courage et je lui ai dit : « Georg, as-tu déjà pensé à ta mort ? Il m’a répondu : « Non, Votre Sainteté ». J’ai dit : « Tu devrais le faire et examiner souvent ta conscience, c’est très sain pour l’âme, la vie est très courte et un jour tu devras répondre de ta vie devant Dieu. Il m’a dit : « Votre Sainteté, pourquoi ces mots ? D’un ton très bas et avec beaucoup de difficultés à respirer, je lui ai répondu : « Gänswein, tu es avec moi depuis longtemps et tu ne me connais pas encore ? Ce que tu dois faire, fais-le maintenant et sans plus attendre, mais souviens-toi qu’un jour tu devras rendre des comptes à Dieu, ne l’oublie pas », et nous nous sommes regardés en silence.
Mon secrétaire a alors été surpris et a réalisé que j’avais dévoilé sa tromperie et que c’était lui qui avait été trompé. Il m’a alors fait la piqûre et m’a dit à l’oreille : « il est temps de mettre fin à cette farce ». J’étais prêt et j’ai prié, et contrairement à son souhait, j’ai eu la paix, cette paix que seul Dieu peut donner à l’âme, et je lui ai murmuré : « Je te pardonne tout de tout mon cœur », et dans mon agonie, mes derniers mots ont été : « Seigneur, je t’aime ». Et je me suis endormi comme quelqu’un qui s’endort dans les bras de sa mère.
Tout au long de mon douloureux pontificat, c’est-à-dire pendant les huit années de ma charge active et les presque dix années de ma charge contemplative, j’ai été soumis à des critiques sévères et à des humiliations. Toute ma vie, j’ai été impitoyablement ridiculisé en public, mais l’humiliation la plus douloureuse, je l’ai vécue lorsque je suis venu à Berlin et que les évêques et les cardinaux allemands ont refusé de m’accueillir. L’autre humiliation, la plus grande, a été celle de mes bourreaux le jour de mes funérailles. Lorsque j’ai accepté le ministère de Pierre, le 19 avril 2005, j’avais cette ferme certitude qui m’a toujours accompagné, la certitude de la vie de l’Église à travers la Parole de Dieu.
À ce moment-là, comme en d’autres occasions, j’ai pris la parole publiquement. Les mots qui résonnaient dans mon cœur étaient les suivants : « Seigneur, pourquoi veux-tu cela de moi et qu’attends-tu de moi ? C’est un lourd fardeau que Tu as placé sur mes épaules, mais si Tu me le demandes par Ta parole, je jetterai mes filets, confiant que Tu me guideras malgré toutes mes faiblesses ».
À la fin de ma vie, je peux dire que le Seigneur m’a vraiment guidé, qu’il était proche de moi, que je sentais sa présence chaque jour, que j’ai eu des moments de joie et de lumière, mais aussi des moments qui n’étaient pas faciles. Je me suis senti comme Pierre avec les apôtres dans la barque sur la mer de Galilée. Le Seigneur nous a donné de nombreux jours de soleil et de brise légère, des jours où la pêche était abondante, mais il y a eu aussi des moments où l’eau était agitée et le vent capricieux, comme dans toute l’histoire de l’Église, et le Seigneur semblait endormi. Mais j’ai toujours su que le Seigneur était dans cette barque, et j’ai toujours su que la barque de l’Église n’est pas la mienne, pas la nôtre, mais la sienne, et le Seigneur ne la fait pas couler, c’est Lui qui la guide, certainement aussi par les personnes qu’il a choisies parce qu’il l’a voulu ainsi. C’était et c’est une certitude que rien ni personne ne peut troubler, et c’est pourquoi mon cœur est aujourd’hui plein de gratitude envers Dieu, parce qu’il n’a jamais laissé toute l’Église ni moi sans son réconfort, sa lumière et son amour.
J’ai aimé chacun de vous, sans distinction, avec cet amour pastoral qui est le cœur de tout pasteur, en particulier de l’évêque de Rome, successeur de l’apôtre Pierre, chaque jour. J’ai porté chacun d’entre vous dans la prière avec le cœur d’un père. Je veux que mon salut et mon action de grâce parviennent à tous. Je veux que mon cœur s’élargisse au monde entier. Aujourd’hui, au terme de ma carrière, je peux vous assurer que le pape n’est jamais seul. Le Seigneur a toujours été avec moi. Il a travaillé avec moi. Il s’est reposé avec moi. Il s’est réjoui avec moi des pêches abondantes. Et il a pleuré avec moi. Tout cela, mon cœur l’a vécu pendant mon pontificat, jusqu’au dernier jour de ma mort. Mon oui était un abandon total à Dieu et à son œuvre de rédemption. C’était un oui pour toujours dans le Cœur Immaculé de Marie. Je n’ai jamais quitté la croix, comme beaucoup l’ont prétendu, mais je suis resté aux côtés du Seigneur crucifié d’une manière nouvelle, fermement avec Marie au pied de la croix de mon Seigneur. Je voudrais maintenant vous demander une dernière faveur.
« J’écoute, Votre Sainteté », a répondu Sœur Benedicta.
Je veux que vous la publiiez dans les médias sans omettre un détail, comme je l’ai écrit, parce que tout est d’une grande importance pour l’Église. N’ayez pas peur, je comprends que c’est une mission délicate que je vous demande. Puis-je vous faire confiance ?
Et la sœur lui répond : Votre Sainteté, bien sûr que vous pouvez compter sur moi, je serai votre secrétaire, si vous me le permettez. Et il lui dit : « Faites-le et n’ayez pas peur des éventuelles représailles que cette lettre pourrait provoquer. Je veux qu’elle parvienne à la Curie vaticane, à tous les membres du Collège des cardinaux.
Saint Père, puis-je vous poser une question ? » dit la sœur, et il répond : « Je vous écoute »
« Après votre mort, un testament spirituel a été publié, vraisemblablement le vôtre. Est-il vrai que c’est le vôtre ? » Le pape Benoît a répondu :
En ce qui concerne mon testament spirituel, je vous dirai qu’il a été publié sous une forme incomplète. Chaque pape est libre de rédiger un testament spirituel. J’ai voulu l’écrire en deux parties. J’ai décidé de le faire parce que j’étais dans une situation difficile à l’époque et surtout parce qu’il y avait un risque de schisme au sein de l’Église.
La situation était si compliquée que je risquais même d’être enfermé dans une véritable prison si je n’accédais pas à leurs demandes – la pression venait clairement des États-Unis et du gouvernement chinois.
C’est la raison pour laquelle je n’ai pas pu rédiger un testament complet et que j’ai envisagé de l’écrire en deux parties. J’ai appelé la partie qui a été publiée Alpha, tandis que j’ai appelé la deuxième partie du testament Oméga. Cette seconde partie a été brûlée avec les lettres et l’encyclique que j’avais écrites. Cette deuxième partie est celle que je viens de vous dicter. C’est pourquoi ce document est très important et il est important que vous le mettiez en lumière. Cette tâche requiert votre courage.
« Je comprends, Votre Sainteté, dit la sœur.
Quant à mon secrétaire [Gänswein], je vous dirai qu’il m’a encore utilisé à son avantage. Je me réfère également au livre qu’il a publié à compte d’auteur. Beaucoup de ses confessions ont été adaptées. Il essaie simplement de divertir sans dire ce qu’il devrait dire. Mais cela n’a plus d’importance. Le vrai témoignage, et plus qu’un témoignage, est ce document que je viens de vous dicter et que je laisse par écrit grâce à vous qui avez été le secrétaire du Seigneur et qui êtes maintenant le mien. Avant de conclure, je veux adresser un message de foi à toutes les communautés religieuses à travers votre communauté. En ce jour, je vous invite, vous qui participez à la vie et à la mission de l’Église dans le monde, à nourrir avant tout une foi capable d’illuminer votre vocation, afin que votre vie soit un signe évangélique de contradiction pour un monde qui s’éloigne de plus en plus de Dieu et de son amour. Un monde qui veut vivre sans Dieu est un monde sans espérance.
Revêtez, tendres enfants, Jésus-Christ et portez les armes de la lumière, comme le recommande l’apôtre Paul, et restez éveillés et vigilants. Rappelez-vous toujours que la joie de la vie consacrée va nécessairement de pair avec la participation à la croix du Christ. Il en a été de même pour Marie Corédemptrice. En cette fête des Lumières, je souhaite que la Bonne Nouvelle qui est en vous soit vécue, témoignée et proclamée et qu’elle brille comme une parole de vérité. Vous êtes le paratonnerre de l’Église et vous vous tenez fermement au pied de la croix avec Marie, la Mère de Dieu. Dites à tout le monde que je suis avec Dieu. Je pars, mais je reste aussi et j’accompagne l’Église dans sa purification jusqu’au Calvaire, afin qu’elle soit parée de la même gloire que l’Époux.
Chers amis, Dieu conduit son Église, il la soutient toujours et surtout dans les moments difficiles. Ne perdez jamais cette vision de foi qui est la seule vraie vision du chemin de l’Église et du monde. Qu’il y ait toujours dans le cœur de chacun d’entre vous la joyeuse certitude que le Seigneu
****
Il est clair que les médias ont été manipulés par le Vatican pour détruire mon image et faire en sorte que le monde me déteste. C’est le pays des États-Unis qui a le plus contribué à mon coup d’État. Chaque fois que je disais un mot, il y avait un grand tumulte parmi les cardinaux, en particulier parmi le clergé allemand, qui ont été parmi les premiers à lever la main contre moi, et alors je me suis dit : un fils qui lève la main contre son père et provoque un schisme violent et encourage d’autres communautés à suivre son exemple de rébellion obstinée. Cette situation a atteint un niveau tellement insupportable et décourageant pour moi que l’Esprit Saint de Dieu m’a inspiré dans la prière la décision de continuer mon ministère de Pierre d’une manière différente, moins active et publique que contemplative et priante. J’ai ainsi réussi à détourner l’attention de l’administration centrale de la Curie du Vatican, comme elle me le demandait, et à éviter le plus grand schisme de tous les temps.
En tant que Pontife Suprême, j’étais seul, sans le soutien de personne, à l’exception de quelques cardinaux loyaux. Soudain, je me suis retrouvé seul avec Dieu et j’ai compris que lorsque les paroles humaines n’ont aucun effet, il n’y a qu’une seule issue : la prière. Et c’est ce que j’ai fait. Je me suis plongé dans la prière, j’ai vécu dans le repentir, ce qui a été une torture pour mes ennemis modernistes, les amis de la pédérastie et toutes ces idéologies révolutionnaires qui vont à l’encontre de la loi de Dieu et de toute la morale chrétienne. Avec l’aide de la grâce divine, j’ai transformé l’amer en doux et j’ai profité de la souffrance pour le bien de toute l’Église et de son Corps mystique qui m’a été confié. C’est précisément dans la faiblesse et les limites humaines que nous sommes appelés à vivre selon le Christ. Ils ont manipulé le cours de ma vie et ont fait de moi une personne méprisable aux yeux du monde, qu’il fallait remplacer au plus vite. Ils ont répandu la rumeur mensongère que j’avais protégé des prêtres pédophiles, alors que la réalité était tout autre.
À l’instar du Christ, le divin Maître, j’ai gardé le silence et je n’ai pas ouvert la bouche, je me suis fié à l’intervention divine, je me suis remis entre les mains du juste Juge et, comme un agneau doux, j’ai été conduit à l’abattoir pour verser mon sang pour le bien de l’Église. En tant que véritable pasteur de l’Église catholique, je n’ai pas reculé, même si j’ai été traité de traître par les informations manipulées et généreusement payées des différents médias. Mes ennemis disaient que l’Église se durcirait avec moi et que j’avais l’intention de revenir à l’ère préconciliaire.
J’ai été le pape le plus décrié et le plus discrédité. Mon nom a fait grincer des dents dans les couloirs de la Curie vaticane. Parmi les nombreuses calomnies qui ont été répandues à mon sujet, on a dit que j’étais un lâche qui descendait de la croix et fuyait les loups. Tout ce que je disais en public ou en privé était déformé dans le seul but d’organiser un coup d’État. Un autre a dit : « C’est le pire pape que nous ayons jamais eu, et c’est ainsi que les épées se sont enfoncées une à une dans mon cœur. Face à la dure réalité que je voyais, j’ai suivi mon chemin, et ce chemin était de suivre le Christ jusqu’au Calvaire. La désobéissance du collège des cardinaux a atteint un tel niveau qu’il m’était impossible de gouverner.
En tant que berger, j’ai toujours été respectueux, cordial et poli dans mes relations avec tout le monde, sans exception. En retour, j’ai reçu du mépris, des calomnies et des insultes. Mon soi-disant secrétaire personnel n’était pas mon confident, au contraire, je savais qu’on ne pouvait pas lui faire confiance. Il était mon bourreau, un micro ouvert pour mes ennemis. C’est François qui m’a fait enfermer en isolement et sous haute surveillance. Apparemment, il craignait que je dise quelque chose qui porterait atteinte à sa réputation. Il craignait que je révèle la vérité et que je contrecarre ses plans secrets de destruction de l’Église catholique. Je l’ai dit clairement à Georg (Gänswein) lorsque je lui en ai parlé : Il semble que le pape François ne me fasse plus confiance.
Même les religieuses soigneusement sélectionnées et formées qui m’accompagnaient n’étaient pas dignes de confiance. Je me suis senti très seul, j’étais littéralement dans une prison. Plus d’une fois, j’ai pleuré devant le Saint-Sacrement, j’ai regardé le Christ et j’ai demandé la force de ne pas céder et la sagesse de faire la volonté de Dieu en toutes choses.
Mon secrétaire Georg m’a vu le faire. C’est au cours de la deuxième année de mon exil en prison et exactement le jour de l’anniversaire de mon secrétaire que j’ai prononcé ces mots : Georg, aujourd’hui est un jour spécial pour toi. Il m’a dit : « Merci, Votre Sainteté », et il m’a regardé avec un regard fixe. J’ai continué : Tu sais que mon véritable programme de gouvernement n’était pas de faire ma volonté, mais d’écouter la parole et la volonté du Seigneur, avec toute l’Église, et de me laisser conduire par Lui. Il répondit : « Oui, Saint-Père, je le sais ». « Eh bien, aujourd’hui, je veux vous dire que c’est notre Seigneur Jésus-Christ qui, en cette heure de notre histoire, en ce moment de mon apparente inutilité, conduit l’Église et la mènera à une fin heureuse, parce qu’il a promis que les puissances de l’enfer n’auront pas raison de l’Église. Crois-tu ce que je te dis ? ». Il a dit : « Oui, Votre Sainteté », et il y a eu un grand silence autour de nous et nous nous sommes regardés l’un l’autre. Pour la première et unique fois, j’ai vu dans son regard une trace d’amitié sincère. À ce moment-là, j’ai prié le Seigneur au plus profond de mon âme pour la conversion de Georg et de tous mes ennemis, et j’ai dit au plus profond de mon cœur : « Seigneur, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. »
J’ai certainement été à l’école du silence de Marie, qui gardait tout dans son cœur, et parmi les nombreuses choses que j’ai apprises dans ce douloureux exil, il y a le silence. Le silence n’est pas une faiblesse, le silence n’est pas une peur ou une lâcheté, le silence est la sagesse de Dieu, c’est la prudence. Et la personne vraiment sage est celle qui sait comment et quand se taire, pas celle qui parle beaucoup. Et il y a des moments où l’Esprit Saint incite à parler ou à se taire. Le silence du juste incite la justice de Dieu à agir, car nous nous remettons entre les mains de Dieu, le juste juge. Lorsque j’ai commencé mon pontificat, j’ai clairement indiqué que j’écoutais la Parole de Dieu avec l’Église, que je faisais toujours sa sainte volonté, que j’étais toujours docile à sa Parole, toujours prêt à pardonner aussi souvent que nécessaire et à donner une seconde chance, car ce sont les âmes qui doivent insister sur un véritable berger qui évite toujours de juger pour ne pas être jugé et qui est prêt à corriger quand c’est nécessaire ; et si je reconnais que l’on a des faiblesses humaines, et j’en ai eu, il est également vrai que je n’ai jamais lâché la main de Dieu, qui était toujours dans la barque avec moi. Et bien qu’il y ait eu de nombreuses tempêtes, je ne me suis jamais méfié de la puissance de Dieu. Malgré mes nombreux échecs, je suis toujours resté fidèle au Seigneur et j’ai répété dans mon cœur les paroles de Pierre : Seigneur, tu sais, tu sais que je t’aime.
Ce fut très douloureux pour mon humanité brisée de découvrir qu’elle m’empoisonnait lentement, car j’entendais mon maître Georg Gänswein, sans qu’il s’en aperçoive, donner des instructions de François aux religieuses qui me servaient. Je l’ai entendu dire : continuez à lui donner le médicament, faites tout pour que cela paraisse naturel, ne soupçonnez rien, ne posez pas de questions, les ordres viennent d’en haut, ne vous inquiétez pas, vous serez bien récompensées. J’ai fait semblant de ne rien remarquer, et à partir de ce moment-là, chaque aliment ou médicament qu’on me donnait était une torture, j’évitais de le manger de peur qu’il ne soit empoisonné. Et ce manque de nourriture était encore plus préjudiciable à ma santé déjà fragile. J’ai toujours béni les médicaments car j’étais sûr qu’ils les remplaçaient.
****
Ma vie en prison, qui avait duré presque 10 ans, touchait à sa fin. Dieu était pressé avec moi. Même si j’avais voulu parler clairement, je n’aurais pas pu le faire. Ils ne m’auraient même pas cru. Ils auraient déformé mes paroles, je n’avais personne autour de moi à qui faire confiance. C’était une situation très stressante, alors Dieu m’a éclairé pour que je puisse communiquer d’une manière ou d’une autre à travers des codes et des paraboles, à travers les livres, en espérant qu’au moins quelqu’un comprendrait la manière dont je parlais.
À l’occasion de mon 95e anniversaire, François est venu me rendre visite, a apporté une bouteille de vin avec de la pâte de caramel et m’a demandé s’il pouvait rester seul avec moi. Je n’avais jamais pensé que soncynisme et sa capacité à faire le mal étaient aussi prononcés. Une fois de plus, j’ai vu sa haine à mon égard, à l’égard de l’Église et, surtout, sa haine sans bornes à l’égard de la Mère de Dieu. Je m’étais toujours considéré comme une personne pacifique et diplomatique : Que pouvais-je faire ? Seulement souffrir en silence, dans une grande solitude, car à la fin de ma vie, je me trouvais en parfait accord avec le Christ souffrant, lui aussi abandonné de toute aide divine. Cela a fait partie de ma catharsis. J’ai compris. Ma fonction de vicaire du Christ exigeait une grande purification. Beaucoup de choses m’avaient été confiées, et bientôt je devrais rendre compte à Dieu de toute mon administration. Je devais répondre, non seulement de mon âme de chrétien baptisé, mais aussi de toute l’Église. Quelle grande responsabilité, quelle lourde croix je devais porter en tant que pape ! À partir de ce moment-là, tout est devenu clair pour moi, et cette prise de conscience m’a mis doublement mal à l’aise.
_________________
Dernière édition par Ange Gabriel-Dan le Ven 14 Juin - 12:43, édité 1 fois
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Jeu 13 Juin - 12:00
SUITE 3 :
Sous le sceau de la confession et dans son habituelle attitude flatteuse de fausse fraternité, Bergoglio, ou plutôt François, m’a dit sur un ton moqueur et à sa manière très cynique et impitoyable qu’il aimait avoir l’Église entre ses mains, qu’il la détruirait complètement et enterrerait l’Eucharistie pour toujours.
Il a dit : « Je vais effacer votre Dieu de la surface de la terre : J’ai de nombreux alliés pour m’aider, non seulement de l’intérieur, mais aussi de l’extérieur. La Curie est à genoux à mes pieds, et le Collège des cardinaux est un chien fidèle, comme vous le savez. Vous ne pouvez pas nier qu’ils sont fidèles, qu’ils obéissent, et il sourit malicieusement. « Je les ai amenés ici pour vous, et au cas où vous ne le sauriez pas, je vous le confirme. Considérez cela comme une faveur de ma part. Je ne suis pas aussi mauvais qu’on le dit. Il sourit à nouveau, cette fois-ci de manière glaciale.
Son regard m’effrayait, et l’avoir en face de moi, c’était comme voir Satan. Il m’a avoué que l’un de ses objectifs était de jeter de la boue sur la Mère de Dieu, d’éradiquer le dogme si possible et de piétiner l’Eucharistie. Il m’a dit qu’il allait éradiquer le rite extraordinaire d’un seul coup, ne laissant que le rite actuel avec ses nombreuses prophéties et sacrilèges. Finalement, le nouveau rite a été élaboré par un franc-maçon expert en liturgie, qui m’a avoué avoir ressenti de la joie lorsqu’il s’est rendu au Tepeyac et qu’il a insulté la Reine des Cieux face à face. Il parlait du Mexique. Puis il s’est réjoui de la pantomime qu’il a jouée avec une prétendue dévotion de la Russie et du monde au Cœur Immaculé de Marie. Il m’a dit, en s’approchant encore plus près et avec ironie : « Voulez-vous savoir qui j’ai invoqué pour l’image bien-aimée de Notre-Dame de Fatima ? Je lui ai répondu que ce n’était pas nécessaire. Il m’a dit qu’il me le dirait quand même parce qu’il savait que cela me ferait mal : J’ai invoqué le Roi des Ténèbres, tu comprends ? Je suis resté dans un silence complet, puis il a dit : « Oh grand-père, je reconnais que je me suis bien amusé, mais il est temps de mettre fin à cette farce. Les catholiques sont ignorants et sans cervelle, et il est bon qu’ils continuent ainsi, obéissants et soumis à tout ce qu’on leur dit. » Et il sourit à nouveau.
Il m’a avoué que c’était sa plus grande satisfaction de me voir souffrir. Il m’a dit qu’il aimait ça et que j’étais sa proie, qu’il avait ma vie entre ses mains, qu’il pouvait m’enfermer définitivement à tout moment, que ce n’était pas la première fois qu’il le faisait et que ça ne le dérangeait pas. Il m’a dit : « Savez-vous ce qu’est l’euthanasie ? Et il a souri, a secoué la tête et a dit avec un regard : « Tu as mal ? ». J’étais choqué par tout ce que je l’entendais dire, je ne pouvais pas croire à une telle méchanceté, dans son cœur il n’y avait que de la haine et de ses lèvres ne sortait que de l’horreur. Il m’a immédiatement dit : « Saint Père, ne vous inquiétez pas, vos souffrances seront bientôt abrégées, je vous le promets », et je l’ai regardé et lui ai répondu : Vous ne craignez pas Dieu. Il me dit : Je ne connais pas la peur, et il ajouta : Qu’est-ce que la peur ?
Je me suis dit : C’est le destructeur de l’Église, et il est clair qu’il était sous l’influence de Satan. Mes pensées se sont alors envolées vers Fatima et les larmes me sont montées aux yeux. J’étais sûr que mes jours étaient comptés et que le rideau de ma vie allait bientôt tomber.
La personne responsable de l’abrègement de ces jours était mon geôlier. Mon secrétaire Gänswein, apparemment loyal. Cette tâche lui avait été confiée et il devait l’accomplir sans laisser le moindre soupçon de meurtre. La veille de ma mort, mon secrétaire a reçu un coup de téléphone. C’était François, il a dit cette phrase : « C’est l’heure » et il a raccroché. Je l’avais entendu parce qu’il était près de moi et il pensait que je dormais. Je n’ai pas résisté à mon bourreau. J’ai attendu patiemment ma fin. Qu’aurais-je pu dire ou faire d’autre puisque j’étais complètement isolé et surveillé 24 heures sur 24, puisque ce sont eux qui étaient vraiment aux commandes au sein du Vatican et que ce sont eux, qui sont maintenant majoritaires grâce à François, qui ont manipulé l’information et publié une vérité qui a été modifiée et généreusement payée par le Vatican lui-même.
Ce n’est un secret pour personne qu’au cours de l’histoire, de nombreux papes ont été assassinés et empoisonnés par les mêmes cardinaux maçonniques qui avaient infiltré le gouvernement central. Une fois devenus secrétaires d’État, nombre de ces meurtres ont été qualifiés de mort naturelle ou de crise cardiaque et, pour dissiper tout soupçon, ils ont été canonisés. Pour ne citer qu’un exemple : les dossiers du pape Jean-Paul I et du grand Jean-Paul II, sur lequel ils avaient fait plusieurstentatives d’assassinat infructueuses, et qui a finalement été réduit au silence par une laryngectomie inutile et opportunément pratiquée. Enfin, je suis là, et je peux vous assurer qu’il y a plusieurs façons de tuer.
Son regard était un regard vers l’infini, celui de Benoît XVI. Je ne pouvais pas croire, dit sœur Benedicta, ce que j’entendais. J’ai ressenti une grande douleur dans mon cœur et une grande indignation, mais j’étais là, assise sur le bord du lit, dans le silence le plus complet, écrivant comme si j’étais la secrétaire du pape et me disant : « Quelle horreur, mon Dieu ! Quelle horreur, mon Dieu. Quelle bassesse. Le Saint-Père m’a alors regardé et m’a dit : « Sois forte et continue d’écrire, J’ai encore beaucoup à dire, tout cela fait déjà partie de l’histoire. Écris, ma fille.
J’ai dit : « Je vous écoute, Saint-Père », et il a continué :
En tant que pape, j’ai toujours porté la soutane blanche, espérant que le monde se rendrait compte que je n’avais jamais démissionné et que j’étais sous pression pour agir et prendre des décisions pour le bien de l’Église. Dans les rares conversations que je pouvais avoir, je m’exprimais toujours de manière voilée pour ne pas éveiller les soupçons de mes ennemis qui me surveillaient constamment, et je devais être très prudent. Mes ennemis étaient nombreux et avaient beaucoup de micros. Aujourd’hui, je jouis d’une grande paix, car Dieu est juste et il choisit toujours le bon moment. Nous vivons une époque où beaucoup pensent détenir et connaître la vérité. La vérité n’est qu’une : Le Christ, et à Lui seul nous devons toujours rester fidèles, même si cela nous coûte la vie, comme c’est le cas pour moi.
Le 8 décembre 2022, dans un geste de confiance et de bonne volonté, j’ai informé mon secrétaire que j’avais écrit plusieurs lettres et ma dernière encyclique Marie Corédemptrice, Médiatrice et Avocate. J’ai dit cela, fortement encouragé par mon prédécesseur, le grand Jean-Paul II, fidèle défenseur de Marie Corédemptrice au pied de la Croix. J’ai dit à mon secrétaire où ils se trouvaient. Sa surprise ne s’est pas fait attendre. Il m’a dit : Des lettres ?! et en même temps il m’a dit avec un sourire obligatoire qu’il me remerciait pour le vote de confiance. Je lui ai précisé que ces lettres étaient confidentielles et adressées principalement au gouvernement central, à la Curie du Vatican, à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et la Liturgie, au Collège des Cardinaux, aux Cardinaux Gerhard Ludwig Müller, Raymond Leo Burke, au Cardinal Zen, au Cardinal Robert Sarah, à la Fraternité sacerdotale Saint Pie X et Saint Pierre.
J’ai écrit une lettre aux prêtres et aux séminaristes pour les exhorter à toujours s’efforcer d’être des prêtres exemplaires, animés par une prière constante et intense, cultivant la chasteté et l’intimité avec le Christ, et j’ai souligné que le prêtre doit être conforme au cœur du Christ et que ce n’est qu’ainsi que le sacerdoce peut être réussi et porter des fruits apostoliques, et je leur ai conseillé de ne jamais se laisser séduire par la logique de la carrière et du pouvoir – des mots que j’ai souvent dits aux prêtres et aux séminaristes. Enfin, je les ai exhortés à ne pas commettre l’erreur de prendre la communion en main et de faire pénitence selon la demande de Notre Dame.
J’ai également écrit des lettres aux instituts de vie consacrée, aux journalistes du monde entier et à mon grand ami, le théologien Giulio Colombi. Enfin, j’ai adressé une lettre ouverte au peuple de Dieu. J’ai insisté auprès de Georg pour que ces lettres soient publiées trois jours après ma mort, et il m’a donné sa parole.
Dans ma tâche d’imiter le Christ, qui a eu avec lui jusqu’à la fin le traître et perfide Judas Iscariote, image des traîtres que l’on verrait dans mon Église, j’avais aussi Georg, à qui j’ai témoigné jusqu’au dernier moment une affection, une confiance et une patience sincères, désirant le bien-être de son âme et sa conversion, même si je savais que je le verrais bientôt commettre la pire des trahisons et le plus grand des meurtres. Sachant que mon secrétaire me trahirait, j’ai sagement décidé de donner une copie de ces lettres à mon grand ami Giulio Colombi lors de sa dernière visite, ce qui m’a été accordé par un miracle de Dieu après de nombreuses supplications à mon secrétaire Gänswein.
Discrètement et sans éveiller de soupçons, j’ai rapidement expliqué à Giulio ce qui se passait et je lui ai demandé de publier ces documents après ma mort imminente et d’en donner une copie à chaque membre du Collège des cardinaux, afin qu’ils puissent à leur tour prendre les bonnes décisions et convoquer un conclave légal après ma mort.
Motivé par cet acte de confiance que j’ai fait à mon secrétaire, il a secrètement et perfidement tout communiqué à François, les lettres et l’encyclique, l’encyclique Marie Corédemptrice, que j’avais écrite et dans laquelle je proclamais dogmatiquement la co-rédemption de la Mère de Dieu. Sans qu’il s’en aperçoive, et grâce au volume de son téléphone, j’ai pu entendre François donner l’ordre de tout brûler, et il a ajouté : « Nous ne devons rien laisser qui puisse être compromettant », ce à quoi il a répondu : « Je le ferai », et il a raccroché. Il ne savait pas que j’avais tout entendu. (Cependant, Giulio Colombí est mort le 1er janvier 2023, le lendemain de la mort de Benoît, ndlr). Sachant la trahison de mon secrétaire Georg Gänswein et comme dernière chance pour lui de se justifier devant Dieu, je lui ai explicitement recommandé l’encyclique que j’ai écrite le 25 mars 2022. Le 25 mars 2022, après trois ans, jour et nuit, dans une profonde prière et en demandant à Dieu d’éclairer son serviteur de son Esprit Saint, j’ai déclaré solennellement et dogmatiquement le rôle, en connaissant la documentation complète et précise qui se trouve dans les archives et qui accompagne ce nouveau dogme marial, révélé par la Bienheureuse Vierge Marie comme Mère spirituelle de tous les peuples, parmi ses trois aspects principaux de Corédemptrice, Médiatrice et Avocate, qui lui permettent d’exercer pleinement sa maternité spirituelle, don qui lui a été fait par son Fils Jésus-Christ sur la croix pour toute l’humanité de tous les temps.
L’encyclique affirme : « La Bienheureuse Vierge Marie est notre Mère dans l’ordre de la grâce, Corédemptrice, Médiatrice et Avocate, dont la maternité est universelle et s’adresse à tous les peuples et à toutes les races depuis la création du monde, en commençant par le salut accompli par son Fils Jésus-Christ. Face à la crise sans précédent de la foi, de la famille, de la société et de la paix qui caractérise l’état actuel de l’humanité, l’intercession de la Mère de Dieu est aujourd’hui plus urgente que jamais.
Je suis convaincu que cette définition papale de la maternité spirituelle de la Bienheureuse Vierge Marie sera un remède extraordinaire à la crise mondiale actuelle qui menace l’humanité », et je l’ai signée : Benoît PP. XVI, Pasteur des bergers.
Lorsque j’ai terminé la rédaction de cette encyclique, j’ai reçu un signe du ciel. Au fond de moi, j’étais sûr que ma carrière était terminée. C’était la dernière chose que je ferais en tant que pape et, à partir de ce moment, le compte à rebours avait commencé. Je me suis senti à ce moment-là comme l’Oméga qui mettait fin à un cycle dans l’Église et commençait une nouvelle et forte persécution de la foi.
Ce dernier matin, je n’arrivais pas à dormir, je respirais difficilement, mes nuits blanches devenaient de plus en plus longues. Mais j’étais conscient que le Seigneur contrôlait la situation. Mon état d’esprit n’était pas des meilleurs, je me sentais fatigué et très accablé par tout ce que je savais se passer, avec la confession de François qui me tourmentait jour et nuit, et dont je ne pouvais pas parler étant donné ma situation, et surtout le sceau de la confession, qui est inviolable. Cela me tourmentait de provoquer un scandale sans précédent. Ma communication avec le monde était voilée, c’était comme un cri silencieux dans ma longue et douloureuse agonie.
Puis vint le moment où mon secrétaire Gänswein entra au petit matin. Il pensait que je dormais, car j’avais passé plusieurs longues nuits. Il était convaincu qu’il m’avait trompé pendant toutes ces années où nous avions été contraints de vivre ensemble. À sa grande surprise, j’étais réveillé. J’ai prié le chapelet à ma bonne et chère Mère, ma compagne dans cet exil, Marie la Corédemptrice. Quelle meilleure compagne que celle qui a toujours été fidèle à son Fils Jésus-Christ et qui s’est tenue au pied de la croix ?
Georg s’est approché de moi et m’a dit : « Votre Sainteté, vous ne pouvez pas dormir ? Je dois vous donner ce médicament. » J’avais terminé et Dieu m’a fait savoir qu’il était temps de partir. Je l’ai alors regardé dans les yeux. Il m’a regardé et a immédiatement détourné les yeux. Son regard était froid, comme celui d’un cadavre.
J’ai repris courage et je lui ai dit : « Georg, as-tu déjà pensé à ta mort ? Il m’a répondu : « Non, Votre Sainteté ». J’ai dit : « Tu devrais le faire et examiner souvent ta conscience, c’est très sain pour l’âme, la vie est très courte et un jour tu devras répondre de ta vie devant Dieu. Il m’a dit : « Votre Sainteté, pourquoi ces mots ? D’un ton très bas et avec beaucoup de difficultés à respirer, je lui ai répondu : « Gänswein, tu es avec moi depuis longtemps et tu ne me connais pas encore ? Ce que tu dois faire, fais-le maintenant et sans plus attendre, mais souviens-toi qu’un jour tu devras rendre des comptes à Dieu, ne l’oublie pas », et nous nous sommes regardés en silence.
Mon secrétaire a alors été surpris et a réalisé que j’avais dévoilé sa tromperie et que c’était lui qui avait été trompé. Il m’a alors fait la piqûre et m’a dit à l’oreille : « il est temps de mettre fin à cette farce ». J’étais prêt et j’ai prié, et contrairement à son souhait, j’ai eu la paix, cette paix que seul Dieu peut donner à l’âme, et je lui ai murmuré : « Je te pardonne tout de tout mon cœur », et dans mon agonie, mes derniers mots ont été : « Seigneur, je t’aime ». Et je me suis endormi comme quelqu’un qui s’endort dans les bras de sa mère.
Tout au long de mon douloureux pontificat, c’est-à-dire pendant les huit années de ma charge active et les presque dix années de ma charge contemplative, j’ai été soumis à des critiques sévères et à des humiliations. Toute ma vie, j’ai été impitoyablement ridiculisé en public, mais l’humiliation la plus douloureuse, je l’ai vécue lorsque je suis venu à Berlin et que les évêques et les cardinaux allemands ont refusé de m’accueillir. L’autre humiliation, la plus grande, a été celle de mes bourreaux le jour de mes funérailles. Lorsque j’ai accepté le ministère de Pierre, le 19 avril 2005, j’avais cette ferme certitude qui m’a toujours accompagné, la certitude de la vie de l’Église à travers la Parole de Dieu.
À ce moment-là, comme en d’autres occasions, j’ai pris la parole publiquement. Les mots qui résonnaient dans mon cœur étaient les suivants : « Seigneur, pourquoi veux-tu cela de moi et qu’attends-tu de moi ? C’est un lourd fardeau que Tu as placé sur mes épaules, mais si Tu me le demandes par Ta parole, je jetterai mes filets, confiant que Tu me guideras malgré toutes mes faiblesses ».
À la fin de ma vie, je peux dire que le Seigneur m’a vraiment guidé, qu’il était proche de moi, que je sentais sa présence chaque jour, que j’ai eu des moments de joie et de lumière, mais aussi des moments qui n’étaient pas faciles. Je me suis senti comme Pierre avec les apôtres dans la barque sur la mer de Galilée. Le Seigneur nous a donné de nombreux jours de soleil et de brise légère, des jours où la pêche était abondante, mais il y a eu aussi des moments où l’eau était agitée et le vent capricieux, comme dans toute l’histoire de l’Église, et le Seigneur semblait endormi. Mais j’ai toujours su que le Seigneur était dans cette barque, et j’ai toujours su que la barque de l’Église n’est pas la mienne, pas la nôtre, mais la sienne, et le Seigneur ne la fait pas couler, c’est Lui qui la guide, certainement aussi par les personnes qu’il a choisies parce qu’il l’a voulu ainsi. C’était et c’est une certitude que rien ni personne ne peut troubler, et c’est pourquoi mon cœur est aujourd’hui plein de gratitude envers Dieu, parce qu’il n’a jamais laissé toute l’Église ni moi sans son réconfort, sa lumière et son amour.
J’ai aimé chacun de vous, sans distinction, avec cet amour pastoral qui est le cœur de tout pasteur, en particulier de l’évêque de Rome, successeur de l’apôtre Pierre, chaque jour. J’ai porté chacun d’entre vous dans la prière avec le cœur d’un père. Je veux que mon salut et mon action de grâce parviennent à tous. Je veux que mon cœur s’élargisse au monde entier. Aujourd’hui, au terme de ma carrière, je peux vous assurer que le pape n’est jamais seul. Le Seigneur a toujours été avec moi. Il a travaillé avec moi. Il s’est reposé avec moi. Il s’est réjoui avec moi des pêches abondantes. Et il a pleuré avec moi. Tout cela, mon cœur l’a vécu pendant mon pontificat, jusqu’au dernier jour de ma mort. Mon oui était un abandon total à Dieu et à son œuvre de rédemption. C’était un oui pour toujours dans le Cœur Immaculé de Marie. Je n’ai jamais quitté la croix, comme beaucoup l’ont prétendu, mais je suis resté aux côtés du Seigneur crucifié d’une manière nouvelle, fermement avec Marie au pied de la croix de mon Seigneur. Je voudrais maintenant vous demander une dernière faveur.
« J’écoute, Votre Sainteté », a répondu Sœur Benedicta.
Je veux que vous la publiiez dans les médias sans omettre un détail, comme je l’ai écrit, parce que tout est d’une grande importance pour l’Église. N’ayez pas peur, je comprends que c’est une mission délicate que je vous demande. Puis-je vous faire confiance ?
Et la sœur lui répond : Votre Sainteté, bien sûr que vous pouvez compter sur moi, je serai votre secrétaire, si vous me le permettez. Et il lui dit : « Faites-le et n’ayez pas peur des éventuelles représailles que cette lettre pourrait provoquer. Je veux qu’elle parvienne à la Curie vaticane, à tous les membres du Collège des cardinaux.
Saint Père, puis-je vous poser une question ? » dit la sœur, et il répond : « Je vous écoute »
« Après votre mort, un testament spirituel a été publié, vraisemblablement le vôtre. Est-il vrai que c’est le vôtre ? » Le pape Benoît a répondu :
En ce qui concerne mon testament spirituel, je vous dirai qu’il a été publié sous une forme incomplète. Chaque pape est libre de rédiger un testament spirituel. J’ai voulu l’écrire en deux parties. J’ai décidé de le faire parce que j’étais dans une situation difficile à l’époque et surtout parce qu’il y avait un risque de schisme au sein de l’Église.
La situation était si compliquée que je risquais même d’être enfermé dans une véritable prison si je n’accédais pas à leurs demandes – la pression venait clairement des États-Unis et du gouvernement chinois.
C’est la raison pour laquelle je n’ai pas pu rédiger un testament complet et que j’ai envisagé de l’écrire en deux parties. J’ai appelé la partie qui a été publiée Alpha, tandis que j’ai appelé la deuxième partie du testament Oméga. Cette seconde partie a été brûlée avec les lettres et l’encyclique que j’avais écrites. Cette deuxième partie est celle que je viens de vous dicter. C’est pourquoi ce document est très important et il est important que vous le mettiez en lumière. Cette tâche requiert votre courage.
« Je comprends, Votre Sainteté, dit la sœur.
Quant à mon secrétaire [Gänswein], je vous dirai qu’il m’a encore utilisé à son avantage. Je me réfère également au livre qu’il a publié à compte d’auteur. Beaucoup de ses confessions ont été adaptées. Il essaie simplement de divertir sans dire ce qu’il devrait dire. Mais cela n’a plus d’importance. Le vrai témoignage, et plus qu’un témoignage, est ce document que je viens de vous dicter et que je laisse par écrit grâce à vous qui avez été le secrétaire du Seigneur et qui êtes maintenant le mien. Avant de conclure, je veux adresser un message de foi à toutes les communautés religieuses à travers votre communauté. En ce jour, je vous invite, vous qui participez à la vie et à la mission de l’Église dans le monde, à nourrir avant tout une foi capable d’illuminer votre vocation, afin que votre vie soit un signe évangélique de contradiction pour un monde qui s’éloigne de plus en plus de Dieu et de son amour. Un monde qui veut vivre sans Dieu est un monde sans espérance.
Revêtez, tendres enfants, Jésus-Christ et portez les armes de la lumière, comme le recommande l’apôtre Paul, et restez éveillés et vigilants. Rappelez-vous toujours que la joie de la vie consacrée va nécessairement de pair avec la participation à la croix du Christ. Il en a été de même pour Marie Corédemptrice. En cette fête des Lumières, je souhaite que la Bonne Nouvelle qui est en vous soit vécue, témoignée et proclamée et qu’elle brille comme une parole de vérité. Vous êtes le paratonnerre de l’Église et vous vous tenez fermement au pied de la croix avec Marie, la Mère de Dieu. Dites à tout le monde que je suis avec Dieu. Je pars, mais je reste aussi et j’accompagne l’Église dans sa purification jusqu’au Calvaire, afin qu’elle soit parée de la même gloire que l’Époux.
Chers amis, Dieu conduit son Église, il la soutient toujours et surtout dans les moments difficiles. Ne perdez jamais cette vision de foi qui est la seule vraie vision du chemin de l’Église et du monde. Qu’il y ait toujours dans le cœur de chacun d’entre vous la joyeuse certitude que le Seigneur est avec nous. Il ne nous décevra pas. Il est proche de nous et nous remplit de son amour. J’invoque pour toute l’Église la protection éternelle de Marie, la Corédemptrice, et des apôtres Pierre et Paul, et j’accorde avec amour à tous les enfants de Dieu la bénédiction apostolique : Pater et Filius et Spiritus Sanctus. Amen.
Votre Sainteté, dit Sœur Benedict, et maintenant votre signature. Il a dit : « Écrivez :
Benoît PP. XVI »Sous le sceau de la confession et dans son habituelle attitude flatteuse de fausse fraternité, Bergoglio, ou plutôt François, m’a dit sur un ton moqueur et à sa manière très cynique et impitoyable qu’il aimait avoir l’Église entre ses mains, qu’il la détruirait complètement et enterrerait l’Eucharistie pour toujours. Il a dit : « Je vais effacer votre Dieu de la surface de la terre : J’ai de nombreux alliés pour m’aider, non seulement de l’intérieur, mais aussi de l’extérieur. La Curie est à genoux à mes pieds, et le Collège des cardinaux est un chien fidèle, comme vous le savez. Vous ne pouvez pas nier qu’ils sont fidèles, qu’ils obéissent, et il sourit malicieusement. « Je les ai amenés ici pour vous, et au cas où vous ne le sauriez pas, je vous le confirme. Considérez cela comme une faveur de ma part. Je ne suis pas aussi mauvais qu’on le dit. Il sourit à nouveau, cette fois-ci de manière glaciale.
Son regard m’effrayait, et l’avoir en face de moi, c’était comme voir Satan. Il m’a avoué que l’un de ses objectifs était de jeter de la boue sur la Mère de Dieu, d’éradiquer le dogme si possible et de piétiner l’Eucharistie. Il m’a dit qu’il allait éradiquer le rite extraordinaire d’un seul coup, ne laissant que le rite actuel avec ses nombreuses prophéties et sacrilèges. Finalement, le nouveau rite a été élaboré par un franc-maçon expert en liturgie, qui m’a avoué avoir ressenti de la joie lorsqu’il s’est rendu au Tepeyac et qu’il a insulté la Reine des Cieux face à face. Il parlait du Mexique. Puis il s’est réjoui de la pantomime qu’il a jouée avec une prétendue dévotion de la Russie et du monde au Cœur Immaculé de Marie. Il m’a dit, en s’approchant encore plus près et avec ironie : « Voulez-vous savoir qui j’ai invoqué pour l’image bien-aimée de Notre-Dame de Fatima ? Je lui ai répondu que ce n’était pas nécessaire. Il m’a dit qu’il me le dirait quand même parce qu’il savait que cela me ferait mal : J’ai invoqué le Roi des Ténèbres, tu comprends ? Je suis resté dans un silence complet, puis il a dit : « Oh grand-père, je reconnais que je me suis bien amusé, mais il est temps de mettre fin à cette farce. Les catholiques sont ignorants et sans cervelle, et il est bon qu’ils continuent ainsi, obéissants et soumis à tout ce qu’on leur dit. » Et il sourit à nouveau.
Il m’a avoué que c’était sa plus grande satisfaction de me voir souffrir. Il m’a dit qu’il aimait ça et que j’étais sa proie, qu’il avait ma vie entre ses mains, qu’il pouvait m’enfermer définitivement à tout moment, que ce n’était pas la première fois qu’il le faisait et que ça ne le dérangeait pas. Il m’a dit : « Savez-vous ce qu’est l’euthanasie ? Et il a souri, a secoué la tête et a dit avec un regard : « Tu as mal ? ». J’étais choqué par tout ce que je l’entendais dire, je ne pouvais pas croire à une telle méchanceté, dans son cœur il n’y avait que de la haine et de ses lèvres ne sortait que de l’horreur. Il m’a immédiatement dit : « Saint Père, ne vous inquiétez pas, vos souffrances seront bientôt abrégées, je vous le promets », et je l’ai regardé et lui ai répondu : Vous ne craignez pas Dieu. Il me dit : Je ne connais pas la peur, et il ajouta : Qu’est-ce que la peur ?
Je me suis dit : C’est le destructeur de l’Église, et il est clair qu’il était sous l’influence de Satan. Mes pensées se sont alors envolées vers Fatima et les larmes me sont montées aux yeux. J’étais sûr que mes jours étaient comptés et que le rideau de ma vie allait bientôt tomber.
La personne responsable de l’abrègement de ces jours était mon geôlier. Mon secrétaire Gänswein, apparemment loyal. Cette tâche lui avait été confiée et il devait l’accomplir sans laisser le moindre soupçon de meurtre. La veille de ma mort, mon secrétaire a reçu un coup de téléphone. C’était François, il a dit cette phrase : « C’est l’heure » et il a raccroché. Je l’avais entendu parce qu’il était près de moi et il pensait que je dormais. Je n’ai pas résisté à mon bourreau. J’ai attendu patiemment ma fin. Qu’aurais-je pu dire ou faire d’autre puisque j’étais complètement isolé et surveillé 24 heures sur 24, puisque ce sont eux qui étaient vraiment aux commandes au sein du Vatican et que ce sont eux, qui sont maintenant majoritaires grâce à François, qui ont manipulé l’information et publié une vérité qui a été modifiée et généreusement payée par le Vatican lui-même.
Ce n’est un secret pour personne qu’au cours de l’histoire, de nombreux papes ont été assassinés et empoisonnés par les mêmes cardinaux maçonniques qui avaient infiltré le gouvernement central. Une fois devenus secrétaires d’État, nombre de ces meurtres ont été qualifiés de mort naturelle ou de crise cardiaque et, pour dissiper tout soupçon, ils ont été canonisés. Pour ne citer qu’un exemple : les dossiers du pape Jean-Paul I et du grand Jean-Paul II, sur lequel ils avaient fait plusieurstentatives d’assassinat infructueuses, et qui a finalement été réduit au silence par une laryngectomie inutile et opportunément pratiquée. Enfin, je suis là, et je peux vous assurer qu’il y a plusieurs façons de tuer.
Son regard était un regard vers l’infini, celui de Benoît XVI. Je ne pouvais pas croire, dit sœur Benedicta, ce que j’entendais. J’ai ressenti une grande douleur dans mon cœur et une grande indignation, mais j’étais là, assise sur le bord du lit, dans le silence le plus complet, écrivant comme si j’étais la secrétaire du pape et me disant : « Quelle horreur, mon Dieu ! Quelle horreur, mon Dieu. Quelle bassesse. Le Saint-Père m’a alors regardé et m’a dit : « Sois forte et continue d’écrire, J’ai encore beaucoup à dire, tout cela fait déjà partie de l’histoire. Écris, ma fille.
J’ai dit : « Je vous écoute, Saint-Père », et il a continué :
En tant que pape, j’ai toujours porté la soutane blanche, espérant que le monde se rendrait compte que je n’avais jamais démissionné et que j’étais sous pression pour agir et prendre des décisions pour le bien de l’Église. Dans les rares conversations que je pouvais avoir, je m’exprimais toujours de manière voilée pour ne pas éveiller les soupçons de mes ennemis qui me surveillaient constamment, et je devais être très prudent. Mes ennemis étaient nombreux et avaient beaucoup de micros. Aujourd’hui, je jouis d’une grande paix, car Dieu est juste et il choisit toujours le bon moment. Nous vivons une époque où beaucoup pensent détenir et connaître la vérité. La vérité n’est qu’une : Le Christ, et à Lui seul nous devons toujours rester fidèles, même si cela nous coûte la vie, comme c’est le cas pour moi.
Le 8 décembre 2022, dans un geste de confiance et de bonne volonté, j’ai informé mon secrétaire que j’avais écrit plusieurs lettres et ma dernière encyclique Marie Corédemptrice, Médiatrice et Avocate. J’ai dit cela, fortement encouragé par mon prédécesseur, le grand Jean-Paul II, fidèle défenseur de Marie Corédemptrice au pied de la Croix. J’ai dit à mon secrétaire où ils se trouvaient. Sa surprise ne s’est pas fait attendre. Il m’a dit : Des lettres ?! et en même temps il m’a dit avec un sourire obligatoire qu’il me remerciait pour le vote de confiance. Je lui ai précisé que ces lettres étaient confidentielles et adressées principalement au gouvernement central, à la Curie du Vatican, à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et la Liturgie, au Collège des Cardinaux, aux Cardinaux Gerhard Ludwig Müller, Raymond Leo Burke, au Cardinal Zen, au Cardinal Robert Sarah, à la Fraternité sacerdotale Saint Pie X et Saint Pierre.
J’ai écrit une lettre aux prêtres et aux séminaristes pour les exhorter à toujours s’efforcer d’être des prêtres exemplaires, animés par une prière constante et intense, cultivant la chasteté et l’intimité avec le Christ, et j’ai souligné que le prêtre doit être conforme au cœur du Christ et que ce n’est qu’ainsi que le sacerdoce peut être réussi et porter des fruits apostoliques, et je leur ai conseillé de ne jamais se laisser séduire par la logique de la carrière et du pouvoir – des mots que j’ai souvent dits aux prêtres et aux séminaristes. Enfin, je les ai exhortés à ne pas commettre l’erreur de prendre la communion en main et de faire pénitence selon la demande de Notre Dame.
J’ai également écrit des lettres aux instituts de vie consacrée, aux journalistes du monde entier et à mon grand ami, le théologien Giulio Colombi. Enfin, j’ai adressé une lettre ouverte au peuple de Dieu. J’ai insisté auprès de Georg pour que ces lettres soient publiées trois jours après ma mort, et il m’a donné sa parole.
Dans ma tâche d’imiter le Christ, qui a eu avec lui jusqu’à la fin le traître et perfide Judas Iscariote, image des traîtres que l’on verrait dans mon Église, j’avais aussi Georg, à qui j’ai témoigné jusqu’au dernier moment une affection, une confiance et une patience sincères, désirant le bien-être de son âme et sa conversion, même si je savais que je le verrais bientôt commettre la pire des trahisons et le plus grand des meurtres. Sachant que mon secrétaire me trahirait, j’ai sagement décidé de donner une copie de ces lettres à mon grand ami Giulio Colombi lors de sa dernière visite, ce qui m’a été accordé par un miracle de Dieu après de nombreuses supplications à mon secrétaire Gänswein.
Discrètement et sans éveiller de soupçons, j’ai rapidement expliqué à Giulio ce qui se passait et je lui ai demandé de publier ces documents après ma mort imminente et d’en donner une copie à chaque membre du Collège des cardinaux, afin qu’ils puissent à leur tour prendre les bonnes décisions et convoquer un conclave légal après ma mort.
Motivé par cet acte de confiance que j’ai fait à mon secrétaire, il a secrètement et perfidement tout communiqué à François, les lettres et l’encyclique, l’encyclique Marie Corédemptrice, que j’avais écrite et dans laquelle je proclamais dogmatiquement la co-rédemption de la Mère de Dieu. Sans qu’il s’en aperçoive, et grâce au volume de son téléphone, j’ai pu entendre François donner l’ordre de tout brûler, et il a ajouté : « Nous ne devons rien laisser qui puisse être compromettant », ce à quoi il a répondu : « Je le ferai », et il a raccroché. Il ne savait pas que j’avais tout entendu. (Cependant, Giulio Colombí est mort le 1er janvier 2023, le lendemain de la mort de Benoît, ndlr). Sachant la trahison de mon secrétaire Georg Gänswein et comme dernière chance pour lui de se justifier devant Dieu, je lui ai explicitement recommandé l’encyclique que j’ai écrite le 25 mars 2022. Le 25 mars 2022, après trois ans, jour et nuit, dans une profonde prière et en demandant à Dieu d’éclairer son serviteur de son Esprit Saint, j’ai déclaré solennellement et dogmatiquement le rôle, en connaissant la documentation complète et précise qui se trouve dans les archives et qui accompagne ce nouveau dogme marial, révélé par la Bienheureuse Vierge Marie comme Mère spirituelle de tous les peuples, parmi ses trois aspects principaux de Corédemptrice, Médiatrice et Avocate, qui lui permettent d’exercer pleinement sa maternité spirituelle, don qui lui a été fait par son Fils Jésus-Christ sur la croix pour toute l’humanité de tous les temps.
L’encyclique affirme : « La Bienheureuse Vierge Marie est notre Mère dans l’ordre de la grâce, Corédemptrice, Médiatrice et Avocate, dont la maternité est universelle et s’adresse à tous les peuples et à toutes les races depuis la création du monde, en commençant par le salut accompli par son Fils Jésus-Christ. Face à la crise sans précédent de la foi, de la famille, de la société et de la paix qui caractérise l’état actuel de l’humanité, l’intercession de la Mère de Dieu est aujourd’hui plus urgente que jamais.
Je suis convaincu que cette définition papale de la maternité spirituelle de la Bienheureuse Vierge Marie sera un remède extraordinaire à la crise mondiale actuelle qui menace l’humanité », et je l’ai signée : Benoît PP. XVI, Pasteur des bergers.
Lorsque j’ai terminé la rédaction de cette encyclique, j’ai reçu un signe du ciel. Au fond de moi, j’étais sûr que ma carrière était terminée. C’était la dernière chose que je ferais en tant que pape et, à partir de ce moment, le compte à rebours avait commencé. Je me suis senti à ce moment-là comme l’Oméga qui mettait fin à un cycle dans l’Église et commençait une nouvelle et forte persécution de la foi.
Ce dernier matin, je n’arrivais pas à dormir, je respirais difficilement, mes nuits blanches devenaient de plus en plus longues. Mais j’étais conscient que le Seigneur contrôlait la situation. Mon état d’esprit n’était pas des meilleurs, je me sentais fatigué et très accablé par tout ce que je savais se passer, avec la confession de François qui me tourmentait jour et nuit, et dont je ne pouvais pas parler étant donné ma situation, et surtout le sceau de la confession, qui est inviolable. Cela me tourmentait de provoquer un scandale sans précédent. Ma communication avec le monde était voilée, c’était comme un cri silencieux dans ma longue et douloureuse agonie.
Puis vint le moment où mon secrétaire Gänswein entra au petit matin. Il pensait que je dormais, car j’avais passé plusieurs longues nuits. Il était convaincu qu’il m’avait trompé pendant toutes ces années où nous avions été contraints de vivre ensemble. À sa grande surprise, j’étais réveillé. J’ai prié le chapelet à ma bonne et chère Mère, ma compagne dans cet exil, Marie la Corédemptrice. Quelle meilleure compagne que celle qui a toujours été fidèle à son Fils Jésus-Christ et qui s’est tenue au pied de la croix ?
Georg s’est approché de moi et m’a dit : « Votre Sainteté, vous ne pouvez pas dormir ? Je dois vous donner ce médicament. » J’avais terminé et Dieu m’a fait savoir qu’il était temps de partir. Je l’ai alors regardé dans les yeux. Il m’a regardé et a immédiatement détourné les yeux. Son regard était froid, comme celui d’un cadavre.
J’ai repris courage et je lui ai dit : « Georg, as-tu déjà pensé à ta mort ? Il m’a répondu : « Non, Votre Sainteté ». J’ai dit : « Tu devrais le faire et examiner souvent ta conscience, c’est très sain pour l’âme, la vie est très courte et un jour tu devras répondre de ta vie devant Dieu. Il m’a dit : « Votre Sainteté, pourquoi ces mots ? D’un ton très bas et avec beaucoup de difficultés à respirer, je lui ai répondu : « Gänswein, tu es avec moi depuis longtemps et tu ne me connais pas encore ? Ce que tu dois faire, fais-le maintenant et sans plus attendre, mais souviens-toi qu’un jour tu devras rendre des comptes à Dieu, ne l’oublie pas », et nous nous sommes regardés en silence.
Mon secrétaire a alors été surpris et a réalisé que j’avais dévoilé sa tromperie et que c’était lui qui avait été trompé. Il m’a alors fait la piqûre et m’a dit à l’oreille : « il est temps de mettre fin à cette farce ». J’étais prêt et j’ai prié, et contrairement à son souhait, j’ai eu la paix, cette paix que seul Dieu peut donner à l’âme, et je lui ai murmuré : « Je te pardonne tout de tout mon cœur », et dans mon agonie, mes derniers mots ont été : « Seigneur, je t’aime ». Et je me suis endormi comme quelqu’un qui s’endort dans les bras de sa mère.
Tout au long de mon douloureux pontificat, c’est-à-dire pendant les huit années de ma charge active et les presque dix années de ma charge contemplative, j’ai été soumis à des critiques sévères et à des humiliations. Toute ma vie, j’ai été impitoyablement ridiculisé en public, mais l’humiliation la plus douloureuse, je l’ai vécue lorsque je suis venu à Berlin et que les évêques et les cardinaux allemands ont refusé de m’accueillir. L’autre humiliation, la plus grande, a été celle de mes bourreaux le jour de mes funérailles. Lorsque j’ai accepté le ministère de Pierre, le 19 avril 2005, j’avais cette ferme certitude qui m’a toujours accompagné, la certitude de la vie de l’Église à travers la Parole de Dieu.
À ce moment-là, comme en d’autres occasions, j’ai pris la parole publiquement. Les mots qui résonnaient dans mon cœur étaient les suivants : « Seigneur, pourquoi veux-tu cela de moi et qu’attends-tu de moi ? C’est un lourd fardeau que Tu as placé sur mes épaules, mais si Tu me le demandes par Ta parole, je jetterai mes filets, confiant que Tu me guideras malgré toutes mes faiblesses ».
À la fin de ma vie, je peux dire que le Seigneur m’a vraiment guidé, qu’il était proche de moi, que je sentais sa présence chaque jour, que j’ai eu des moments de joie et de lumière, mais aussi des moments qui n’étaient pas faciles. Je me suis senti comme Pierre avec les apôtres dans la barque sur la mer de Galilée. Le Seigneur nous a donné de nombreux jours de soleil et de brise légère, des jours où la pêche était abondante, mais il y a eu aussi des moments où l’eau était agitée et le vent capricieux, comme dans toute l’histoire de l’Église, et le Seigneur semblait endormi. Mais j’ai toujours su que le Seigneur était dans cette barque, et j’ai toujours su que la barque de l’Église n’est pas la mienne, pas la nôtre, mais la sienne, et le Seigneur ne la fait pas couler, c’est Lui qui la guide, certainement aussi par les personnes qu’il a choisies parce qu’il l’a voulu ainsi. C’était et c’est une certitude que rien ni personne ne peut troubler, et c’est pourquoi mon cœur est aujourd’hui plein de gratitude envers Dieu, parce qu’il n’a jamais laissé toute l’Église ni moi sans son réconfort, sa lumière et son amour.
J’ai aimé chacun de vous, sans distinction, avec cet amour pastoral qui est le cœur de tout pasteur, en particulier de l’évêque de Rome, successeur de l’apôtre Pierre, chaque jour. J’ai porté chacun d’entre vous dans la prière avec le cœur d’un père. Je veux que mon salut et mon action de grâce parviennent à tous. Je veux que mon cœur s’élargisse au monde entier. Aujourd’hui, au terme de ma carrière, je peux vous assurer que le pape n’est jamais seul. Le Seigneur a toujours été avec moi. Il a travaillé avec moi. Il s’est reposé avec moi. Il s’est réjoui avec moi des pêches abondantes. Et il a pleuré avec moi. Tout cela, mon cœur l’a vécu pendant mon pontificat, jusqu’au dernier jour de ma mort. Mon oui était un abandon total à Dieu et à son œuvre de rédemption. C’était un oui pour toujours dans le Cœur Immaculé de Marie. Je n’ai jamais quitté la croix, comme beaucoup l’ont prétendu, mais je suis resté aux côtés du Seigneur crucifié d’une manière nouvelle, fermement avec Marie au pied de la croix de mon Seigneur. Je voudrais maintenant vous demander une dernière faveur.
« J’écoute, Votre Sainteté », a répondu Sœur Benedicta.
Je veux que vous la publiiez dans les médias sans omettre un détail, comme je l’ai écrit, parce que tout est d’une grande importance pour l’Église. N’ayez pas peur, je comprends que c’est une mission délicate que je vous demande. Puis-je vous faire confiance ?
Et la sœur lui répond : Votre Sainteté, bien sûr que vous pouvez compter sur moi, je serai votre secrétaire, si vous me le permettez. Et il lui dit : « Faites-le et n’ayez pas peur des éventuelles représailles que cette lettre pourrait provoquer. Je veux qu’elle parvienne à la Curie vaticane, à tous les membres du Collège des cardinaux.
Saint Père, puis-je vous poser une question ? » dit la sœur, et il répond : « Je vous écoute »
« Après votre mort, un testament spirituel a été publié, vraisemblablement le vôtre. Est-il vrai que c’est le vôtre ? » Le pape Benoît a répondu :
En ce qui concerne mon testament spirituel, je vous dirai qu’il a été publié sous une forme incomplète. Chaque pape est libre de rédiger un testament spirituel. J’ai voulu l’écrire en deux parties. J’ai décidé de le faire parce que j’étais dans une situation difficile à l’époque et surtout parce qu’il y avait un risque de schisme au sein de l’Église.
La situation était si compliquée que je risquais même d’être enfermé dans une véritable prison si je n’accédais pas à leurs demandes – la pression venait clairement des États-Unis et du gouvernement chinois.
C’est la raison pour laquelle je n’ai pas pu rédiger un testament complet et que j’ai envisagé de l’écrire en deux parties. J’ai appelé la partie qui a été publiée Alpha, tandis que j’ai appelé la deuxième partie du testament Oméga. Cette seconde partie a été brûlée avec les lettres et l’encyclique que j’avais écrites. Cette deuxième partie est celle que je viens de vous dicter. C’est pourquoi ce document est très important et il est important que vous le mettiez en lumière. Cette tâche requiert votre courage.
« Je comprends, Votre Sainteté, dit la sœur.
Quant à mon secrétaire [Gänswein], je vous dirai qu’il m’a encore utilisé à son avantage. Je me réfère également au livre qu’il a publié à compte d’auteur. Beaucoup de ses confessions ont été adaptées. Il essaie simplement de divertir sans dire ce qu’il devrait dire. Mais cela n’a plus d’importance. Le vrai témoignage, et plus qu’un témoignage, est ce document que je viens de vous dicter et que je laisse par écrit grâce à vous qui avez été le secrétaire du Seigneur et qui êtes maintenant le mien. Avant de conclure, je veux adresser un message de foi à toutes les communautés religieuses à travers votre communauté. En ce jour, je vous invite, vous qui participez à la vie et à la mission de l’Église dans le monde, à nourrir avant tout une foi capable d’illuminer votre vocation, afin que votre vie soit un signe évangélique de contradiction pour un monde qui s’éloigne de plus en plus de Dieu et de son amour. Un monde qui veut vivre sans Dieu est un monde sans espérance.
Revêtez, tendres enfants, Jésus-Christ et portez les armes de la lumière, comme le recommande l’apôtre Paul, et restez éveillés et vigilants. Rappelez-vous toujours que la joie de la vie consacrée va nécessairement de pair avec la participation à la croix du Christ. Il en a été de même pour Marie Corédemptrice. En cette fête des Lumières, je souhaite que la Bonne Nouvelle qui est en vous soit vécue, témoignée et proclamée et qu’elle brille comme une parole de vérité. Vous êtes le paratonnerre de l’Église et vous vous tenez fermement au pied de la croix avec Marie, la Mère de Dieu. Dites à tout le monde que je suis avec Dieu. Je pars, mais je reste aussi et j’accompagne l’Église dans sa purification jusqu’au Calvaire, afin qu’elle soit parée de la même gloire que l’Époux.
Chers amis, Dieu conduit son Église, il la soutient toujours et surtout dans les moments difficiles. Ne perdez jamais cette vision de foi qui est la seule vraie vision du chemin de l’Église et du monde. Qu’il y ait toujours dans le cœur de chacun d’entre vous la joyeuse certitude que le Seigneur est avec nous. Il ne nous décevra pas. Il est proche de nous et nous remplit de son amour. J’invoque pour toute l’Église la protection éternelle de Marie, la Corédemptrice, et des apôtres Pierre et Paul, et j’accorde avec amour à tous les enfants de Dieu la bénédiction apostolique : Pater et Filius et Spiritus Sanctus. Amen.
Votre Sainteté, dit Sœur Benedict, et maintenant votre signature. Il a dit : « Écrivez :
Benoît PP. XVI »
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Ven 14 Juin - 13:37
le webmaster :
J'AI ETE PARTICULIEREMENT CONTRARIEE PENDANT LE COPIER-COLLER DU MESSAGE DE BENOITXVI A Sœur Benedicta de la Sainte-Croix DE COLOMBIE LE 2 FEVRIER 2023 !!!
MESSAGE PUISSANT QUE PEU CONNAISSENT... HELAS...
*****************************************
SI JE CONTINUE DE POSTER ICI LES INFOS QUE M'ENVOI NOTRE AMI ROGER AUBERT DU FRANKENBOURG... C'EST QUE, VU QUE POUR MON INTUITION PERSONNELLE... LE FRANKENBOURG RESTE A JAMAIS LE PHARE DE LA FRANCE POUR SON CHEMIN ROYAL ... UN PHARE QUI BRILLE AU DELA DU TEMPS ET DE L'ESPACE ... UN PHARE EN VEILLEUSE... MAIS QUI NE VA PAS TARDER A SE RALLUMER !!!
LE 7 JUILLET 2024 EST UNE DATE MAJEURE POUR LE MONDE ENTIER PAR LE FRANKENBOURG !
VOYONS QUAND MEME CE QUE NOUS DIT NOTRE HOMME... ( Steigler...)...
flêche rouge : la petite fille du marquis de la FRANQUERIE...
Chers Amis,
Dernière minute :
La France entre-t-elle dans les événements prédits par Marie-Julie, 3 mois après le vote de la loi infâme le 8 mars 2024 , l'avortement-infanticide inscrit dans la constitution ?.
La dissolution de l'Assemblée nationale a été décidée par Micron 3 mois exactement après sa loi sur l'avortement dans la constitution.
La 5ème république est sur sa fin !
Mais attention à la suite, prions pour que Saint-Denis ne mette pas le feu à Paris vers le 29 juin (Marie Julie)...
Soyez prêts à quitter Paris et les grandes villes, quand les islamistes allumeront la révolution.
Une guerre civile est annoncée durant quatre semaines à partir de la Saint Pierre et Saint Paul, le 29 Juin.
EN 2024 ? Nous le saurons dans 3 semaines.
La gauche tout pour empêcher le RN de parvenir légitimement au pouvoir....
L'heure est à la prière plus que jamais pour diminuer l'épreuve...
Les jeux olympiques ? Auront-ils lieu ? Est-ce la grande fête annoncée durant laquelle Paris brulerait ?
Toutefois, l'avertissement de Garabandal, dont seule Marie Loli connaissait l'année de réalisation, ne devrait arriver que lorsque la Russie occuperait les 3/4 de l'Europe, sous un gouvernement communiste.
Ce n'est pas le cas, et cela ne se fera pas avec Poutine qui a rétabli partout la présence de l'Eglise en Russie (16000 églises construites en 20 ans).
De plus, le grand miracle de Garabandal doit convertir la Russie et la Chine, arriverait moins d'un an après l'Avertissement, selon les révélations de la TS Vierge, un Jeudi entre le 7 et le 17 entre mars et mai à 8h30,le jour d'un martyr de l'Eucharistie.
Ce sera la 7e apparition de la Vierge suite aux 6 apparitions de Fatima, où sa dernière parole à Soeur Lucie fut "Au revoir à San Sebastian".
Or Garabandal s'appelle San Sebastian de Garabandal, si l'on s'en réfère à une conversation de Conchita avec le Père Morales, ce serait en Avril, car ni un mois où une fête du Christ est célébrée, Juin, le Sacré-Coeur, ni un mois de Marie donc mai.
Il reste Avril, et peut-être la date du 13 Avril 2028 ou du 13 mai 2027. D'ici là le gouvernement russe peut changer, l'économie s'effondrer dans l'anarchie, et une guerre avec l'Iran bloquer le pétrole...
Pour que les français acceptent un régime chrétien avec un roi, il faut bien que l'échec de la république soit patent, y compris avec le RN ou l'extrême gauche...
Lisez les prophéties de La Fraudais, Marie Julie n'a rien inventé, à l'inverse de tous les pseudo-mystiques qui abondent. Dieu seul connaît le jour et l'heure.
VATICAN :
Le 17 mai 2024, le cardinal Fernandez, préfet de la Congrégation de la Foi, a publié de nouvelles règles pour discerner le caractère surnaturel des apparitions. Désormais la décision finale appartient à Rome et non pas aux évêques. Déjà en 1528, le Pape Léon X avait décidé que devant les prophéties concernant la conduite de l'Eglise, "SEUL LE PAPE est JUGE".
Plusieurs milliers d'apparitions mariales sont recensées dans le monde , mais une douzaine reconnues par l'Eglise.
Les apparitions du Christ seul, sont rarissimes :
Celle de Paray le Monial destinée à faire consacrer le royaume de France par Louis XIV. Le roi induit en erreur, ne changea pas ses armes par le Sacré Coeur. Louis XVI voulut faire la consécration de la France, mais seulement quand il fut prisonnier au Temple, il était trop tard, il n'était plus reconnu roi de France par la Convention...
A Kérizinen, la semaine eucharistique fut un enseignement sublime du Christ sur le Saint-Sacrement, mais les théologiens furent paralysés par l'annonce prophétique d'un roi. Cela les horrifiait. Ils préféraient le socialo-rationalisme à l'époque, ce qui nous a conduit à une certaine protestantisation des esprits...
A Dozulé, malgré l'intervention du Pape Jean Paul II demandant à l'ex-évêque de Bayeux Lisieux, Monseigneur Badré, de faire une enquête canonique, rien ne fut fait dans les règles.
Mgr Badré fit en 1985 une petite enquête diocésaine avec ses amis, acquis à ses convictions.
Ni la Voyante Madeleine , ni aucun des 37 témoins ne furent interrogés. Aucune étude du message recueilli en 50 procés-verbaux ne fut réalisée, bien que 117 citations de l'Ecriture et 19 citations en Latin de la liturgie furent relevées. Seul le théologien laïc Gérard Cordonnier, polytechnicien, ami de Jean Guitton, vint pendant 9 mois à Dozulé à la demande de Mgr Badré.
Son rapport fut si positif que l'évêque lui retira le dossier.
Le plus important message divin depuis 2000 ans fut traité "d'invention de gogos fanatiques" par Mgr Pican!
Lequel fut condamné à trois mois de prison avec sursis pour" avoir caché la vérité" dans une affaire de moeurs.. Il ne comprit pas la leçon. Exactement comme il y a 2000 ans...
Alors que le Christ n'apparut qu'à la place du Saint-Sacrement, et que Madeleine répétait ses paroles en état extatique, en présence du curé l'Abbé L'Horset, et des religieuse de l'école Saint Joseph de Dozulé... 50 procés-verbaux furent rédigés datés et signés par les membres du clergé !
Les Juifs n'étaient-ils pas moins coupables il y a 2000 ans ?
L'Eglise condamnerait le Christ exactement de la même façon s'Il revenait et guérissait, remettait les péchés et annonçait Son Retour en Gloire ! On ne le reconnaitrait pas plus vivant en chair et en os, que dans Ses Apparitions à la place du Saint-Sacrement ! Rien n'a changé dans cette humanité en pleine décadence.
*****
Vatican News
"Le document du dicastère pour la Doctrine de la foi met à jour les normes pour le discernement des phénomènes surnaturels présumés.
Publié ce vendredi 17 mai, il entrera en vigueur le dimanche 19, en la fête de la Pentecôte. Le texte est précédé d'une présentation articulée du cardinal préfet Víctor Manuel Fernández, suivie d'une introduction identifiant six conclusions distinctes.
Il sera possible de se prononcer plus rapidement sur la dévotion populaire et, en règle générale, l'autorité de l'Église ne sera plus engagée dans la définition officielle du caractère surnaturel d'un phénomène dont l'étude approfondie peut prendre beaucoup de temps. L'autre nouveauté concerne l'engagement plus explicite du dicastère pour la Doctrine de la Foi, qui devra approuver la décision finale de l'évêque et pourra intervenir motu proprio à tout moment.
Dans de nombreux cas où des évêques ont exprimé leur opinion au cours des dernières décennies, l'ancien Saint-Office a été impliqué, mais l'intervention est presque toujours restée dans l'ombre et n’était pas rendue publique.
Cette implication explicite du dicastère est motivée par la difficulté de circonscrire à un niveau local des phénomènes qui, dans certains cas, atteignent des dimensions nationales et même mondiales, «par lesquels une décision concernant un Diocèse a des conséquences aussi ailleurs».
Les raisons des nouvelles normes
Le document trouve son origine dans la longue expérience du siècle dernier, avec des cas où l'évêque local (ou les évêques d'une région) a très rapidement déclaré le caractère surnaturel d’un phénomène et successivement, le Saint-Office exprimait une opinion différente. Ou encore des cas où un évêque s'est exprimé d'une certaine manière, et son successeur d'une manière opposée sur le même phénomène.
(Mgr Badré déclarait "Je ne nie rien", Mgr Pican parla des "gogos fanatiques", et Mgr Boulanger déclara après avoir été le seul évêque à avoir interrogé Madeleine "Comment voulez-vous que je n'y crois pas, je l'ai interrogé pendant deux heures , j'y crois"! Il nomma Madame Marie Hélène Mazot pour s'occuper de l'accueil des pèlerins sur la butte (prière tous les jours à 14h30).
Enfin le dernier évêque, Mgr Habert en 2022, déclara en pleine messe "je ne crois pas au message de Dozulé ni à celui de Tilly sur Seulles", sans avoir fait la moindre enquête, et refusé tout rendez-vous avec ceux qui le connaissent...).
-"En sus, il y a les longs délais nécessaires pour évaluer tous les éléments et parvenir à une décision sur le caractère surnaturel ou non des phénomènes. Des délais qui se heurtent parfois à l'urgence de donner des réponses pour le bien des fidèles. Le dicastère a donc initié en 2019 un parcours de révision des normes pour aboutir au texte actuel approuvé par le Pape le 4 mai dernier. Un texte entièrement nouveau qui introduit six conclusions différentes possibles.
Dans sa présentation, le cardinal Fernández explique que «ces manifestations ont souvent provoqué une grande richesse de fruits spirituels, une croissance de la foi, de la dévotion, de la fraternité et du service, et dans certains cas ont donné naissance à divers sanctuaires disséminés dans le monde qui font aujourd'hui partie du cœur de la piété populaire de nombreux peuples.».
Toutefois, il est également possible que «dans certains cas d'événements d'origine surnaturelle présumée», il y ait «des problèmes très graves au détriment des fidèles»; des cas dans lesquels «profit, pouvoir, célébrité, notoriété sociale, intérêt personnel» (II, art. 15, 4°) sont tirés des phénomènes présumés, allant même jusqu'à «exercer une domination sur des personnes ou pour commettre des abus» (II, art. 16). Ces événements peuvent être aussi l’objet «d'erreurs doctrinales, d'un réductionnisme indu dans la proposition du message évangélique, de la diffusion d'un esprit sectaire».
De même qu'il est possible que «les fidèles soient entraînés derrière un événement, attribué à une initiative divine», mais qui n'est que le fruit d'une fantaisie, d'une mythomanie ou d'une tendance à la falsification de la part de quelqu'un.
Les lignes directrices générales
Selon les nouvelles normes, l'Église pourra évaluer :
« s'il est possible de discerner dans les phénomènes d'origine surnaturelle présumée la présence de signes d'une action divine; si, dans les éventuels écrits ou messages des personnes impliquées dans les phénomènes présumés, il n'y a rien de contraire à la foi et aux bonnes mœurs; s'il est licite d'en apprécier les fruits spirituels, ou s'il est nécessaire de les purifier d’éléments problématiques ou de mettre en garde les fidèles contre les dangers qui en découlent; s'il est opportun qu'ils fassent l'objet d'une valorisation pastorale de la part de l'autorité ecclésiastique compétente» (I, 10).
En outre, en règle générale, on ne peut «attendre de l'autorité ecclésiastique une reconnaissance positive de l'origine divine de phénomènes surnaturels présumés» (I, 11). Par conséquent, «ni l'Évêque diocésain, ni les Conférences épiscopales, ni le dicastère, en règle générale, ne déclareront que ces phénomènes sont d'origine surnaturelle», et seul «le Saint-Père peut autoriser une procédure à cet égard» (I, 23).
Les votes possibles sur le phénomène présumé
Voici une liste des six votes finaux possibles à l'issue du discernement.
Nihil Obstat: aucune certitude n'est exprimée sur l'authenticité surnaturelle, mais des signes d'une action de l'Esprit sont reconnus. L'évêque est encouragé à évaluer la valeur pastorale et à promouvoir la diffusion du phénomène, y compris les pèlerinages.
Prae oculis habeatur: des signes positifs sont reconnus, mais il y a aussi des éléments de confusion ou des risques qui nécessitent un discernement et un dialogue avec les destinataires. Une clarification doctrinale peut être nécessaire si des écrits ou des messages sont associés au phénomène.
Curatur: les éléments critiques sont présents, mais il y a une large diffusion du phénomène avec des fruits spirituels vérifiables. Une interdiction qui pourrait déranger les fidèles est découragée, mais il est demandé à l'évêque de ne pas encourager le phénomène.
Sub mandato: les questions critiques ne sont pas liées au phénomène lui-même, mais à l'utilisation abusive qui en est faite par des individus ou des groupes. Le Saint-Siège confie à l'évêque ou à un délégué la direction pastorale du lieu.
Prohibetur et obstruatur: malgré quelques éléments positifs, les criticités et les risques sont sérieux. Le dicastère demande à l'évêque de déclarer publiquement que l'adhésion n'est pas permise et d'expliquer les raisons de cette décision.
Declaratio de non supernaturalitate: l'évêque est autorisé à déclarer que le phénomène n'est pas surnaturel sur la base de preuves concrètes, telles que la confession d'un voyant présumé ou des témoignages crédibles de falsification du phénomène.
Procédures à suivre
Les procédures à suivre sont ensuite indiquées : il appartient à l'évêque d'examiner le cas et de le soumettre à l'approbation du dicastère. Il est demandé à l'évêque de s'abstenir de toute déclaration publique concernant l'authenticité ou le caractère surnaturel, et de veiller à ce qu'il n'y ait pas de confusion et que l'on ne favorise pas le sensationnalisme. Dans le cas où les éléments recueillis «semblent suffisants», l'évêque constitue une commission d'enquête, comptant parmi ses membres au moins un théologien, un canoniste et un expert choisi en fonction de la nature du phénomène."
Nous, Coeurs Croisés, savons très bien qu'aucun évêque ne voudra se prononcer sur les messages christiques annonçant le roi voulu par Dieu. Ils sont soumis au ministre des cultes, en république laïque... Et pourtant, la volonté des hommes sera bien déconfite devant la réalité de l'avenir !
DIEU PREMIER SERVI !!!
Nous obéirons au roi, seul évêque de France habilité à consacrer la France aux deux Coeurs Unis de Jésus et de Marie.
Débora nous a dit :
"Le Roi en 2026" !
D'ici là, la ruine économique, la famine et le début d'une guerre au Moyen Orient entre l'Iran, la Grêce, la Turquie et Israël...La Russie irait jusqu'à Jérusalem (voir Ezechiel 38-39)...Puis la guerre nucléaire voulue par l'Otan pour régler la dette financière des nations occidentales : Le grand reaset du gouvernement mondial, sous l'égide des Rotschilds, propriétaires des 5 banques centrales du monde et de la Réserve Fedérale...
Gardons-nous de nous laisser entrainer par les erreurs venant du Canada, affirmant la venue de l'Antichrist après l'Avertissement "imminent", "les refuges, 3 ans et demi de provisions, etc..." Les faux prophètes se multiplient profitant de la peur des populations.
L'Antichrist viendra après le roi ; "longo, longo" nous dit Debora, c'est loin.
L'Antichrist, le Fils de perdition est annoncé dans l'Eglise de Laodicée après l'Eglise de Philadelphie, celle de l'Amour avec le Saint Pape et le grand monarque... La succession est claire dans l'Apocalypse de Saint Jean , les sept églises. Apoc ch.1 à 3
L'ère de paix, courte, avec le roi serait dans 5 ans, d'après Debora, une vraie messagère qui vit dans sa chair le Gethsémani à Manduria, le talon de la botte italienne, depuis 1992...
N'est-ce pas au talon que doit mordre le serpent?
Dieu seul connaît l'avenir et les dates précises...
En attendant, la montée au Calvaire en est à Gethsémani. Ceux qui veulent suivre Jésus jusqu'au Golgotha, sans s'enfuir, lassés ou mécontents d'attendre la Passion doivent redoubler d'efforts dans la prière et l'adoration eucharistique, pour chasser les démons du découragement.
Soyons confiants chers Amis, et fidèles jusqu'au bout, n'abandonnons pas Jésus sur le chemin de Croix, il enverra bientôt l'homme de paix, l'homme providentiel pour sauver la France et par elle le monde entier.
+ le Seigneur a besoin d’un roi qui vienne soigner les plaies de ce pays le Seigneur a besoin que les Cœurs se rassemblent pour servir le pays des quatre coins de France le Seigneur est certain que La France renaîtra que La France reviendra aux valeurs de la Croix
Vive le Christ Vrai Roi de France ! Mont-Joie Saint-Denis ! Vive Son BON roi choisi par Dieu ! Pour les Cœurs Croisés
Dernière édition par Ange Gabriel-Dan le Ven 14 Juin - 13:40, édité 1 fois
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Sam 29 Juin - 0:40
LE 7 JUILLET APPROCHE A GRANDS PAS...
Envoi de Roger AUBERT DU FRANKENBOURG
C’est exactement à cet endroit, à l’entrée du château des Francs, au Frankenbourg, que, le 16 juillet 1872, après 9 jours de montée, la TSVM a désigné ce lieu oublié, comme étant le berceau de la France.
Voici la raison de l'ascendance davidique des rois de France
La présence de Gaulois près de Jésus durant sa vie terrestre peuvent déjà surprendre.
1° Longin qui lui perça le Cœur était gaulois. La plaie qui fit une tache de sang sur le Saint-Suaire évoque sans conteste la silhouette de Louis XVI : on y remarque le nez aquilin qui se trouve sur le médaillon apporté par Louis XVII : le baron de Richmont. Recueilli au château de Vaurenard à Gleizé, près de Villefranche, par madame Apchier, celui-ci n'est donc pas mort en 1795 comme cela est écrit faussement dans tous les livres d'histoire. La pierre tombale indique bien qu'il est décédé en 1853, en ce lieu.
2° Véronique nommée Sérafia dans Maria Valtorta. C'est elle, l'hémoroïsse guérie par Jésus. Son nom vient de Bérénice en grec ou vera icona et le linge est le voile de Manopello relique très précieuse, puisque le visage de Jésus miraculeusement imprimé est visible sur les 2 faces … Ce détail m'est apparu fortuitement le jour de sa fête un 4 février.
Les mots Galilée et Galates évoquent une présence gauloise.
Mais il y a plus précis !
Cet article démontre autant que faire se peut, l'origine juive, et surtout, le sang royal qui coule dans les veines de la plupart des Français descendants de ceux de la tribu de Juda. La généalogie établie par le Marquis de la Franquerie en est comme le résumé et la confirmation.
Ainsi donc, les peuples Celtes, Gaulois, Francs, Saxons... à cause du brassage des populations ayant immigré chez nous en France, au cours des générations, sont issus des juifs à Babylone, ou Nabuchodonosor régnait en Assyrie. À partir de 609 avant J-C. avant la dissolution de l'empire, ils commencèrent à émigrer, pour s'installer finalement chez nous. Un détail le confirme: le mot Saxon vient de Isaac son, c'est-à-dire « Fils d'Isaac »!
C'est ainsi que l'on comprend mieux que la prophétie de Jérémie (Jr I. 9-10) et le psaume 8821-28, donnés en citation ci-dessous nous concernent directement, nous, Français.
... « Voici que Je t'établis aujourd'hui sur les nations et sur les royaumes ... »
... « Et moi, Je ferai de lui le premier né, le plus élevé des rois de la terre... et je ferai subsister sa race dans tous les siècles, et son trône autant que les cieux ! »
Ces textes disent en substance ce qui sera entendu et prononcé au baptême de Clovis.
Voilà pourquoi la France est « Fille aînée de l'Église ! »
héritière comme ses rois passés et futurs
du choix divin dont il ne faut surtout pas déchoir.
Les Illuminati ont même hérité des coutumes celtes et égyptiennes, tel l'ivraie mélangé au bon grain, pour leurs rituels sataniques. Eux aussi travaillent au N.O.M., Nouvel Ordre Mondial en concurrence parfaite avec le plan de Dieu dont le NOM est au-dessus de tous noms.
Tous ces détails précis et inédits se trouvent exposés dans « Les apparitions de Marie Reine de France et de Jésus en Roi de France, à Versailles », de J-P. Jouanneault dans Chrétiens Magazine n° 247 p. 17 de février 2012.
Roger AUBERT
********************
Le webmaster :
Sans oublier que les ancêtres de STE ANNE... la mère de la VIERGE MARIE venait d'une tribu Bretonne-Celte pour avoir émigré en Palestine...
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Mer 3 Juil - 0:29
TEXTE reporté par Ermangarde Marguerite Valois Stuart descendante de ST LOUIS
Je suis Clovis, fils de Childéric, le fier roi des Francs saliens.
En l'an de grâce 481, à la mort de mon père, je pris la couronne et le destin de mon peuple en main. Je n'étais qu'un jeune homme, mais déjà, le feu de la grandeur brûlait en moi.
Mon règne commença dans les terres de Tournai, mais mon ambition ne connaissait pas de frontières.
Je me suis battu avec acharnement, étendant mon royaume au-delà des rivières et des forêts, forgeant une nation à partir d'une mosaïque de tribus. Les batailles furent nombreuses, contre les Alamans, les Burgondes, et même les Wisigoths, dont les terres du sud de la Gaule devinrent miennes après ma victoire à Vouillé en 507¹.
Mais ce n'est pas seulement par l'épée que j'ai bâti mon empire. C'est aussi par la foi.
Sous l'influence de ma chère épouse Clotilde, j'ai renoncé aux anciens dieux et embrassé le christianisme, unifiant ainsi mon peuple sous une seule religion². Mon baptême fut un tournant, non seulement pour moi mais pour toute la Gaule, car il marqua l'alliance entre le pouvoir royal et l'Église, une alliance qui perdurerait à travers les siècles¹. À ma mort, en 511, j'ai laissé derrière moi un royaume puissant, le prélude d'une nation qui se souviendrait de moi comme du premier roi de ce qui deviendrait la France². Mon héritage survit dans les pierres des cathédrales, dans les lois de la terre, et dans le cœur de chaque Français.
L'année 496 fut marquée par un événement qui allait changer le cours de l'histoire de mon peuple et de la Gaule. Le baptême que j'ai reçu des mains de l'évêque Remi, la nuit de Noël, fut le symbole de ma conversion à la religion chrétienne¹. Ce n'était pas un choix anodin, mais un engagement profond qui a façonné l'identité de mon royaume. La légende raconte que, lors d'une bataille décisive contre les Alamans, j'ai levé les yeux vers le ciel et promis à Jésus-Christ de me convertir si la victoire m'était accordée. Le miracle s'est produit, les Alamans ont été vaincus et leur roi tué¹. C'est ainsi que j'ai tenu ma promesse et me suis tourné vers le christianisme, abandonnant les anciennes croyances pour embrasser cette nouvelle foi.
La cérémonie de mon baptême fut somptueuse, et je fus oint du saint chrême en présence de trois mille de mes guerriers, qui se convertirent avec moi¹. Ce moment solennel n'était pas seulement une victoire spirituelle, mais aussi le début de la christianisation du royaume franc, un processus qui allait s'étendre et s'enraciner profondément dans la culture et la politique de la région.
Le baptême de Clovis est devenu un mythe fondateur, un épisode inaugural de l'histoire de France, et a contribué à établir la France comme la "fille aînée de l'Église" aux yeux de l'Église et notamment du pape Jean-Paul II². Cet acte de foi a non seulement uni mon peuple sous une seule religion, mais a également scellé une alliance entre le pouvoir royal et l'Église, une alliance qui perdurerait à travers les siècles.
En l'an 507, la plaine de Vouillé fut le théâtre d'une confrontation décisive entre mon armée et celle des Wisigoths. Le printemps était à son apogée lorsque les forces s'affrontèrent près de Poitiers, un affrontement qui allait sceller le destin de deux royaumes¹.
Je menais mes guerriers avec la détermination d'un roi qui avait embrassé une cause plus grande que lui-même. La bataille débuta à l'aube, et les cavaliers wisigoths lancèrent leurs charges habituelles. Mais nous, les Francs, nous tenions fermes, formant un mur impénétrable avec nos francisques¹.
Le combat fut brutal et sans merci. Les récits racontent que j'ai affronté Alaric II, le roi des Wisigoths, en combat singulier. C'est par ma main qu'il trouva la mort, un acte qui brisa le moral de ses troupes et assura notre victoire¹. Les Wisigoths furent contraints d'abandonner un vaste territoire, s'étendant de la Loire aux Pyrénées, ce qui est aujourd'hui le Midi de la France¹.
Cette victoire ne fut pas seulement militaire, elle fut aussi symbolique. Elle marqua l'expansion de mon royaume et la consolidation de mon pouvoir. Sous mon règne, les Francs s'établirent fermement en Gaule, et l'héritage de cette victoire résonne encore dans l'histoire de la France.
L'année 511 marqua la fin de mon règne et le début d'une nouvelle ère pour le royaume des Francs. À ma mort, le 27 novembre, le royaume que j'avais unifié et agrandi fut partagé entre mes quatre fils, selon la tradition salique¹². Thierry, mon fils aîné né d'une union précédente, reçut la part la plus importante, comprenant les terres de l'Austrasie et des régions conquises en Aquitaine, ainsi que les anciennes provinces des deux Belgiques et des deux Germanies². Il s'installa à Metz, prêt à défendre le royaume contre les Burgondes et les Germains⁴.
Clodomir, Childebert et Clotaire, mes fils avec Clotilde, héritèrent de territoires moins vastes mais stratégiques. Clodomir devint roi d'Orléans, contrôlant le Poitou et la vallée de la Loire². Childebert prit le contrôle de Paris et des terres s'étendant jusqu'à l'Armorique². Clotaire, le benjamin, reçut le royaume de Soissons, l'ancien pays des Francs Saliens². Ce partage ne signifiait pas la division définitive du royaume. Bien que chaque fils s'intitulât Rex Francorum et régnât sur son propre territoire, ils savaient s'unir face aux ennemis extérieurs et poursuivre l'œuvre d'expansion que j'avais commencée². Le royaume fut brièvement réunifié sous Clotaire de 558 à 561⁵.
Source : conversation avec Copilot, 2024-06-27
************************
************************
************************
Mauricette Zuccari Mais rien n’empêche la monarchie de revenir. Nous avons l’impression d’être en démocratie depuis une éternité. En réalité la république n’a que 150 ans . Eh oui. Elle n’existe pas depuis 1789, mais depuis 1870 seulement . Il y a eu la révolution, certes, mais ce fut une véritable boucherie . La 1ere république a duré de septembre 1792 à mai 1804 . Puis 1 empire, 3 rois et encore 1 empire se sont succédés jusqu’en 1870.
_________________
Ange Gabriel-Dan Admin
Messages : 8364 ok ! : 5 Date d'inscription : 05/02/2009 Localisation : LORRAINE et BRETAGNE...
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877 Jeu 4 Juil - 11:05
UN MESSAGE DE NOTRE AMI ROGER AUBERT DU FRANKENBOURG EN REPONSE A LA CHARMANTE ET COURAGEUSE Ermangarde Marguerite Valois Stuart
******************
AUTRE COMMUNICATION DE ROGER AUBERT DU FRANKENBOURG :
Mélanie – 26 juin 2024 –
Les gens ne sont pas conscients du danger auquel ils sont confrontés. Il ne reste plus beaucoup de temps avant l’escalade… Elle demande deux heures de prière par jour pendant une semaine… Pendant ce temps de prière, quatre chapelets et cinq prières pour la paix doivent être récités… En guise de prière, Marie nous demande de jeûner cette semaine… Cela signifie que nous devons renoncer chaque jour à quelque chose de difficile pour nous, comme les aliments de luxe, la viande, le sucre, les sucreries ou l’alcool. Il ne reste plus beaucoup de temps avant l’escalade
La Sainte Vierge Marie apparaît à Mélanie, la voyante. *
Marie est très belle. Elle rayonne d’une belle tendresse et d’un tendre amour. Son charisme est indescriptible : pureté, modestie et tendresse parfaites. Son cœur rayonne d’une pureté et d’une dévotion parfaites.
Marie permet aux gens de savoir qu’elle a tout donné d’elle-même : ses souhaits, ses projets et ses propres idées.
Sa dévotion totale et sa confiance illimitée en Dieu la rendent si pure. Elle est sans aucune mauvaise pensée, sans aucun défaut.
D’une part, elle a l’air d’une très jeune femme et d’autre part, elle est très puissante. Elle n’est devenue si puissante que grâce à sa dévotion. Cette puissance est un pouvoir, un mandat qu’elle n’a pas demandé. Elle ne l’aurait jamais revendiqué pour elle-même, car elle est très humble.
Cette grâce et cette capacité sont un don qui fait d’elle une reine, car ses intentions sont totalement pures.
Elle a donné sa vie à Dieu. Elle a donné à Dieu la place pour que sa volonté, son œuvre, sa lumière et sa présence prennent effet en elle.
Commence alors la vision d’une chaîne de montagnes dont le sommet est recouvert d’eau. Cela signifie que la terre sera recouverte d’eau à l’avenir. La voyante se voit nager dans de grandes eaux calmes et apercevoir une petite île au loin.
Les étoiles du ciel nocturne se reflètent dans l’eau. La paix est totale, mais il n’y a pas d’autres personnes à voir, ni d’oiseaux ou d’animaux aquatiques.
L’attention se porte sur les étoiles et l’on observe des mouvements planétaires dans le ciel, un autre type de constellation.
On a l’impression que les planètes sont dans une position différente – comme sur un collier de perles, avec un léger angle en haut à droite.
Il semble que la Terre soit à un angle différent des autres planètes. Cela semble indiquer un certain âge avec une position planétaire différente. La terre sera sous l’eau à cette époque. Cette vision paisible mais solitaire s’arrête ici.
La vision revient à la Vierge et elle demande à tous les peuples de s’unir dans la paix, dans tous les pays, dans toutes les langues. Il s’agit d’unité et de paix.
Elle donne au groupe de prière une mission de prière intensive. L’accent doit être mis sur la paix. Elle explique que les prières sont nécessaires parce que :
" Les gens ne sont pas conscients du danger auquel ils sont confrontés. Il ne reste plus beaucoup de temps avant l’escalade ".
Voici le détail de la semaine de prière et de jeûne :
Elle demande deux heures de prière par jour pendant une semaine.
Pendant ce temps de prière, quatre chapelets et cinq prières pour la paix doivent être récités.
Le choix des prières pour la paix, leur longueur et leur langue sont facultatifs.
Aucune prière ou réflexion supplémentaire n’est nécessaire.
Les prières de demande, qui peuvent être dites par n’importe qui, peuvent rester simples. Elle explique en outre qu’elle est présente à tout moment et qu’elle entend tout ce que nous pensons et disons, et que la prière de demande peut donc être simple : »Nous vous remercions, Marie, d’accepter nos prières pour la paix. Nous te remercions pour la paix. Amen. »
En guise de prière, Marie nous demande de jeûner cette semaine. Cela signifie que nous devons renoncer chaque jour à quelque chose de difficile pour nous, comme les aliments de luxe, la viande, le sucre, les sucreries ou l’alcool.
Ce renoncement doit être perceptible.
Il est préférable de jeûner au moins des aliments légers comme le pain, les fruits, les légumes et la salade ou, si vous le pouvez, du pain et de l’eau.
Marie sait qu’il y a beaucoup à faire, mais elle demande des prières en raison de l’urgence (de la situation mondiale) et nous remercie de notre coopération et de notre dévouement.
L’appel à la prière sera publié très prochainement. » Reste dans ma paix, mon enfant. Apporte la paix. Parle d’une voix divine. Demeure dans l’humilité. Demeure dans mon cœur immaculé. Laisse-moi t’asperger avec le sang de mon Fils. Suivez mes conseils avec confiance ». Il est demandé à la voyante de s’abandonner complètement au processus et de suivre docilement chaque étape qui lui est montrée.
On lui dit qu’elle a mérité l’honneur d’être aspergée. Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Loué soit Jésus-Christ pour les siècles des siècles
Amen
*********************
* MELANIE ???
Quelle messagère et où ???
_________________
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877
SI IMPORTANTES APPARITIONS MARIALES AU FRANKENBOURG ! - ALSACE - 1872.1877